Hortense et Valériane, ont joui atrocement. Hortense accepte que son mari Charles se joigne à eux, mais à condition que Firmin y participe aussi. La douche est rapide, les quatre acteurs se retrouvent au salon, Firmin débarrasse la table basse, il regarde sa patronne en lui souriant. Hortense, lui rend son sourire et dit :
– Firmin je compte sur toi pour bien me finir avec ta verge monstrueuse que j’adore !
Firmin jubile, il sait que sa vieille patronne est une gourmande très chaude qui ne rechigne devant rien. Souvent il doit achever avec bonheur le travail que Charles le mari n’a pas pu terminer.
Charles, quant à lui, est heureux que son manque de résistance est comblé par l’exploit sexuel de son valet Firmin, le bougre sait faire hurler sa femme de plaisir lorsqu’il la démonte avec sa verge monumentale
Malgré son âge, Hortense est très portée sur le sexe, Valériane vient d’en avoir la preuve mais, ce n’est que le début. Charles prend place dans un fauteuil, en fumant un gros cigare. Il sait que la suite sera intéressante, il ouvre sa braguette et en sort sa verge molle. Firmin, comme à chaque fois, se doit de dévêtir sa patronne avec une certaine brutalité que la coquine lui recommande.
Firmin saisit le haut de la robe et l’arrache sauvagement, les seins jaillissent et tombent sur le torse, ils pendent comme deux poires, les bouts larges et épais sont impressionnants. Firmin fait craquer le tissu, ses mains puissantes déchirent la robe de haut en bas. Il saisit la culotte et l’éclate. Il constate que sa patronne mouille sous la brutalité de ses gestes. Valériane reste coite. Elle ne s’attendait pas à un tel scénario. Ses mains deviennent moites, elle est surprise que cela l’excite, sa fente se met à suinter et sa culotte s’humidifier.
Charles remarque l’émoi de Valériane, il lui dit en souriant :
– Cela te plait hein !
Valériane répond en béguant un peu :
– Ben, ben, hum, cela me fait de l’effet !
Viens sur mes genoux regarder le spectacle, Firmin est un maitre en la matière, une fois qu’il aura bien bourré Hortense, ça sera ton tour, regarde bien ce que tu vas prendre !
Comme pour accomplir un rituel, Firmin écrase les mamelons d’Hortense, la vieille pousse un râle et tombe sur la table basse, Firmin lui relève les jambes. Il frotte son gland hors norme contre la fente dégoulinante.
Entre les grandes lèvres pendantes, il agace le clito d’Hortense avec son cèpe royal. Il la regarde et lui enfonce d’un seul coup sa queue jusqu’aux couilles dans le ventre. Hortense pousse un long râle rauque. Malgré les nombreuses pénétrations, la gaine dilatée à l’extrême, supporte avec difficulté le diamètre important du membre. L’employé donne quelques violents coups de pilon, avant de retirer son mandrin du ventre de sa maitresse. Hortense adore ça, c’est le traitement qu’elle-même impose à Firmin.
Il regarde la chatte qui dégouline, saisit entre ses doigts le clito et regarde Hortense, elle lui fait un signe de tête. Firmin appuie fortement sur la boule de chair, Hortense pousse un hurlement terrible. L’homme qui connait bien sa leçon, commence à branler le clito de plus en plus vite. Hortense se tord de plaisir, elle geint fortement puis, d’un coup, se cabre. C’est le signal qu’attendait Firmin. Il prend place rapidement entre les cuisses qui ne cessent de trembler et, enfonce une nouvelle fois dans la chatte de sa maitresse, son engin gorgé de sang. Il la saisit par les hanches et commence un pilonnage qui fait grogner la demandeuse avide.
Le membre entre est ressort avec brutalité de l’antre en feu de la vieille femme. Elle se contorsionne sur la table en couinant. Elle ouvre la bouche et pousse un hurlement affreux, la maitresse Hortense, jouit avec force en giclant, comme elle le fait à chaque fois. Firmin sait ce qu’il doit faire, il retire sa queue et tombe à genoux entre les cuisses largement ouvertes de sa patronne.
Il plaque sa bouche sur la vulve qui envoie encore quelques jets. Il aspire les grandes lèvres pendantes et les suce comme un sauvage. Le bougre ne perd aucunes gouttes du nectar que la chatte laisse échapper. Sa langue s’enroule autour du clito hyper-gonflé et le lèche comme un forcené. Les gémissements que poussent Hortense, sont bruyants. Firmin mordille la boule précieuse puis, l’aspire fortement, Hortense pousse un hurlement de bête, tellement l’aspiration est forte. Valériane frissonne sur les genoux de Charles.
