Ma mère est une femme au foyer, d’éducation très bourgeoise. Elle a la petite quarantaine, les cheveux mi-longs, elle est blonde aux yeux bleus avec une assez forte poitrine. Malgré son âge, elle est encore superbe et même largement baisable par des amants bien plus jeunes qu’elle. D’ailleurs, certains de mes copains m’ont avoué fantasmer, voire se branler, souvent en pensant à elle et je n’ai jamais su très bien comment il fallait que je prenne cette remarque.
Aujourd’hui, je rentre exceptionnellement plus tôt à la maison. Les deux dernières heures de cours ont sautées, les profs étant malades. Une moto et une Clio verte sont garées devant chez nous. Cela m’intrigue : nous habitons au bout d’une allée, dans un quartier bourgeois et tranquille et, à ma connaissance, nous n’attendons personne. Je m’avance vers la fenêtre pour voir l’intérieur de la maison.
C’est avec étonnement que je vois dans le salon quatre hommes âgés d’environ trente ou trente-cinq ans, tranquillement assis sur le canapé en train de siroter des verres de whisky. Ma mère est parmi eux et semble fortement apprécier leur compagnie, bien qu’ils ne répondent pas du tout aux critères de la maison. Ils sont assez « primitifs et vulgaires » pour tout dire et la conversation avec eux ne doit pas voler bien haut. Que font-ils ici ? La situation est assez « claire » pourtant… Malgré tout, je me refuse à cette idée.
Je vois maintenant ma mère, tout sourire, se lever de son fauteuil. Cette fois, à ses paroles, même avec la meilleure volonté du monde, plus aucun doute n’est permis. Avec un ton et un vocabulaire que je ne lui connaissais pas, ma mère les apostrophe rudement : « Bon les mecs, il ne nous reste plus beaucoup de temps. Mes enfants vont se radiner d’ici une bonne heure et moi, j’ai une sérieuse envie de me faire sauter avant ! »
Sur ces paroles, elle enlève son tee-shirt. À mon grand étonnement, elle ne porte pas de soutien-gorge et la danse de ses seins lourds captive tous les regards. Un des hommes s’approche d’elle et se met à lui palper ses grosses loches. Il lui pince les tétons et les fait rouler entre ses doigts, tout en y allant de ses commentaires :
« Bordel, on peut dire que t’as de sacrés nichons. »
« Tu causes, tu causes… Au lieu de causer autant, tu ferais mieux de les téter ! »
À cette invitation, le gars empoigne les seins et ne se prive pas de répondre à ses exigences. Ma mère semble apprécier vivement. Elle prend la tête de son partenaire et la presse avec ravissement contre sa poitrine. La scène dure pas mal de temps et, rapidement, on peut voir des marques de succions orner ses superbes nichons.
À ce spectacle, la salle s’échauffe :
« Enlève le reste, Élodie !»
« Ouais, bordel, on te l’a déjà dit mille fois ! Pourquoi est ce que tu te fringues encore quand tu nous reçois ? »
« Ouais, c’est vrai ça, depuis le temps qu’on te baise ! »
« Allez les mecs, vous savez bien ce que je vous ai dit ; je ne tiens pas à ce qu’un de mes enfants découvre ça ! Qu’est-ce qu’ils penseraient de leur mère ? »
« Ils penseraient que t’es une vrai salope qui joue la bourgeoise ! »
L’insulte ne semble pas choquer maman qui enlève sa jupe et la jette dans le salon. Elle ne porte pas de slip, la voilà nue dans la pièce à présent. Le plus naturellement du monde, les quatre hommes baissent leur pantalon et ma mère se met directement et fort consciencieusement au travail ; Elle suce avec ardeur et science ces grosses queues, leur arrachant des gémissements de jouissance. Sa langue lèche les glands et, de temps en temps, suce les couilles de ses invités. Je suis scié. Une fellation ! Je pensais même qu’elle ignorait ce que c’était.
