Mon frère, mon maitre

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Je m’appelle Marion, et à l’époque de l’histoire je vivais avec mes parents et mon frère, Lionel de 23 ans. Moi j’étais dans ma dernière année de lycée et je rentrais tous les soirs vers 18h30. En rentrant je faisais toujours la même chose, j’allais prendre une douche et je m’autorisait une petite séance de masturbation avec un gode pour me détendre de mes journées épuisantes.

Un jour, pendant ma séance de masturbation qui durait plus longtemps que prévu (je n’arrivais pas a me faire jouir), mon frère entra brusquement dans ma chambre. J’étais nue, jambes écartées le gode dans la main et dans la chatte, je ne savais pas quoi dire ni quoi faire, je ne pouvais plus bouger. Mon frère resta un petit moment immobile puis finit par parler :

– Heu… Quand tu auras fini on t’attend pour dîner.

Il se retourna, ferma la porte et descendit dîner. Sur le moment j’étais un peu choquée mais je me suis vite rhabillée, j’avais surtout peur de se que mon frère avais dit aux parents. Je descendis la peur au ventre, craignant qu’il n’ait tout raconté aux parents. Je me suis mise a table, la tête basse, et ma mère me dit :

– Tu me feras le plaisir de réduire tes conversation téléphonique avec ta copine Isabelle !
– Quoi ?
– Ton frère nous a dit que tu descendrais après avoir fini de téléphoner à Isabelle, ce n’est pas se que tu faisais ?

Je regardais mon frère qui me fit un petit clin d’œil. Il leur avais menti, il ne leur avait rien dit sur ma masturbation. Mon regard se tourna alors vers ma mère et je lui mentis à mon tour.
– D’accord maman.

Le dîner se passa normalement, mais j’étais encore gênée par ce qui s’était passé avant, je finissais donc vite mon dîner pour vite retourner dans ma chambre. Le soir en allant de brosser les dents j’ai croisé mon frère, j’osais à peine le regarder. Mais il me vit et me dit :

– Dis-moi Marion, tu devrais faire un peu attention avec tes masturbations, cette fois c’était moi mais une prochaine fois ça sera les parents qui te choperont et ça se passera pas aussi bien.

J’acquiesçais et je partis dans la salle de bain. « Faire plus attention », facile a dire, mes parents n’ont jamais voulu installer de verrou sur la porte de nos chambres. Par prudence, j’ai donc cessé de me masturber tous les jours , j’ai réduit les séances à une ou deux fois par semaine pour ne pas être prise sur le fait, et je faisais désormais la chose après avoir dîné.

Mais un jour, un vendredi pour être exact, alors que je venais de passer une semaine de merde, l’envie de me masturber à nouveau fut la plus grande. Alors, pour la première fois depuis 3 semaines j’ai décidé de le refaire avant de manger. J’étais assise sur mon lit les jambes écartées, j’avais juste remonté ma jupe et descendu ma culotte au niveau des cuisses, mon gode entrait et sortait avec beaucoup de facilité, ma chatte commençait à bien mouiller quand ma porte s’ouvrit : c’était mon frère.

– Pfffff encore ?? … Bon.

Il ferma la porte s’approcha de moi retira le gode et enfonça son majeur et son index dans ma chatte, puis commença a me masturber tout en me caressant le clito avec son pouce.

– Non, mais qu’est ce que tu…
– Tais-toi.

Il me masturba de plus en plus vite, j’essayais de retenir mes pulsions mais je n’y arrivais pas. Le plaisir montait en moi et mes gémissements se faisaient de plus en plus forts. Il me mit son autre main sur ma bouche pour étouffer mes cris, mes hanches faisaient des mouvements de va-et-vient toutes seules. Alors que je mouillais de plus en plus, je fus subitement terrassée par un immense orgasme. Mon frère retira ses doigts, lécha la cyprine de ces doigts et me dit :

– Ça y est, tu as joui ? Alors dépêche toi, on t’attend pour manger.

Le dîner se déroula comme d’habitude, tout se passa bien, mon frère raconta encore la même histoire de téléphone et la vie reprit son cours. Du moins c’est se que je croyais, car durant la semaine qui suivit, j’avais de plus en plus de mal a me faire jouir de manière traditionnelle. J’arrivais seulement à me faire jouir en pensant à mon frère en train de me doigter et je voulais retrouver les mêmes sensations, mais sans succès.

