Je n’ai pas du tout l’habitude de raconter mes exploits sexuels. Je ne le fais même pas avec mes meilleures amies et encore moins avec des inconnus. Mais je ressens l’envie de me livrer anonymement (les prénoms de cette histoire ont été modifiés), d’offrir mon témoignage aux femmes qui me ressemblent et qui pourront peut-être trouver la motivation de distiller du piment dans leur couple. J’écris également ces lignes, car je sais que bon nombre de personnes pourront lire ce témoignage et laisser travailler longuement leur imagination en parcourant mes aventures. Et ça, c’est terriblement excitant.
Je suis Anita, j’ai 31 ans et je suis mariée avec Ben depuis trois ans maintenant. Avant de lui dire oui, nous avions déjà six longues années de relation commune. Autant vous dire que nous nous connaissons sur le bout des doigts. Nous sommes un couple vraiment très soudé. À ma connaissance, il n’y a pas d’infidélité de son côté et ni du mien d’ailleurs. Nous nous aimons réellement et nous communiquons beaucoup sur nos sentiments. Notre vie sexuelle n’est pas des plus folle. Je dirais qu’elle est même tout à fait classique. Nous faisons l’amour toutes les semaines, mais sans plus. Ben a pris un peu de ventre depuis qu’il a franchi la trentaine et moi, je deviens de plus en plus fainéante. L’acte en lui-même est assez classique : quelques préliminaires, comme une fellation ou un cunnilingus, suivis d’une levrette et d’un missionnaire. En ce moment, il me éjacule en moi, car nous essayons enfin d’avoir un enfant. Il est temps de nous y mettre avant qu’il ne soit trop tard. Déjà qu’actuellement nous rencontrons des difficultés.
Cela doit bien faire une année entière que j’ai arrêté la pilule, mais sans aucun résultat concret. Je dois commencer un suivi médical par un spécialiste de renom. Il m’a été conseillé par mon gynécologue de famille. D’habitude, Ben ne veut rien savoir de ce genre de rendez-vous, il a une trouille bleue des cabinets médicaux et de tout ce qui va avec. Mais cette fois-ci, j’insiste auprès de mon homme pour qu’il me tienne compagnie. Je suis assez stressée par la situation, j’ai peur d’avoir un problème m’empêchant de devenir maman. Il accepte de venir avec moi, c’est un amour. Je veux toujours être parfaite lorsque je dois montrer mon intimité à un inconnu, même lorsqu’il s’agit d’un spécialiste du corps médical. Je prends donc soin de prendre une bonne douche, puis je m’épile complètement le sexe et la raie des fesses. Je vais d’ailleurs en profiter pour me décrire un peu. Je suis une femme brune, assez fine, mais avec une grosse poitrine. J’ai le teint légèrement mât et les cheveux lisse. Mes fesses sont assez rebondies, mon mari dit toujours que j’ai le cul rond le plus parfait qu’il n’a jamais touché. J’en suis plutôt fière. Quant à mon abricot, il n’a pas changé depuis mes 14 ans, un vrai sexe d’adolescente, lisse, sans imperfection. Je ne possède quasiment pas de petites lèvres. Il s’agit simplement d’une fissure dont la peau des bords est légèrement plus foncée que le reste de mon corps. Mes seins sont lourds mais fermes. Ils tiennent bien en place et se collent l’un à l’autre. J’ai des tétons roses avec des aréoles lisses, sans aspérité. Je possède un tatouage sur le bas du dos, un ange qui déploie ses ailes, et aussi un petit cœur sur la cheville gauche. Ce sont les traces de ma jeunesse un peu rebelle, mais je les porte avec fierté, ils me rendent sexy et féminine. Dans la vie, je suis contrôleuse de gestion, et j’aime m’habiller d’une façon stricte mais tout de même avec des petites touches de provocation. Je porte souvent des leggings et des bottes, ou alors un tailleur moulant avec des bas. Voilà, vous avez tous les éléments en votre possession pour vous imaginer à quoi je peux ressembler.
