Ma meilleure copine étant en stage en Italie, j’en ai donc profité pour aller la voir pendant mes vacances. Je suis plutôt timide, petite et brune et j’ai bien envie de visiter la région. Apparemment elle a sympathisé avec un de ses collègues et nous sommes invitées à une fête. Le seul problème…c’est que je ne parle pas du tout italien.
On a commencé l’apéro avant même de partir pour la fête, le repérage sur Facebook aussi. Elle est un peu dingue, elle s’imagine pouvoir me caser avec un espèce de paysan fan de motocross, de surcroît italien. À l’entendre je suis désespérée et donc prête à me jeter sur tout ce qui bouge. Ce qui est faux bien entendu, je suis plutôt compliqué. J’applique à la lettre le fameux proverbe : « suis moi je te fuis, fuis moi je te suis »…
Bref revenons au sujet. On a commencé par créer un cocktail qui répugnerait tout Italien digne de ce nom : un mélange de limoncello et de jus de fruits. Ça a franchement un goût de Paic citron, mais ça monte directement à la tête (surtout que le repas c’est pas encore pour maintenant).
Puis direction la fête. Son collègue est sympa mais pas moyen de communiquer avec lui, il parle un drôle d’italien et rien de plus. Et à priori il a des vues sur elle, ce qui est peine perdue car elle est accro à son copain. Mais bon s’il aime se prendre des vents c’est son problème. En fait, ce n’était pas une fête mais plutôt une fête du village… un peu comme en France, sauf qu’ici c’est moins la loose. Des chapiteaux, un orchestre, une piste pour danser, des tables et des stands de bouffe. Youhou c’est la grosse fiesta.
On se commande chacun une pizza et on se pose en attendant les potes du mec. Sans oublier le pichet de bière. J’espère juste que le paysan vu plus tôt sur internet sera là car il était pas dégueu. Alessandro. Grand, mince, brun et peintre en bâtiment apparemment.
Quelques minutes plus tard me voilà entourée d’italiens. Je ne comprends pas grand-chose, ça braille, ça se contredit et pas un ne parle vraiment anglais le top. Étonnement mon verre ne cesse de se remplir, ma copine ne perd pas le Nord. Et moi je me décontracte.
Finalement il arrive, si j’ai bien compris il sort du travail. Conforme aux photos trouvées sur le net, plutôt mignon et les cheveux encore mouillés par la douche qu’il a dû prendre…en clair, il a du charme. Le destin fait bien les choses et il s’assoit à côté de moi. On ne peut pas dire que je l’intéresse, aussitôt assit il a saisi un verre, et a attaqué la énième cruche de bières en piquant un bout de pizza dans l’assiette de son voisin. Je lui jette des regards en coin tandis qu’il parle de je ne sais quoi avec ses potes. Ma copine me donne alors un coup de coude et m’informe que toutes la bandes va chercher des shooters. Je suis sans poser de question et me retrouve bientôt avec un verre de liqueur de fraise dans la main. Pas mauvais d’ailleurs. J’en bois 4 ou 5 en variant les goûts à grands coups de « salute ». L’atmosphère se réchauffe et les gens commencent à me poser des questions. Dans mon meilleur anglais je réponds aux questions de base : mon âge, mes études, qu’est-ce que je fais là, si l’Italie me plaît etc.
Alors que la musique se fait plus forte car la soirée dansante commence, et que j’étais en train de parler avec une fille bien sympa, je me suis fait entraîner avec ma copine vers une table pour un « jeu ». Paie ton jeu en italien. Des cartes et des verres remplis de bière et c’est parti. Nous sommes que 5 à jouer et comme par hasard, le fameux Alessandro est là. Le jeu est marrant même si au final je n’ai toujours pas compris les règles, ce qui m’a d’ailleurs valu d’être éliminée rapidement. Alessandro ne tarde pas à perdre également et vient me rejoindre dans le coin « des perdants ». Vraiment mignon mais pas très bavard. Il tente une ou deux phrases en anglais tout en tirant sur sa clope, mais ce n’est pas très clair avec la musique alors je me contente de sourire bêtement.
Je sens son regard parcourir mon corps. Est-ce que je lui plais ? Il faut croire que oui car il me sourit. Il me propose ensuite d’aller prendre un verre et nous retournons au stand à shooter. Un ou deux shooter plus tard, il me propose d’aller danser. Sérieusement ? Danser à la fête du village ? Il ne faut pas abuser, j’ai refusé direct. C’est un coup à finir sur Youtube. À la place nous sommes allés nous balader à la fête, dans la foule il se tient derrière moi et veille à ce que je ne sois pas bousculée. Et surtout il en profite pour se tenir près de moi, et poser ses mains sur mes hanches. Un peu à l’écart de la fête, on s’arrête sur un banc et il essaye de m’apprendre quelques mots d’italiens. Je ne vais pas aller loin avec ce qu’il m’a appris, mais c’était un bon prétexte pour me toucher et s’observer de près. J’étais un peu joyeuse grâce aux shooters et il me plaisait. Sa peau était chaude et ses lèvres attirantes. J’en étais un peu près là dans mes pensées quand il s’est penché et m’a embrassé. Le goût fraise n’était pas déplaisant. Il était doux et avide en même temps. Sa langue a parcouru ma bouche en même temps que ses mains agrippaient mes épaules et mon dos pour me serrer contre lui. Une bonne séance de bouche à bouche plus tard, il m’entraînait encore plus à l’écart dans l’arrière cours d’une maison.