Après plusieurs mois de masturbation et de réflexion, j’ai pris ma décision : puisque je n’arrivais pas à me donner autant de plaisir que mon frère, alors j’allais lui demander de s’occuper de moi encore une fois. Un soir, je suis entrée dans sa chambre tandis qu’il était sur son lit en train de lire un bouquin. J’ai refermé la porte derrière moi et je l’ai fixé en prononçant des bégaiements incompréhensibles, puis après avoir pris mon courage a deux mains, j’ai fini par sortir :

– Lionel, je veux que tu me masturbes comme la dernière fois.

Mon frère me regarda un long moment puis fini par me dire :

– D’accord, mais à une condition.
– Laquelle ?
– Je veux être le seul à te le faire. Je veux qu’à chaque fois que tu souhaites te masturber tu viennes me le demander plutôt que de le faire toi-même.
– … D’accord.
– Déshabille toi et approche-toi.

Une fois nue je m’approchais doucement de lui. J’étais quand même gênée et j’appréhendais se qui allais se passer. Alors qu’il s’était assis sur le rebord du lit, il me dit :

– Assieds-toi sur mes genoux face au miroir de l’armoire.
– Que vas-tu faire ?

Dès que je me suis assise sur ces genoux, il m’écarta les jambes. À peine eut-il posé la main sur moi que je sentis mon corps frissonner. Il commença par me caresser le ventre, puis les cuisses, je voyais ma chatte s’ouvrir toute seule et la cyprine qui commençait a jaillir. Ses doigts caressaient mes lèvres, puis il enfonça son majeur et fit de lents va-et-vient tout en caressant mon clito de l’autre main. Alors que mouillais de plus en plus et que je commençais a gémir, il enfonça un deuxième doigt dans ma chatte et accéléra légèrement le mouvement. Pendant que son autre main continuait de s’occuper de mon clito, je me caressais et me malaxais les seins. Mes gémissement se faisant de plus en plus forts, mon frère en profita pour m’enfoncer ma culotte dans la bouche afin d’étouffer mes gémissement.

Je ne me contrôlais plus, je me voyais dans le miroir et j’avais du mal a me reconnaître : vision des plus érotique, en train d’être masturbée par mon frère, gémissant et me caressant les seins avec de la bave dégoulinant légèrement de ma bouche. Mon frère me tripota le clito et j’eus un orgasme magistral, encore plus puissant que la première fois. Il retira ensuite ses doigts de ma chatte et lécha la cyprine qui les recouvraient.

Suite à cela, il m’allongea sur le lit et quitta la chambre. J’en ai profité pour reprendre mon souffle, et je crois que je me suis assoupie un peu. Quand je me suis réveillée, mon frère entrait dans la chambre une serviette autour de la taille.

– Tu es encore là ?
– Oui, je … je crois que je me suis assoupie.
– Tu devrais retourner dans ta chambre.

Je savais qu’il avait raison, mais je ne voulais pas partir, j’en voulais plus, alors je l’ai regardé dans les yeux et j’ai dit :

– Prends-moi.

Il me sourit, ferma la porte et me dit :

– Si tu baises avec moi, tu devras faire tout se que je te demanderais sans poser de question. Tu devra m’obéir au doigt et à l’œil, tu seras mon esclave sexuelle.
– D’accord.

Je ne m’étais pas encore rendue compte dans quoi je m’étais embarquée, mais ce soir là il m’a fait l’amour comme jamais. J’ai joui trois fois et ressenti une excitation comme jamais auparavant.
J’allais sortir pour rentrer dans ma chambre quand il me dit :

– Demain je veux que tu restes à la maison.
– Mais demain j’ai cours.
– Tu sèches, tu dis a maman que tu es malade. Demain je ne travaille pas alors je lui dirais que je m’occupe de toi.

Je suis rentrée dans ma chambre, en pensant à la soirée que je venais de passer et à la journée de demain.