Mon épilation est maintenant terminée et il est temps de se rendre chez le docteur. Ben et moi nous installons dans la salle d’attente. La lumière est douce, il y a des magazines et je bouquine un peu pour me détendre. Ben est sur son téléphone comme d’habitude. Il s’écoule une dizaine de minutes, puis c’est à notre tour. Le médecin est assez âgé, avec un certain air de pervers. Mais il est sympathique et me met vite à l’aise. Nous discutons de mes problèmes à son bureau, puis il me demande d’enlever le bas pour m’installer sur la table gynécologique. Je passe donc à côté pour ôter mon legging ainsi que mon string blanc. J’ai maintenant le sexe à l’air, et cette sensation me trouble légèrement. Je m’installe sur la table d’examen, j’écarte les jambes et dispose mes pieds dans les emplacements prévus. Mon intimité est complètement dévoilée face aux yeux du médecin et de ceux de mon mari qui n’a jamais dû voir ma chatte avec autant de clarté. En effet, je suis plutôt sur la pénombre pour le sexe. Le docteur dirige sa grosse lampe ronde entre mes cuisses. Je sens la chaleur de la lumière sur ma petite vulve innocente. Je vois que Ben fixe attentivement mes parties intimes, comme un obsédé. Je n’ai jamais vu un tel regard de détraqué sexuel dans les yeux de mon mari. Je dois avouer que cet aspect inconnu de mon homme, bien que troublant, me fait aussi beaucoup d’effet, et le docteur n’a aucun mal à me pénétrer avec ses ustensiles. Il ausculte mon vagin jusqu’au fond, en marmonnant un diagnostic qui semble rassurant. Je constate du coin de l’œil que Ben est en pleine érection, mais je n’ose rien dire. Le rendez-vous se termine enfin, et nous rentrons à la maison. Dans la voiture, je lui demande timidement s’il se sentait bien pendant l’auscultation.
– Oui, je n’ai jamais été autant excité de ma vie ma chérie.
– Ah oui ? Mais pourquoi donc ? Tu m’as déjà vu toute nue de nombreuses fois…
– Je sais, mais la vision de ce médecin en train de te fouiller me donnait trop d’idées perverses. J’aimerais bien te faire la même chose.
Je suis un peu étonnée par ce que je viens d’entendre. Mon mari chéri fantasme donc sur les jeux de rôle médecin/patiente. Il souhaite jouer au docteur avec moi et me faire des saloperies. Mmmmm… Je crois que par amour, je suis prête à accepter ce genre de délire.
Ben est tout heureux de mon consentement et une fois à la maison, il repart aussitôt pour aller faire des courses. Il revient une heure plus tard avec plein de choses intéressantes. Un thermomètre, une blouse blanche, un masque en tissu et une calotte. Il enfile le tout et me demande comment je le trouve. C’est vrai que c’est pas mal, on dirait presque un vrai médecin. C’est vraiment la première fois que nous nous lançons dans une sorte de jeu sexuel. Nous avons toujours fait l’amour de façon conventionnelle et le changement est radical. Je suis très excitée par ce qui est en train de se passer, et je crois que mon chéri est également dans un état second. Je peux d’ailleurs remarquer que sa longue blouse forme une sacrée bosse au niveau de son entre-jambes. Il me regarde avec des yeux lubriques, le même regard troublant que dans le cabinet du médecin. Il me prend alors par la main et me guide dans la chambre. Nous vivons dans une grande maison, et notre chambre fait plusieurs dizaines de mètres carrés. J’adore les massages, et mon chéri m’a offert une vraie table de professionnel pour la saint Valentin. C’est elle qui va nous servir pour notre jeu de docteur.
Comme chez un vrai médecin, Ben me prie de m’asseoir à son bureau pour commencer l’interrogatoire post-examen. Il fait ça si bien que je rentre réellement dans la peau d’une patiente chez son gynéco. Il me pose des questions précises et je lui réponds que j’ai des douleurs dans le bas du ventre, ainsi que pendant les rapports sexuels. Ben m’annonce maintenant que je dois enlever le bas de ma tenue et m’installer sur la table d’examen. Je sens tout de suite mon intimité s’inonder de mouille et je ne peux rien faire pour m’en empêcher. J’ôte mes habits et m’installe sur la table de massage. J’ai gardé le haut, comme chez le vrai docteur.