Tant pis pour ma copine, tant pis pour la fête, tant pis pour ma réserve, j’étais complètement excitée et je ne comprenais pas ce qu’il disait mais ça sonnait drôlement sexy avec sa voix rauque et son accent italien. La cour était peu éclairée, on se serait cru dans un de mes fantasmes, l’orchestre champêtre en plus. Ses mains baladeuses ont soulevées mon tee shirt et n’ont pas tardé à trouver mes seins. Je fais du D, et il avait l’air d’apprécier ça. Moi aussi, surtout quand il a commencé à m’embrasser et à me suçoter le bout qui commençait à durcir.
Il me palpait les fesses tout en m’appuyant contre l’escalier de la cours. Quand il m’a mordillé le cou, s’en a été fini de moi. Je lui ai plus ou moins sauté dessus sans me préoccuper du fait que tout le monde pouvait nous voir. Après l’avoir gratifié d’un « french kiss » de compet’, je l’ai fait s’asseoir sur une marche et j’ai commencé à frotter mes deux seins contre son torse et son visage.
Nos tee shirts n’étaient plus que de vagues souvenirs et son pantalon prenait la même direction. Ça avait l’air lui plaire, il embrassait et léchait tout ce qui passait à proximité de sa bouche. Quand il a défait sa ceinture, ça a été pour découvrir une érection plus qu’intéressante. Il avait une belle queue, et ses mains sur mes fesses et mes hanches me faisaient un effet fou. Ce coquin essayait d’enlever ma culotte sans ôter ma jupe, tout en tâtant le terrain si j’ose dire. J’ai eu alors l’idée de lui faire profiter encore un peu plus de mes attributs de choc. Je me suis positionnée devant lui sur une marche en contre bas, et ai commencé à parcourir son corps de haut en bas avec mes seins. La chaleur et l’excitation nous faisait transpirer et mes seins glissaient tous seuls. Mon projet était un peu osé et aussi complètement nouveau, mais je me suis lâchée. J’ai pris sa bite entre mes deux seins en tenant ceux-ci de sorte à que son membre soit bien entouré et bien au chaud. J’ai alors initié des mouvements de haut et bas sous ses gémissements appréciateurs.
Pour moi aussi c’était très excitant. Son souffle s’accélérait, mais je ne tenais pas à ce qu’il craque avant qu’on ait fait quoi que ce soit. Le temps de récupérer un préservatif dans mon sac (merci la copine prévoyante) et je me suis retrouvée sur lui, toujours sur la marche. Une jambe de chaque côté de son torse, je le chevauchais. Il m’a pénétré en douceur tandis que je plantais mes ongles dans son dos tout en lui mordant l’épaule. La douceur n’a pas duré et il a commencé à initier le mouvement, tout en maintenant fermement mes fesses de sorte à me soulever pour m’empaler toujours et encore sur sa verge.
J’étais vraiment très excitée et je coulissais sans problème sur sa belle queue. Il a accéléré le rythme et j’en ai perdu le souffle. C’était vraiment agréable, le sentir tout au fond me faisait beaucoup de bien et quand il a lâché une de mes fesses pour venir jouer avec mon clitoris c’était le paradis. Ses doigts passaient doucement sur ma fente qu’il parcourait toujours aussi profondément d’autre part, et je sentais le plaisir qui montait. Ses doigts associés au frottement de son corps contre le mien , me faisaient mouiller encore plus. Je ne pouvais retenir mes gémissements. Il me murmurait des phrases en italien (pas moyen de comprendre quoi), mais quand il a posé sa main contre ma bouche pour me faire taire, j’ai compris. J’ai essayé de me faire plus silencieuse mais il n’aidait pas, car il a changé de position presque aussitôt. Il m’a allongé sous lui sous le perron, et comme un vrai gentleman a pris soin de poser sa veste dessus avant. Et il m’a pénétré au plus profond tout en maintenant mes jambes fermées. Je sentais son membre brûlant frotter contre toute la paroi de mon vagin et tout son corps s’appuyait sur le mien. Il donnait des grands coups et parfois ressortait et rentrait totalement. Je n’en pouvais plus. Je sentais son cœur battre comme un fou, et son souffle devenir court, il n’allait pas tarder à jouir, et je n’étais pas loin non plus. Il a subitement accéléré le mouvement et m’a pris plus sauvagement qu’auparavant. Je me mordais la lèvre pour ne pas crier tellement c’était bon, et j’ai senti une vague de chaleur indescriptible me parcourir alors que lui venait de s’abandonner. Il m’a pris dans ses bras et on s’est embrassé encore avant de filer retrouver les autres en rigolant et un peu débraillés. On s’est fait griller en deux secondes, j’étais un peu gênée.
Le reste de la soirée s’est bien passé, on a bu encore quelques verres, tout en échangeant baisers et caresses avant de se quitter simplement.
Il ne reste plus qu’à freiner ma copine qui réclame détails sur détails tout en se vantant d’être la pro des rencontres arrangées et blablabla et blablabla.
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