Le lendemain je répondis fidèlement aux attentes de mon frère et je fis semblant d’être malade. Je m’étais masturbée sous la couette pour être en nage et pour augmenter légèrement ma température. J’avais même placé le thermomètre sous la lampe pour simuler une fièvre subite. Ma mère décida donc que je devais rester au lit toute la journée, et Lionel se proposa naturellement pour me garder toute la journée. Quand mes parents furent partis, j’entendis mon frère remonter les escaliers et arriver devant ma porte. J’étais de plus en plus excitée. Il entra et vint s’asseoir sur mon lit, à côté de moi. Il enleva les couvertures qui me recouvraient et me demanda de me déshabiller, ce que je fis sans poser de question. Il déboutonna lui-même son pantalon et sortit son sexe déjà en érection. Il le prit en main, me fit un signe de la tête et me dit :

– Viens te mettre à genoux devant moi.

Une fois à genoux devant lui, il me prit la main et me la posa sur son sexe. Ce dernier était chaud, doux et dur a la fois. Enfin, il me dit :

– Suces-moi.

Je restais un petit moment sans rien faire, puis je fini par lui avouer :

– Je ne l’ai encore jamais fait.
– Ne t’inquiète pas, je te dirais quoi faire.
– D’accord.
– Embrasse-le.

Je faisais tout ce qu’il me disait.

– Maintenant, prend-le en bouche et décalotte-le avec ta langue.

Une fois en bouche, son sexe était vraiment chaud et salé.

– Caresses-moi les couilles, et suce moi bien.

J’adorais sentir son sexe doux dans ma bouche, j’aimais vraiment ça.

– Tu te débrouilles bien pour une première fois, alors on va passer à l’étape suivante.

Il mit sa main sur ma tête et la fit aller et venir sur son sexe, en me donnant la cadence. Il commençait à gémir.

– Ah oui c’est bon, branles-moi en même temps.

Je pris son sexe en main et commençais à le masturber avec un peu de difficulté. J’avais un peu de mal à le sucer et à le branler en même temps, mais je sentis que son sperme allait bientôt jaillir.

– Gardes bien mon sexe en bouche, tu vas boire tout mon sperme.

Quand il a joui dans ma bouche, son jet était si violent que j’ai failli m’étouffer.

– Avales bien tout parce que ça sera ton unique petit-déjeuner.

J’avalais tout comme il me l’avait demandé, c’était la première fois que je buvais son jus sucré. Il m’attrapa alors par les épaules et m’embrassa longuement et tendrement. Quand son sexe eu repris des forces, il mit un préservatif et s’allongea sur mon lit puis me fit signe de venir sur lui. Je m’exécutais sans discuter et m’empalais sur son sexe, ma chatte étant déjà bien humide son sexe n’eut aucun mal a me pénétrer. Alors que je faisais de lents mouvements sur son sexe, il mis ses mains sur mes fesses, me les caressa, me les malaxa et me donna le rythme de cette danse torride. Je gémissais à chaque entrée de son sexe en moi, mon corps était très sensible, mes tétons pointaient et il en profitait pour les caresser et les pincer.

Tout comme lui, il ne me fallu pas longtemps avant de jouir une première fois. Il me suça et me mordilla longuement les tétons, m’enlaça. Il me rendait complètement folle. Il me fit basculer en arrière, m’écarta bien les jambes et accéléra nettement ses coups de reins. Puis il installa mes jambes par-dessus ses épaules, afin d’entrer bien profondément dans ma chatte. Je criais de plaisir en me caressant les seins, je m’abandonnais complètement à lui. Il s’enfonça bien en moi et fini par lâcher une nouvelle fois sa semence. Suite à quoi il sortit de ma chatte, enleva son préservatif, le retourna et m’ordonna de boire à nouveau son sperme, que le préservatif avait retenu.

Après avoir repris mon souffle, il m’ordonna de le suivre dans sa chambre. Il sortit un carton de sous son lit. Ce dernier contenait de nombreux objets sexuels mais il n’en saisit qu’un : un bâillon boule. Il se positionna derrière moi et me le plaça en bouche avant que je n’ai pu dire quoi que se soit. Il serra bien le tout, ma bouche ouverte la boule dans la bouche.

– Suis-moi, tu vas me laver.

Il sortit de sa chambre et entra dans la salle de bain. Je le suivais comme son ombre, et lorsqu’il entra dans la douche je pris le gel douche et un gant. Il me stoppa net.