Avant que l’auscultation ne commence, mon homme s’empare de tous ses ustensiles. Il prend également une petite lampe de poche. J’écarte bien les cuisses, lui dévoilant ainsi ma brèche toute lisse. Il commence à la visualiser avec sa lampe torche. Il passe ensuite ses mains sur mon bas-ventre pour une petite palpation. Il fait ça mieux que mon vrai gynéco. Il appuie doucement avec ses mains gantées, puis descend sur ma vulve de jeune fille. Je sens ses doigts presser doucement tout le pourtour de ma fente. Il me signale que pour le moment, l’examen est parfaitement normal, mais qu’il doit ausculter l’intérieur de mon vagin pour être certain de ne pas passer à côté de quelque chose d’important. Je lui réponds d’un simple « oui docteur », ce qui a pour effet de le faire durcir encore plus fortement. Je le constate bien lorsqu’il se lève pour chercher son spéculum, il bande deux fois plus que tout à l’heure. Je me demande d’ailleurs bien où il a pu se procurer un tel instrument de spécialiste. Il me confiera plus tard l’avoir piqué dans le bureau du vrai toubib en pensant en avoir besoin pour notre futur jeu. Il a tout prévu, et prit des risques, le petit cochon !
Il revient donc se poser sur le tabouret, bien entre mes cuisses, aux premières loges pour distinguer ma petite chatte lâcher une première goutte de mouille qui finit sa course sur mon petit trou. Mon mari se lubrifie les doigts avec de la vaseline, même si ce n’est pas nécessaire, puis enfonce lentement deux doigts en moi. Je les sens bien, mon vagin est très sensible à la pénétration, qu’elle soit phallique ou digitale. Il commence alors à appuyer le bout de ses doigts sur différentes zones de mon vagin, allant même jusqu’au fond. D’apparence extérieure, mon pubis ressemble à une chatte d’ado, mais à l’intérieur, elle est aussi profonde qu’un puits de jouvence. Il est si loin en moi que les bords de mon abricot lui arrivent presque au poignet. « Doucement docteur! » lui intimais-je.
Il retire alors délicatement sa main pleine de cyprine puis saisit le spéculum. Il me dit savoir l’utiliser, car il a déjà vu des vidéos porno où les acteurs utilisaient ce truc. Je lui fais totalement confiance et j’écarte encore plus les cuissots pour lui faciliter la tâche. Il place ses doigts de façon à m’écarter les lèvres, puis il engage en moi l’appareil de torture. Je sens le métal froid du spéculum s’emboutir dans ma grotte jusqu’au fond. Ben écarte ensuite à l’aide d’une vis les deux branches de l’outil, et ma chatte s’ouvre comme une fleur au printemps. Il examine avec sa lampe la moindre partie de mes parois internes. Il me confie avoir hâte de pouvoir y entrer sa queue. Je le rappelle à l’ordre. Il est maintenant mon médecin, et non mon mari. Il ne peut pas me parler de la sorte. Il s’excuse platement puis continue l’auscultation. Mais je sens maintenant quelque chose de chaud, de légèrement râpeux et d’humide se poser sur mon bouton d’amour. Mais oui, c’est bien une langue que je sens en train de travailler sur mon clito. « Voyons docteur, vous léchez votre patiente ? Ce n’est pas du tout sérieux. Faites ça bien où j’irai me plaindre à qui de droit. »
Le toubib pervers est maintenant coincé. Il est obligé de me faire jouir, sous peine de vivre un calvaire judiciaire et financier. Le jeu prend une tournure très drôle, mais surtout particulièrement excitante. J’adore, j’y prends vite goût ! Ben m’aspire littéralement la chatte, et il fait ça bien. On peut voir qu’il tient à son job, ce cher docteur. Il n’y a pas un endroit entre mon anus et mon clitoris où la langue de mon toubib ne passe pas. Il me lèche vraiment partout, roule des pelles à mon sexe pendant de longues minutes. Je ne peux pas le voir, mais je sais qu’il a sorti son sexe de la blouse pour se masturber en même temps. Je peux sentir l’odeur de sa queue jusqu’ici. Le salaud s’autorise maintenant un toucher rectal en insérant un doigt dans mon petit trou. Il le retire puis le rentre à nouveau, me stimulant l’anus régulièrement et avec doigté.
