Bonjour, moi c’est Marine ! Je suis une petite cochonne qui aime le sexe depuis toujours. Maintenant que j’ai dix-neuf ans, je peux enfin le pratiquer comme je l’entends, sans faire courir de risques à mes partenaires. C’est pourquoi, l’autre jour, je me suis laissée aller à sucer Jonathan dans les chiottes du lycée que nous fréquentons tous les deux. Je l’aime bien Jonathan, j’aime son goût, le goût de sa queue. Ce n’est pas la première fois que je lui pompe la bite. Par contre, c’est la première fois que je le fais dans les toilettes. Mais là, j’en avais trop envie, je ne pouvais pas attendre qu’il vienne me voir à la maison. Un prof était absent et plutôt que d’aller au café avec les autres, je l’ai entraîné derrière moi pour lui faire une gâterie.
Il s’est laissé faire car il sait comme je suce bien. J’ai appris dans des films pornos que je visionne en cachette de mes parents, sur le web. J’en ai vu des scènes de fellation avec des actrices porno et maintenant, je peux dire que je suis formée. Jusqu’il y a peu, il me manquait encore la pratique, mais depuis mon anniversaire, je me suis rattrapée. J’ai déjà sucé une bonne dizaine de mecs. Mais celui que je préfère, ça reste Jonathan.
Quand nous sommes arrivés dans les toilettes des mecs, je l’ai poussé dans un cabinet et j’ai refermé la porte derrière nous. Ensuite, je lui ai fait retirer son pantalon complètement. Il a gardé son slip sur ses chevilles et je l’ai fait asseoir sur la cuvette ouverte. Je le trouvais vraiment craquant, comme ça, dans l’attente de sentir mes lèvres. Je me suis agenouillée devant lui, entre ses jambes et j’ai pris son manche en main. Puis, lentement, j’ai descendu le visage dessus en tirant la langue. J’aime bien lécher un peu le gland de mes partenaires avant d’engouffrer la tige dans ma bouche. En général, ça les fait durcir encore un peu plus. J’apprécie qu’ils soient bien fermes dans ma gueule.
Jonathan, lui, était très raide. J’ai pris son engin entre mes lèvres et je me suis tout de suite mise à le faire coulisser. Je tâtais quand même son nœud avec ma pointe au passage. Je sais très bien que c’est ce que les hommes adorent par dessus tout. Mais je sais aussi que si j’insiste trop, trop vite, sur ce point là, ils jouissent rapidement. Je suis gourmande, certes, mais j’aime bien aussi faire durer un peu le plaisir. Avec Jonathan, j’étais tout de même un peu pressée car il subsistait dans mon esprit la crainte d’être surprise dans une fâcheuse posture. Bien sûr, cela ajoutait à notre excitation à tous les deux, mais une découverte par un membre du personnel enseignant aurait pu se révéler très gênante, pour ne pas dire plus.
Pendant que je suçais Jonathan, je lui caressais aussi les boules. C’était pratique car je pouvais le faire en passant à peine la main dans la cuvette des chiottes. J’ai appris ça en regardant Clara Morgane le faire dans une vidéo porno. Jonathan appréciait et lâchait de petits râles annonciateurs de sa jouissance. Quand il a été incapable de se retenir plus longtemps, j’ai accéléré le mouvement. Il m’a envoyé le trop-plein de ses couilles dans ma bouche. J’ai fait exprès de garder tout son foutre dans ma bouche et de le faire glisser lentement dans ma gorge. Je voulais en savourer le goût, la chaleur et la texture.
Ah, j’ai oublié de vous dire. Pendant tout le temps ou je l’ai sucé, Jonathan a tenu ma tête à deux mains. Plus bas, il a fourré son pied contre ma petite culotte et je me suis frotté la vulve dessus, avec son aide. Un autre jour, je vous raconterai comment j’ai pompé un prof qui voulait me coller pour une broutille.
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