– Non non, tu vas verser le gel douche sur tes seins et sur ton ventre et tu vas te frotter contre moi pour me laver.

Un peu surprise de sa demande mais heureuse d’apprendre des nouvelles choses, je pris le gel douche et me le versa sur le corps. Puis j’entrais dans la douche derrière lui et après l’avoir mouillé à la douchette j’ai commencé à me frotter contre son dos. Mes seins frottaient le bas de son dos pendant que mon ventre caressait ses fesses. Le gel douche, lui, coulait sur ma chatte, alors j’en profitais pour laver ses jambes en frottant ma chatte contre ces dernières. Une fois que j’eus fini de lui laver du mieux que je pouvais le dos, les jambes et les fesses je me suis relevée et me suis mise devant lui. Je me suis alors frotté les seins contre son torse. Il me faisait monter et descendre et mes tétons me faisaient mal tellement ils pointaient. Puis je fis subir le même traitement à ses deux bras, qui furent lavés entre mes deux globes. Pour terminer, je me suis mise a genoux devant lui, j’ai à son tour serré son sexe entre mes seins et je l’ai lavé bien consciencieusement. Mais il m’arrêta assez vite, me releva et m’embrassa longuement et tendrement. Puis il se rinça, sortit de la douche et m’intima d’un ton sec :

– Vas t’asseoir sur le rebord de la baignoire.

Il prit de la mousse à raser ainsi qu’un rasoir, se mit à genoux devant moi et m’écarta les cuisses.

– Il est temps de faire un peu le ménage de ce côté.

Il m’appliqua la mousse sur la chatte et commença à me raser doucement. J’étais a la fois excitée et effrayée qu’il se loupe, mais tout se passa bien. Une fois qu’il eut terminé, il caressa un peu ma chatte imberbe et vint l’embrasser et me la lécher. Alors que je lui caressais la tête, il suça et mordilla mon clito. Je gémissais fortement a chaque fois qu’il me touchait, puis il s’arrêta d’un coup.

– Pisses-moi dans la bouche.

Je fus d’abord surprise par sa demande, croyant avoir mal entendu. Mais il réitéra son ordre, en me donnant une tape sur les fesses.

– Pisses-moi dans la bouche !

C’était vraiment ce qu’il m’avait demandé… À la seconde tape sur mes fesses, l’urine commença à sortir de ma chatte et il ouvrit sa bouche en dessous. Mon urine remplissait sa bouche et en débordais légèrement. Il en avala une grande partie, puis, quand le débit commença à se réduire, il plaqua sa bouche contre ma chatte et aspira. C’était une sensation toute nouvelle, sa langue ouvrais ma chatte et mon urine sortait toute seule. Quand il eu bu mes dernière goûtes, il se releva et me demanda de retourner sous la douche.

Je me suis positionnée dos au mur, plaquée à celui-ci. Il s’approcha de moi, me souleva et mis mes jambes autour de sa taille puis s’enfonça bien en moi. C’était la première fois qu’il me pénétrais sans préservatif, que je sentait la peau de son sexe contre mes lèvres, mais contrairement aux autres fois il ne fit pas de va-et-vient en moi. Il resta un petit moment dans ma chatte et d’un coup je sentis un liquide chaud inonder ma chatte : il était à son tour en train d’uriner en moi !

Sa pisse débordait un peu mais une grande partie resta en moi, puis, lorsqu’il eut fini, il se retira et toute son urine s’expulsa d’un coup de ma chatte, ce qui m’apporta une sensation proche de la jouissance. Il me souri et nous rinça une dernière fois, puis partit dans sa chambre et me demanda de l’attendre dans le salon. La journée de faisait que commencer…

J’étais donc dans le salon, complètement nue, avec le bâillon boule dans la bouche. Mon frère revint 5 minutes plus tard, habillé cette fois-ci, et prit une chaise qu’il plaça au milieu du salon, face au canapé. Il me dit sans détour :

– Assieds-toi.

Je me suis assise bien gentiment comme il me l’avait ordonné, puis il m’empoigna les bras et me les positionna derrière mon dos avant de les attacher fermement à la chaise.

– Écartes les jambes !

