Il y a environ 10 ans, j’étais membre d’une équipe de mini-foot de la région. Je n’ai jamais vraiment eu de vrai talent sportif. D’ailleurs, j’avais rejoint le club parce qu’il leur manquait un délégué. Ma sœur s’était également inscrite comme déléguée remplaçante pour les jours où je devrais m’absenter ou éventuellement être sur le terrain. On était vraiment dans le fin fond du classement, pas de réel talent collectif, mais on prenait beaucoup de plaisir à se retrouver pour se détendre les vendredis soir. La troisième mi-temps à la buvette était d’ailleurs souvent la plus amusante de la soirée où nous étions obligés de noyer notre défaite dans la bière avec l’équipe adverse.
Dans l’équipe je dois bien reconnaître qu’il y avait quelques canons physiquement. La plupart avait entre 20 et 25 ans, exerçaient souvent un autre sport à côté et avaient quasiment tous une copine qui venaient les encourager de temps à autre. Étrangement, j’aurais pu profiter de mon rôle de délégué pour aller les mater dans les vestiaires mais ma présence n’y était pas vraiment indispensable et j’assumais mon rôle sérieusement, passant sans doute plus de temps dans la cabine de l’arbitre pour signer les feuilles de match.
Un mois de février, j’avais envoyé le message de convocation au match comme à l’accoutumée et je n’ai eu que 7 réponses positives. Certes, il ne faut être que 5 sur le terrain mais le football en salle étant fort physique, il est souvent difficile d’assumer tout un match sur le terrain, raison pour laquelle les remplacements sont autorisés à l’infini lors d’une rencontre. J’en parle avec un de mes potes qui pense qu’un 8e serait quand même utile. Je décide de me sacrifier et de me porter volontaire en tant que joueur, je ne pouvais de toute façon pas faire pire que mes coéquipiers depuis le début de la saison. Ma sœur a donc repris le flambeau en tant que déléguée et me voilà dans les vestiaires au milieu de ces mecs bien foutus. Étant plutôt pudique, j’ai tendance à m’installer dans des endroits discrets de la pièce qui ont l’avantage de permettre un angle de vision général sur mes coéquipiers. Nous nous sommes habillés et rendus sur le terrain.
Le match était catastrophique, même si j’étais surpris de ne pas être aussi nul que je ne le pensais. Le score final était de 18 – 2 ! On se dirige vers les vestiaires, ma sœur m’apporte la pile des cartes d’identité pour les remettre aux joueurs et s’en va vers la buvette. Ils étaient déjà tous en boxer lorsque je suis arrivé dans les vestiaires et j’ai donc glissé les cartes d’identité dans la poche extérieure de mon sac de sport pour leur remettre plus tard.
Je me déshabille et me dirige vers la douche collective où ils sont tous déjà là en train de rigoler, leur zob à l’air. Je m’installe à la douche la plus proche de la sortie et tente de rester discret sur mon regard lubrique.
Un des joueurs bien musclé par son métier manuel, me regarde et me lance « Alors délégué, tu kiffes de nous voir tous à poils ? ». Surpris, je tente de faire un air ahuri cherchant à montrer mon étonnement et mon désintérêt. Il insiste et enchaîne « Elle te donne envie ma queue, n’est-ce-pas ? ». Par expérience, je sais que tenter de nier l’évidence donne souvent l’effet inverse et dans ces moments-là j’ai déjà plusieurs fois joué le jeu, ce qui me permet de finalement déstabiliser l’interlocuteur. Je le regarde et réponds « Bof, d’habitude je m’en tape des bien plus grosses que la tienne ». Grand éclat de rire collectif, le groupe le regarde et un d’eux surenchérit « Bahh, comment il t’a cassé ! T’es vraiment qu’une p’tite bite. » En effet, il était blessé dans son amour propre et se rapproche de moi, attrape mes cheveux avec une main et penche ma tête vers son sexe en criant fièrement « On va voir s’il l’aime pas ma queue ».
La force de son geste m’a même poussé à me mettre à genoux me retrouvant face à face avec sa queue qui je dois bien le reconnaître était très attirante. Il avance son bassin de ma bouche et instinctivement je l’ouvre et gobe son sexe. Je commence à lui prodiguer ce qui semble être mon plus grand talent et suce, lèche et pompe bien son sexe rapidement devenu un vrai bazooka dans ma bouche. Il me baise la bouche pas trop rapidement comme pour bien profiter de chaque sensation que je lui procure. J’en avais presque oublié les 6 autres qui nous regardaient, je jette un œil autour de moi et je les vois tous en train de se caresser et masturber la bite. L’un deux se rapproche et dit qu’il veut son tour, je dégage ma tête et la tourne à droite pour le sucer à son tour, son sexe est plus fin mais lui me touche la glotte à chaque coup de rein tellement elle est longue. À ma gauche un troisième se présente et j’alterne avec lui tout en branlant deux autres queues au hasard avec mes mains. Je n’en revenais pas, c’était encore mieux que dans mes rêves les plus fous. J’enchaînais les queues dans ma bouche, dans ma main, avec leurs calibres, leurs pilosités et leurs énergies respectives. Je ne sais pas si je les ai tous eu en bouche mais tous étaient restés dans la douche tout au long en tout cas.
