C’est dimanche, il est tôt, dehors il fait gris, rien à faire, alors quelques minutes encore au lit, j’en ai vraiment très envie et puis j’aime trainer au lit, la semaine a été épuisante…
Je suis tranquille, l’esprit léger, tiens, des pas dans l’escalier, c’est vrai ici les murs sont épais comme du papier à cigarette ! Merde, j’entends la poignée de la porte d’entrée, j’ai l’impression que quelqu’un tente de s’introduire chez moi, je n’attends personne…
Là je suis obligée de me lever, j’ai la frousse et puis je ferme toujours le verrou le soir, en même temps je n’étais pas très fraiche en rentrant hier soir, le rhum fait de beaux dégâts !
Je m’assois sur le lit la tête penchée dans le couloir, le palpitant à 120, merde, c’est le voisin, qu’est-ce qu’il fout ici celui-là, c’est un mec plutôt tranquille habituellement, discret, poli, réservé, un brin nunuche même,et plutôt beau garçon. Je n’ai jamais eu de problème avec lui.
Putain, il est chez moi, il semble hésiter comme ne sachant pas ou se diriger, en même temps il n’a jamais mis un pied à la maison mais nous avons très certainement le même appartement. Il a une démarche un peu vacillante, lui aussi a dû avoir une soirée arrosée.
Soudain il m’aperçoit et se dirige vers ma piaule, un peu en fait comme s’il connaissait les lieux, comme s’il était chez lui en fait, putain, il est gonflé et il me fait flipper maintenant.
Décidée à enfin réagir je lui demande pourquoi il est entré ainsi chez moi, et sans avoir eu le temps de réagir, il m’attrape fougueusement et se jette sur moi sur le lit, m’immobilisant partiellement ! Dans ma tête ça carbure à 1000 kms/heure, je suis toujours sous l’effet de la peur, mais excitée en même temps, je sens que je peux le repousser et le frapper avec la lampe de chevet que je touche du bout des doigts. Je me retiens néanmoins, encore abasourdie et curieuse de la suite des événements.
Il me réponds enfin, et dit calmement que je n’ai pas à m’inquiéter, qu’il veut juste mon bien, mon bonheur, totalement givré ce mec ! Il saisit la ceinture de ma robe de chambre qui traine au pied du lit, et mime qu’il m’attache les mains aux barreaux du lit, je ne réfléchis plus, la peur ayant cédée à l’excitation et j’acquiesce.
Totalement immobilisée maintenant, je suis dans de beaux draps, et je vous assure ne pas fanfaronner même si au fond de moi je suis très excitée surtout quand il commence à effleurer doucement ma peau en remontant la tenue que je porte toujours pour dormir.
Je sens ses mains sur ma poitrine, je sens mes tétons qui durcissent paradoxalement car j’ai la trouille, mais je mouille déjà comme une folle, je ne suis pas une nana tout à fait normale !
Je sens que le voisin est très excité également, il y a cette grosse bosse sur mes cuisses et l’engin semble être énorme. Il commence à écarter mes jambes et curieusement je ne me bats même pas, je pourrai me débattre, tenter quelque chose au moins.
Voilà qu’il approche sa tête de mon petit trésor intime et commence à me lécher le clito, les lèvres et toujours aucune réaction de ma part pour me défendre, au contraire je mouille comme une dingue. Il va ainsi me bouffer le la chatte de longues minutes tout en se déboutonnant le pantalon, je reste stoïque et au contraire je commence à gémir de plaisir.
Il va cesser la gâterie délicieuse pour cette fois me mettre en position, il relève mes fesses et sans retenue il me pénètre sauvagement et profondément, il est monté comme un taureau ce salaud !!!
Après m’avoir limée comme une chienne, il va remonter plus haut mes fesses, c’est un autre orifice qu’il vise, il me glisse qu’il va m’enculer profond, et m’assure que je vais adorer cela, mais je ne suis guère portée sur cette pratique en général !
Je tente de me débattre pour la forme cette fois, il est fort et lourd, je n’ai pas la moindre chance d’échapper au supplice qui en même temps ne me déplaît pas tant que cela ! Je sens son gros gland tout chaud qui tente de se faire un petit chemin entre mes fesses, il me pénètre j’ai mal, il ne se retient pas, et va au bout et commence à me limer comme un véritable animal, j’ai mal et j’aime cela en même temps, quelle garce je suis !
Il me branle le clito tout en me pilonnant, je commence tout simplement à adorer cette baise, je me demande tout simplement pourquoi ne m’a-t-il jamais dragué, j’aurai très certainement accepté ses avances, je n’ai pas de mec depuis un moment – trop longtemps – et mon corps de travaille souvent ces temps-ci.
Je vis un moment épouvantable, mais également un moment extraordinaire, je n’ai jamais été aussi bien sautée par un homme, quel gâchis tout de même! Le pire c’est que je me laisse faire comme une pute.
Dring ! Dring ! Dring ! Le réveil, merde !!! Qu’elle heure est-il ? 8 heures, nous sommes lundi, il fait gris, putain quel rêve dément, je n’y crois pas, je suis trempée, j’ai le feu au cul et une envie folle de baiser maintenant. Quel fantasme tout de même avec ce voisin insignifiant, je vais peut-être revoir ma copie, et changer mon fusil d’épaule, il n’est peut-être pas si inintéressant, et si par bonheur il pouvait être monté comme dans mon rêve … je mouille encore à cette idée !
Commenter le récit :