Il se mit devant moi et m’enfonça un vibromasseur au plus profond de ma chatte trempée et l’alluma en position basse, puis me caressa le clito. Au bout de quelques minutes, le vibro bien calé au fond de moi commençait à me faire forte impression, voyant cela mon frère lécha ses doigts puis alla s’asseoir sur le canapé en me regardant. Il m’observait attentivement, de mon côté je mouillais de plus en plus, je n’était plus sa sœur mais sa chose, je me sentais salope, et je doit dire que sa ne me déplaisait pas. Mes tétons était de plus en plus durs, mon bassin se trémoussait sur la chaise je gémissais de plus en plus, et je commençais à transpirer.

Après plusieurs minutes de ce traitement, mon frère se leva et vint mettre le vibro en position plus rapide avant de repartir à sa place d’observateur. Ma chatte dégoulinait littéralement, je gémissais de plus en plus fort quand tout d’un coup j’entendis la sonnette de la porte. J’eus subitement très peur d’être surprise dans cette position. Mon frère se leva nonchalamment, se rendit à la porte et regarda dans le juda, puis me fit signe que tout était OK, et, à mon grand étonnement, ouvrit la porte.

Une femme entra, elle était grande, noire, assez bien faite, et devait avoir le même âge que mon frère. Ils s’embrassèrent longuement. Elle posa ensuite le carton qu’elle avait dans les mains et vint vers moi. Elle me toisa, posa sa main sur ma chatte et récupéra de ma cyprine qu’elle lécha.

– Ben dis donc ma salope, toi quand tu mouilles tu fais pas semblant.

Elle remonta légèrement sa jupe puis s’assit sur mes genoux et commença à me caresser les seins. C’était la première fois qu’une femme me caressait, c’était à la fois bizarre et très bon. Elle lécha les goûtes de sueur qui dégoulinaient de mon front, puis elle se leva et retourna auprès de mon frère. Ce dernier lui demanda sans détour :

– Comment tu la trouve ?

– Elle m’a l’air très bien, et très salope.

Mon frère s’approcha alors de moi et me dit :

– Je te présente Claire, c’est ma copine, et ce sera aussi ta maîtresse. Donc à partir de maintenant tu m’appelleras maître et elle maîtresse, tu as compris ?

J’acquiesçais de la tête. Claire s’approcha de moi et me retira lentement le vibro de la chatte, ce qui me procura un immense sentiment de bien être et me fit crier de plaisir. Elle lécha longuement la cyprine du vibromasseur puis le posa. Mon frère alla s’asseoir sur le canapé, pendant que Claire se déshabillait. Quant elle fut complètement nue, elle vint s’asseoir sur mes genoux, face a moi, et se plaça tout contre moi, ses seins tout contre les miens, nos tétons se frottaient, les miens étaient déjà bien durs et tendus. Elle m’enlaça, m’embrassa et me lécha dans le cou, puis m’enleva le bâillon et m’embrassa à pleine bouche. C’était complètement différent du fait d’embrasser un garçon, sa langue était fine et douce et je lui rendais volontiers son baiser. Ses mains parcourraient mon corps et me caressaient divinement bien, j’aurais voulu lui rendre ses caresses mais mes liens me privaient de tout mouvement. Elle s’éloigna de moi ensuite de moi pour fouiller un peu dans le carton qu’elle avait apporté.

– Écoute moi salope, tu vas être toute à moi pendant les prochaines minutes. Ton frère va nous regarder et je veux que tu sois une vraie chienne, tu m’as compris ?
– Oui.
– Oui qui ?!
– Oui maîtresse.

Elle sortit du carton deux pinces à tétons vibrantes, qu’elle plaça aisément sur mes tétons en érection, sans pour autant les mettre en marche à ce stade. Puis elle retourna au carton et sortit un double gode en latex rose transparent. Elle m’écarta les jambes et m’enfonça le gode sans ménagement, puis commença à réaliser de petits va-et-vient en moi. N’ayant plus le bâillon en bouche, mes gémissements purent enfin s’exprimer et résonner dans toute la pièce. Elle mit en marche l’un après l’autre les pinces-tétons vibrants : les vibrations partaient de mes tétons et se propageaient dans mes seins. J’éprouvais une sensation de douleur, mais c’était aussi tellement bon…

Elle s’arrêta de me masturber, m’enjamba et s’enfonça lentement l’autre moitié du gode dans la chatte, tout en m’embrassant passionnément. Je ne voulais plus quitter ses lèvres, sa langue, c’était devenu un vrai supplice quand ses lèvres quittaient les miennes. Elle commença a remuer son bassin, faisant ainsi bouger le sextoy dans nos vagins respectifs. Ses tétons étaient tout contre les miens et avaient fait tomber les pinces sans que je ne m’en aperçoive tellement je ne sentait plus mes tétons. Mon corps était en feu, je brûlais de désir pour ma nouvelle maîtresse qui commençait elle aussi à gémir en bougeant son bassin.