Je respirais difficilement tellement j’étais excité d’enchaîner ainsi les objets de mes fantasmes secrets. Tout à coup, mon assaillant initial revint en position, me pilonna trois ou quatre fois la bouche avec force et déversa ensuite son flot de sperme sur mon visage, ça coulait partout jusque dans mes yeux. Un deuxième très excité par ce qu’il venait de voir reproduit le même schéma d’abord dans ma bouche puis sur mon visage. Autant dire que j’étais aveugle et à leur merci. Ils se sont succédé tous les sept sur mon visage, l’acidité de leur semence me brûlait même certaines zones du visage. Le dernier fit une espèce de caresse sur mon visage en me chuchotant à l’oreille « C’est bon te voilà tranquille, tu peux te laver ». Il me releva et me dirigea vers une douche qu’il allumait pour moi afin que je me rince le corps pour commencer.
Je me suis branlé seul, puis lavé, et ensuite rhabillé, tout le monde était déjà parti du vestiaire. Je les ai rejoints à la buvette, ils faisaient évidemment tous semblant de rien mais m’ont tendu une bière et trinqué à ma santé. L’un deux me fit un clin d’œil, je pense que c’était lui qui m’a relevé et amené vers la douche. On est ensuite tous rentrés chez nous.
Le lendemain, je reçois un message d’un des deux jumeaux de notre club. Ils ont réellement le physique de dieux grecs sans exagérer, une musculature entretenue mais pas exagérément, un visage d’ange, des yeux à tomber par terre et leur sourire, leur sourire… Hum, bref, des vrais beaux gosses. Le texto disait « Salut délégué, c’est toi qui a nos cartes d’identité parce qu’on en aurait besoin pour aller à Londres demain ? ». Je réponds immédiatement « Oui désolé, hier j’ai eu la tête ailleurs ! Comment voulez-vous qu’on s’arrange ? ». Il enchaîne « Si tu veux, on est près de chez toi, on peut passer ? ». Ne pouvant décemment pas faire autrement, j’accepte. Dix minutes plus tard, les voilà tous les deux à ma porte. La vision de ces deux éphèbes à l’entrée de chez moi me remplissait de désir. Je les salue, leur propose de s’asseoir et leur rend directement leurs cartes d’identité afin de ne pas oublier. Je leur demande s’ils veulent boire un verre, ils acceptent et je me dirige vers la cuisine.
Lorsque je reviens, qu’elle ne fut pas ma surprise de les retrouver à deux, le pantalon baissé, la queue à l’air se caressant l’entre-jambes. L’un des deux me regarde et me demande si je veux un second tour ? Vu ce qui s’était passé la veille, j’aurais été débile de refuser et me mets donc à nouveau à genoux entre leurs deux membres et commence à les pomper l’un après l’autre avec autant d’envie que dans les douches. Ils sont vraiment identiques jusqu’au bout et je ne constate aucune différence entre leurs deux queues. À un moment ils me font me relever, un des deux se place derrière moi et l’autre me présente à nouveau sa queue sur laquelle je me penche pour bien en profiter. Je sens en même temps le deuxième me bouffer le cul, me doigter et ce n’est pas pour me déplaire. Une fois dilaté ce qu’il fallait, il se relève et m’enfonce son pieu dans le derrière. Je gémis. Le voilà qu’il entame des va-et-vient en moi pendant que j’ai en bouche son double. J’ai l’impression d’être dans un rêve, il y a une espèce de tendresse dans leurs gestes mêlée à une fougue de jeune en rut. Je prends un pied grave et ne m’en cache pas auprès d’eux. Les voilà qu’ils échangent les positions, je me retrouve à sucer la queue qui vient de me pénétrer le cul tout propre, pendant que l’autre entame lui aussi ses coups de reins dans mes entrailles. L’acte dure encore cinq bonnes minutes, je gémis, je me touche, je suce, je caresse, je lèche quand celui qui est dans ma bouche se crispe et m’envoie tout son foutre en pleine bouche. Quelques secondes plus tard, son jumeau fait pareil dans le trou opposé. Je me relève et je ne sais quoi dire. Je me dirige vers la salle de bains sans rien ajouter. Je me rhabille et reviens vers eux qui sont eux à nouveau assis devant leurs verres. Un des deux me regarde et me dit « T’es vraiment au top comme délégué ! ». Je rougis et me contente d’un « Merci. »
2 réactions