Ma mère se met à quatre pattes et avec un regard de femme en chaleur elle dit : « À vous de me baiser, maintenant ! Prenez-moi comme une chienne ! » Les hommes s’exécutent. Tandis qu’elle pompe deux gars devant elle, un autre se met derrière. Il pose ses mains sur ses hanches et pénètre maman qui commence à jouir. Il fait des va-et-vient de plus en plus rapides et finit par éjaculer.
Son pote prend le relais. Je le vois cracher sur le cul de ma mère et, avec un grand sourire, il lui écarte les deux fesses et l’encule. Ma mère prend visiblement son pied. Elle accompagne les mouvements de l’homme et commence à gémir de plaisir en hurlant des choses obscènes : « Vas-y ! Vas-y, encule-moi, à fond ! Aahhhhh … encore… aahhhhh ! J’adore, j’adore … aaahhhhhh ! » L’homme inonde son cul de foutre, et passe à son tour le relais à un troisième gars.
Excité par ma mère, l’un des mecs à qui elle taillait une pipe lui éjacule dans la bouche. La voilà qui avale tout sans perdre une miette. Mais elle ne s’en tient pas à cela et elle participe visiblement à son enculade : elle ondule du cul comme une chienne en chaleur. L’homme ne tarde pas à se lâcher à son tour pour le plus grand plaisir de ma mère, fière de la puissante éjaculation qu’elle vient de prendre. Elle se redresse fièrement, rejette sa tête en arrière, passe sa main dans ses cheveux. Ses orifices dégoulinent de sperme et elle semble pleinement satisfaite.
En une fraction de seconde, l’expression de son visage change, ce n’est plus une femelle en rut, mais une sage bourgeoise qui tente de ramener le calme dans sa maison …. « Bon, vous avez été super comme d’habitude, mais c’est l’heure ! Mes enfants ne vont pas tarder. »
Les gars se rhabillent ; C’est l’heure. Avant de partir, l’un d’eux lui dit : « Tu m’excuseras, mais je ne comprends toujours pas que ton mari ne te baise pas tous les jours. Une pute comme toi, je t’assure qu’on la baiserait des heures et des heures ! Et tous les jours. Et par tous les trous. »
Maman, toujours nue et semblant prendre ces paroles comme un compliment embrasse l’homme avec passion. « C’est comme ça les mecs ! Non seulement ça me plait de faire cocu mon mari, mais en plus, j’adore me faire baiser par plusieurs mecs à la fois ! Bon, à la prochaine ! Vous n’oubliez pas d’amener du monde, hein ! »
Je n’en crois pas mes oreilles. Planqué derrière la haie, je les laisse partir et, pour éviter une situation embarrassante avec ma mère, je décide de faire un petit tour dans le quartier, le temps qu’elle puisse se rendre plus « présentable ».
Une demi-heure plus tard, je rentre à la maison. A ma grande surprise, il ne reste aucune trace de la partouze. Le salon, témoin de l’orgie, est dans un état impeccable et ma mère est assise bien sagement dans son fauteuil de cuir. Elle est comme d’habitude, vêtue d’un tailleur strict et élégant, tandis qu’une musique d’ambiance baigne la pièce dans une sérénité totale, renforcée encore par la présence de bâtons d’encens.
Bordel, l’encens ! Je viens de comprendre. Rien de tel pour faire disparaître les odeurs, toutes les odeurs. Le foutre, la bière, toutes les odeurs. Bordel, que j’ai été con ! Deux ans que ça dure et mon con de père qui trouve que depuis que ma mère fait de la relaxation Zen, elle est plus détendue.
Comme à son habitude, ma mère m’accueille en m’embrassant. J’ai un léger mouvement de recul en repensant à sa bouche pleine de sperme de tout à l’heure. Mais, c’est absurde ! Je suis sûr qu’elle a dû se laver les dents.
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