– Alors ma cochonne, tu aimes ?
– Oui maîtresse.
– Ton frère m’a raconté que tu te masturbais tous les soirs en rentrant à la maison, c’est vrai ?
– Oui maîtresse.
– Il m’a tout dit sur la petite salope que tu es… Comment tu es venu lui demander qu’il te masturbe, comment tu lui a demandé de te baiser. Tu as aimé ça ?
– Oui maîtresse.

Elle arrêta ses mouvements et se leva, puis sortit le gode de la chatte en se mordant les lèvres. Elle me replaça le bâillon sur la bouche et me gratifia d’un petit bisou sur la joue, puis se dirigea vers mon frère qui s’était déshabillé pendant que Claire s’occupait de moi. Il l’attendait sur le divan, le sexe tendu. Alors qu’elle lui tournait le dos, mon frère se leva, la pencha en avant, écarta ses fesses, et s’enfonça sans mal dans son cul. Claire ferma les yeux et se mordis les lèvres en sentant le sexe de mon frère entrer en elle. Lionel l’agrippa par les hanches et fit de rapides et puissants allers-retours en elle, lui arrachant des cris de plaisir à chaque coup de reins. Je voulais être a sa place, je voulais sentir sa bite en moi et ses mains sur mon corps nu. Ma chatte dégoulinais de plus en plus en profitant de ce spectacle. Alors que j’étais à ces réflexions, mon frère me regarda et me dit :

– Alors ma salope de sœur, tu aimes ce que je lui fait ?

Je fis oui de la tête, puis Claire me dit à son tour :

– Ne t’inquiète pas ma chérie, tout à l’heure ça sera ton tour.

Puis les deux amants reprirent leurs ébats. Lionel lui prenait le cul tout en lui caressant la chatte. Je voyais les jambes de Claire trembler, sous les assauts de mon frère, elle criait et en redemandait, alors il lui enfonça deux doigts dans la chatte et la masturba à une cadence effrénée. Les jambes de Claire fléchissaient, mais elle essayait tant bien que mal de rester debout sous les puissants assauts qu’elle subissait. Je n’avais jamais vu une femme crier autant de plaisir et aussi fort quand mon frère finit par jouir dans son cul. Quand il se retira, elle retomba a genoux pour reprendre son souffle pendant que mon frère lui caressait les cheveux. Une fois que les deux amants eurent fini de reprendre leur souffle, ils se tournèrent vers moi. Mon frère aida Claire à se lever, puis ils se rapprochèrent de moi. Lionel me détacha, Claire m’enleva le bâillon et me dit :

– Maintenant ma salope, nous allons te dépuceler le cul.

 

Alors qu’ils m’avaient détachée et débâillonnée, la maîtresse partit devant. Mon frère en profita pour m’embrasser tendrement, tout en me caressant le ventre. De mon côté, j’observais avidement le cul de Claire et plus précisément le sperme blanc dégoulinant de son anus, qui coulait sur sa peau noire.

– Tu as vu son cul ma salope ? Il te plait ?
– Oui maître.
– Dans quelques heures tu auras le même.

Il me prit la main et m’emmena dans la salle de bain, où nous attendait Claire, nue, une pompe à lavement à la main. Je m’approchais d’elle tout doucement, appréhendant ce qui allait m’arriver. Claire me prit la main et me tira vers elle, puis me tourna et me fit pencher en avant. Elle me regarda, me caressa les fesses et dit :

– Elle a vraiment un beau cul, je sens qu’on va bien s’y amuser.

Puis elle me donna une claque assez sèche sur les fesses, ce qui me fit sursauter et m’arracha un petit cri. Trouvant cela plaisant, elle me donna une autre claque, répétant l’action précédente. Plus elle me claquait les fesses, plus mes cris étaient forts, et je sentais ma chatte s’humidifier à nouveau. Quelques fessées plus tard, elle m’écarta les jambes et me claqua la chatte.

