C’est bien la première fois que je viens témoigner sur un site de ce genre, surtout pour raconter une de mes aventures sexuelles. Mais ce n’est pas n’importe laquelle de mes aventures, non. Là, il s’agit de mon plus gros fantasme. J’y pense depuis des années, mais je suis une femme assez réservée, et je n’ai jamais vraiment osé demander à mon mec du moment de participer. Il paraît que les fantasmes ne sont pas faits pour être réalisés, mais il arrive que l’occasion se présente pour qu’il devienne réalité. J’ai rencontré un homme plus vieux que moi il y a quelque temps lors d’une soirée chez des amis. C’est une personne très cultivée, propre sur elle, et jamais je n’aurais pensé pouvoir réaliser ce genre de choses avec lui. En effet, j’ai envie qu’un homme m’urine dessus. Je veux devenir sa chiotte humaine le temps d’une soirée. Nous avons très vite sympathisé et commencé à vivre une relation basée sur le sexe. Son sexe est large et puissant. Ça fait bien longtemps que je n’ai pas autant pris mon pied sur une bite. J’ai 42 ans, je suis divorcée et sans enfant. Je reçois ce mec deux fois par semaine dans mon appartement cossu du centre-ville. Un soir, alors que j’étais en train de lui pomper activement le tuyau, il me regarda dans les yeux et me demanda de stopper mon action de ventouse sur le bout de sa pine car une envie pressante lui titillait la vessie. Soudain, mon envie de devenir un bidet à pisse refit son apparition au fond de moi. Ma chatte déjà humide devint alors une vraie rivière de mouille blanchâtre.
Il fallait que je lui demande de me pisser dessus, il le fallait. Mais je n’osais pas, la honte… Il était de si bonne famille, et moi j’étais vraiment crade avec mes envies de douche dorée. J’avais toujours son nœud en bouche et je réfléchissais par quel moyen trouver le courage de lui demander d’être son chiotte occasionnel. Mais alors que je pensais à tout ça, il me regarda et me demanda de lui-même s’il pouvait se soulager dans ma bouche et sur mon visage. Quelle providence ! Je fis mine de trouver ça un peu dégueulasse, puis j’acceptai « pour lui faire plaisir ». Vous pensez bien que j’étais déjà au bord de l’orgasme. Je suis vraiment une chienne sans morale pour vouloir faire un truc comme ça, mais un fantasme est un fantasme, ça ne se contrôle pas. J’ai donc sorti la queue de mon amant de ma bouche voluptueuse, mais j’ai gardé la bouche grande ouverte pour recueillir la moindre goutte d’urine. J’ai alors vu son méat s’ouvrir tout doucement, et le premier jet de pisse jaillit brutalement pour percuter le fond de ma gorge. J’étais enfin en train de vivre ce que j’avais toujours imaginé en me doigtant ou en jouant avec mes jouets vibrants. Je pensais ressentir plus de plaisir que cela, mais c’était tout de même très plaisant. Je n’ai pas réussi à apprécier tout de suite le goût, car la pisse me remplissait totalement le fond du gosier, au point que j’ai avalé plusieurs fois de travers. Je voyais qu’il avait presque fini de pisser, et j’ai alors commencé à apprécier cette semence liquide. C’était assez cuivré, un peu fort, chaud, mais vraiment bon ! J’en redemandais encore, mais malheureusement, il avait presque fini de se soulager. Les dernières gouttes se répandirent sur ma poitrine, et je me triturais le clito avec les doigts pour finir de me faire jouir.
C’était super bon, et si ça vous plait je n’hésiterai pas à venir vous raconter la suite une prochaine fois.
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