La main du bon Charles, Glisse sous sa jupe et remonte sur ses cuisses, elle s’insère entre le compas de ses jambes. Les doigts noueux se font un passage dans la culotte trempée de la voyeuse. Ils entrent doucement dans le temple inondé et le fouille doucement. Valériane ne cesse de regarder, le couple d’amants.
La bouche vorace de Firmin s’acharne sur la chatte de sa patronne et complice à la fois. Hortense agite frénétiquement son bassin, ses râles prouvent que la cochonne prend un pied d’enfer. Elle se cambre et jouit encore. Enfin Firmin délaisse la chatte brulante et malaxe sans douceur les seins tombants, il roule entre ses gros doigts les tétons sans les ménager. Il regarde sa patronne, elle a les yeux embués et fait une moue et dit d’une voix forte :
– Oui, oui, vas-y !
Firmin, lui écrase les mamelons, les tourne entre ses doigts puissants de gauche à droite très fortement. Hortense se met à jouir comme une fontaine, elle grimace en agitant son corps. Firmin reprend place entre ses cuisses et replonge, son gourdin de chair, profondément dans le ventre d’Hortense. Il la démonte brutalement, sa queue voyage dans la gaine de chair de plus en plus vite. La vieille s’accroche à lui en ne cessant de grogner et jouit encore. Valériane, se demande où va chercher toute cette énergie, cette vieille femme pour jouir autant.
Hortense repousse son baiseur, se met sur le ventre, elle regarde son pourfendeur avec son regard noir. Il ne faut pas faire un dessin à Firmin, pour qu’il comprenne que c’est le moment crucial qu’Hortense attendait. Il écarte avec ses doigts les lobes fessiers et, crache sur la rondelle ridée de sa maitresse. Il pose son gland à l’entrée de la petite porte et pousse fortement. Hortense pousse un long râle rauque qui ressemble à une plainte. Le défonce-cul qui s’enfonce dans son rectum fait cabrer Hortense. Le soudard pousse encore plus fort, sa queue s’enfonce dans la gaine étroite jusqu’aux couilles. Hortense reste bouche ouverte, aucun son n’en sort. Firmin s’accroche à elle comme une bête sur sa proie et, commence un ramonage rectal monstrueux. Hortense grogne en serrant les dents. Le boa qui s’agite en elle la fait rugir comme un fauve. Rapidement la vieille salope jouit du cul.
Valériane s’agite sur les genoux de Charles, elle geint sous les doigts noueux qui la fouillent profondément. Son bouton d’amour est terriblement gonflé, elle retrousse sa jupe, glisse sa main dans sa culotte et saisit le bouton sensible. Elle le branle énergiquement sans omettre de regarder le duo en plein ébat. Ses doigts agiles sur son clito la font délirer de plaisir, elle pousse un grognement et jouit. Excitée comme une puce, elle descend des genoux de Charles, elle lui saisit la queue en semi-érection et la suce comme une affamée. Charles grogne de bonheur, une jeune bouche sur sa queue, ce n’est pas souvent que cela lui arrive.
Firmin continue son travail de sape, Hortense est devenue une machine à jouir, elle jouit plusieurs fois sous les assauts répétés de son amant bien membré. Firmin sent sa semence monter dans sa verge fortement veinée. Il accélère, Hortense pâme, elle est presque en transe. Firmin se bloque et remplit de son sperme odorant le cul de sa patronne qui, sous la douce chaleur, jouit une ultime fois. Firmin retire sa queue du rectum dilaté par sa grosse queue et l’offre en dessert à sa maitresse, qui s’évertue à lui nettoyer le gland gluant avec sa langue.
Valériane suce avidement la verge de Charles, sa bouche miraculeuse la fait durcir. Charles est tendu comme un arc, il se cabre et remplit la bouche de sa suceuse merveilleuse. Valériane a des hauts le cœur, mais fini par avaler la substance visqueuse qui lui remplit la bouche. Hortense, épuisée par les nombreuses jouissances, se lève difficilement, Firmin doit l’aider. Il l’emmène sur le canapé et à la demande d’Hortense il lui offre une nouvelle fois sa queue à téter. Hortense décalotte le gland, sort sa langue rapeuse et la fait tourner de multiples fois autour du gland, elle titille le frein et lèche les perles de rosée qui s’échappent du méat. Firmin rugit, il regarde sa maitresse qui lui fait un clin d’œil. Le coquin a la permission de décharger sa semence dans la bouche de sa patronne qui l’avale sans rechigner. Une substance épaisse avalée, Hortense demande à Firmin de s’occuper de Valériane.
Mais cela est une autre histoire.
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