– Mais tu mouilles comme une pute, je savais que tu aimais les fessées ma chérie.

Mon frère s’approcha de moi, me caressa la joue, et me dit à l’oreille en souriant.

– Si tu es très sage et que tu le demandes gentiment, je te donnerai la fessée tant que tu voudras.

Puis il rejoignit Claire dernière moi. Mes maîtres me caressaient et me claquaient les fesses et ma maîtresse en profitait pour lécher la mouille qui coulait de ma chatte. Quand mes fesses furent assez rouges pour eux, mon maître m’écarta les fesses pendant que la maîtresse m’enfonçait lentement la poire dans le cul. Je sentis petit à petit mon ventre se remplir d’eau tiède. Ils me caressèrent les fesses pendant que la poire remplissait mon cul. Alors que j’avais de plus en plus de mal à contenir tout ce liquide chaud en moi, ils retirèrent la poire.

– Tu te videras que quand on te le dira, c’est compris salope ?
– Oui maîtresse.

Mon frère se positionna devant moi, me caressa le visage et me présenta son sexe.

– Allez, montre a Claire comment tu suces.
– Oui maître.

Je pris son sexe en main et l’enfournais dans ma bouche sans attendre. Son goût était différent de ce matin, il avait pris le goût de ma chatte et de celle de Claire. Je m’appliquais à bien lécher sa bite de haut en bas, tout en lui caressant les couilles comme il me l’avait montré. Mon maître me prit par les cheveux pour me donner le rythme de la pipe pendant que ma maîtresse me caressait la chatte, ses doigts venant caresser mes cuisses, mon clito, mes lèvres pour venir s’enfoncer dans ma chatte. Je gémissais et j’avais de plus en plus de mal a retenir le liquide de mon cul, j’essayais de me retenir tant bien que mal en me tordant dans tous les sens, mais plus je bougeais, plus ma maîtresse me donnais des fessées et moins j’arrivais a me retenir. Je me tenais bien aux hanches de mon frère pour ne pas tomber, alors que son sexe entrait et sortait de ma bouche sans ralentir. Ce n’était plus moi qui lui faisait une pipe mais lui qui baisait ma bouche. Sûr de ma soumission, il agrippa fermement mes cheveux et accéléra le mouvement. Je sentais Claire lécher le jus coulant le long de ma jambe quand mon maître sortit son sexe et jouit sur mon visage dans un râle de plaisir.

Suite à cela, Claire et mon frère ont échangé leur place, ma maîtresse me prit le visage des deux mains et me regarda longuement.

– Hummmm, une vraie pute comme je les aime. Tu avais raison elle est parfaite, une vraie salope.

Puis elle lécha tout le sperme que j’avais sur le visage pendant que mon frère s’occupait de ma chatte. Quand elle m’eut bien nettoyé le visage, elle me dit :

– Vas-y, vides-toi. Tu l’a bien mérité.

À ces mots de délivrance, je me vidais complètement du liquide qui remplissait mon ventre avec un grand soulagement. Une fois bien nettoyée, ils replacèrent le bâillon et m’emmenèrent dans ma chambre puis m’allongèrent sur le ventre dans mon propre lit. Mon frère s’assit sur une chaise à côté de mon lit pendant que ma maîtresse enfila un gode ceinture, dont la réplique de phallus était assez petit et aussi large qu’un tube a essai.

Elle attacha mes chevilles aux montants du lit, m’obligeant à rester dans une position les jambes écartées, puis attacha mes bras dans mon dos et me fis basculer en avant. Elle se plaça derrière moi en me caressant les fesses, me les malaxant et me donnant des petites tapes. Suite à cette entrée en matière, elle m’écarta les fesses et je sentis le lubrifiant très froid couler sur mon anus qu’elle caressait avec ces doigts. Elle enfonça lentement un doigt en moi et le bougea pour bien m’écarter l’anus. C’était une sensation assez étrange, pas aussi bonne que dans ma chatte mais très excitante. Une fois mon anus assez écarté pour elle, ma maîtresse se positionna derrière moi, lubrifia son gode et força l’entré de mon petit trou.