Je regarde entre mes cuisses, et je le vois, avec sa calotte bleue de médecin urgentiste, en train de réaliser un cunnilingus exceptionnel, tout en me doigtant l’arrière train. Cette vue obscène provoque en moi une énorme montée d’excitation. Mon anus est tout petit, si minuscule et fragile, que sentir un doigt à cet endroit est déjà un supplice pour moi. Mais chaque fois qu’il s’enfonce dedans, je ressens une sorte de décharge de plaisir à m’en tordre les orteils. Il me sodomise avec sa main, et je lui mouille encore plus fort dans la bouche. Il en a plein partout, mais ça ne le dérange pas pour autant, car il continue de s’occuper de mon vagin, toujours plus vite avec sa langue.
Enfin, mon docteur se relève, et tout en me fixant dans les yeux et en se léchant le reste de mouille collant à ses lèvres, il me prévient qu’il doit continuer l’auscultation anale. Il semble qu’il a senti un truc anormal dans le rectum, et qu’il doit explorer cet orifice beaucoup plus en profondeur. Je lui dis que j’ai peur d’avoir mal, mais il me rassure en disant que son sexe est assez fin pour ne pas causer de dommages à ma petite rondelle fragile et sans défense. Je ne peux qu’obtempérer à ses désirs. C’est lui le docteur, et il sait très bien ce qui est bon pour ses patientes. Je suis toujours allongée sur la table de massage. Je relève un peu la tête, et je vois qu’il tient son sexe bien fermement. Il est prêt pour m’explorer le derrière. Je sais déjà que je vais souffrir, mais aussi que je vais avoir beaucoup de plaisir. C’est le prix à payer pour se faire sodomiser comme il faut, même par un médecin pervers.
Je prends chacune de mes petites fesses en main, et je tire assez fort sur la peau, pour tenter de bien écarter l’orifice. Je le vois s’approcher. Son gros gland violet n’est plus qu’à quelques centimètres de mon trou, et je pousse fort, comme si j’étais aux toilettes. Je sais qu’en faisant ça, la pénétration anale sera plus abordable. Ça y est, il est entré en moi. Il pousse doucement. La pénétration est rapide. Mon fessier avale cette queue avec plus de facilité que je ne l’avais imaginé. J’hallucine même lorsque je sens ses deux bourses se presser contre mes fesses. Cela veut dire qu’il est enfoncé en moi jusqu’à la garde. Je mets la largesse de cette dilatation inespérée sur le compte de la grande excitation du jeu de rôle. Ben en profite au mieux. Il réalise de nombreux aller-retour au plus profond de mes entrailles et je ressens intensément chaque passage de son sexe.
Je suis remplie comme jamais, mais je trouve tout de même la force de poser deux doigts sur mon vagin. Je me décuple alors mon plaisir, en sollicitant mon clitoris à une vitesse effrénée. Je me sens sale et vilaine, et j’adore cette sensation de totale dépravation. Je pense que l’orgasme n’est pas loin, et va pointer le bout de son nez sous peu. Mon corps se contracte progressivement, enserrant encore plus le sexe de mon homme. Lui aussi ne va pas tarder à venir, il ne tient pas longtemps d’habitude, et encore moins dans mes petites fesses. Je le regarde et je comprends vite qu’il veut jouir en même temps que moi. J’accélère donc le mouvement au niveau de mon clito à fond afin de ne pas louper le train du plaisir que pilote mon mari. Dans mon petit trou, son engin gonfle et palpite comme un serpent dans son terrier. Je pense sur le moment qu’il va extraire son sexe de mes fesses pour me gicler sur le ventre et le pubis, mais non. Le pervers veut se lâcher dans l’endroit qu’il explore depuis tout à l’heure. Je suis moi-même sous le coup d’un orgasme dévastateur. J’ai la tête qui tourne, et je sens au plus profond de mon intimité une vague déferlante de sperme chaud et visqueux. Ben, le médecin cochon, m’a gratifié d’un versement en liquide des plus conséquent. Il gémit et halète, tout son corps est en sueur. Il finit par se retirer, et je sens l’excédent de semence dégouliner de mon petit trou. J’ai l’arrière train en feu, et des étoiles plein les yeux. C’est décidé, nous allons réitérer ce petit jeu sexuel beaucoup plus souvent !
Commenter le récit :