Malgré sa petite préparation, son entrée dans mon cul fut légèrement douloureuse. Elle resta un petit moment sans bouger en moi puis me redressa en me tirant par les cheveux et commença de lentes pénétrations dans mon anus tout en me tenant par les cheveux. Je ne pouvais plus bouger, j’étais totalement offerte. Tout en s’occupant de moi Claire regardais mon frère se caresser. Ils échangeaient des regards passionnés. C’était comme si ils se faisaient l’amour et que moi je servais d’accessoire. J’étais devenu un gode ou une poupée gonflable pour eux, un jouet et j’aimais ça, oh mon dieu oui j’aimais vraiment ça. Après une dizaine de minutes de cette expérience inédite, Claire se retira de mon cul.

– Vas-y, c’est ton tour. Je crois qu’elle est prête.

Je suis restée a genoux sur mon lit, essayant de reprendre mes esprits, et avant que ne m’en rende compte mon frère était derrière moi en train de me palper les fesses. Son sexe faisait pression sur mon anus et entrait lentement en moi, j’avais l’impression d’être déchirée en deux à chaque avancée de son sexe en moi. Mes cris mêlaient douleur et de plaisir. Claire avait pris la place de mon frère sur le fauteuil et se caressait en regardant son amant m’enculer. Une fois son sexe bien entré en moi, il resta un moment sans bouger. Je sentais mon cul se refermer sur son sexe, puis il entama de très lents va-et-vient qu’il accélérait au fur et a mesure. Je gémissait de plus en plus fort, il me maintint avec poigne par les hanches et ses coups de boutoir devinrent rapides et violents dans mon petit trou distendu.

Mes jambes tremblaient j’avais du mal à rester à genoux mais il me tenait bien. J’étais à lui et il prenait pleine possession de mon corps. Ma maîtresse, quant à elle, se masturbais avec un gode et ses gémissements se mélangeaient aux miens pour ne devenir plus qu’un. C’était un moment magique, je prenais un pied d’enfer, je ne voulais plus qu’il s’arrête. J’avais mal au cul mais c’était trop bon. Soudain mon frère s’enfonça profondément en moi pour se vider dans mon cul. Il me lâcha les hanches et je m’écroulais immédiatement sur mon lit. Je sentais le sperme dégouliner le long de ma raie. Je ne pouvais plus bouger j’étais au bout de mes forces et je voyais du coin de l’œil Claire prendre le sexe de mon frère en bouche pour bien le nettoyer. Je voulais les rejoindre mais je manquais de force, je ne pouvais presque plus bouger. Quand mon maître fut bien nettoyé, il me détacha, me débâillonna et me caressa tendrement.

– Alors Marion, ça va ? Tu as aimé ?
– Oui, beaucoup, Maître.
– Très bien, mais surtout tu ne dois le dire à personne, c’est bien compris ?
– Oui.
– Tu sais je suis très fier de toi, tu as été magnifique et très soumise. Si tu est sage on le refera.
– C’est vrai ?
– Oui, mais maintenant il se fait tard, il faut ranger un peu ce bordel, nous laver et te remettre au lit, n’oublie pas que tu est sensée être malade.

C’est vrai qu’il était déjà tard, nous avions fait l’amour toute la journée et je ne m’en était pas rendu compte. Nous avions raté le déjeuner mais je n’avais jamais ressenti la faim, comme si le sexe m’avais servi de nourriture. Nous avons donc tout rangé, j’étais un peu déçue car j’aurais aimé que cela dure encore, mais je savais que j’allais avoir beaucoup d’autres séances.
Et c’est vrai qu’il y eu plein d’autres moments excitants, mais malheureusement pour moi mon frère et Claire ont pris un appartement quelques mois plus tard. Nos séances se sont alors espacées, puis j’ai grandi et je ne suis allée plus que ponctuellement leur rendre visite pour des séances très spéciales. Il faut dire que le nombre d’esclaves avait grandi aussi (toutes des femmes).
Aujourd’hui j’ai 30 ans et je suis tombée amoureuse d’une femme du nom de Ludivine, cela fait quelques temps que nous sortons ensemble, et j’ai arrêté les séances de débauche avec Lionel et ma belle-sœur. De leur côté, ils se sont mariés et attendent en enfant.


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