C’était il y a quelques jours alors que la neige tombait.
Il est environ 18h quand j’arrive chez moi, j’ai mis un peu plus d’une demi-heure pour faire le trajet, alors que d’habitude il me faut à peine un quart d’heure. J’arrive chez moi, ferme mes volets, lorsque soudain le téléphone sonne. Je vais répondre
– Allo bonjour
– Bonjour c’est moi Aurélie, tu me reconnais ?
– Aurélie…oui ça y est…alors qu’est ce que tu deviens ?
– oh, pas grand chose. Dis moi, je voulais savoir si tu es chez toi ce soir, et si tu aurais une petite place dans un canapé ?
– oui, oui, bien sur, tu es la bienvenue, pourquoi, il y a un problème ?
– non…enfin si…je viens de faire les soldes et comme tu as du le voir, il neige beaucoup…j’ai pas le courage de me taper 100 km par un temps pareil.
– oui, pas de problème, sauf que je n’ai pas de canapé…par contre, j’ai un second lit, ça fera l’affaire ?
– oui, tout à fait merci. Je peux entrer ?
– tu es ou ?
– juste en bas, devant ton immeuble
– ah…ben je t’ouvre alors…tu sais ou c’est ensuite ?
– non, pas du tout
– bon alors en entrant tu prends à gauche, tu appel l’ascenseur, tu vas au quatrième et c’est au fond du couloir, à gauche….
– d’accord j’arrive
Au bout de quelques instants quelqu’un frappe à ma porte, je vais ouvrir de ce pas. Devant moi se tient Aurélie, vêtue d’un pantalon en jean bleue, d’un gros blouson doublé rose pale entrouvert, qui laisse apparaitre un pull blanc. Dans ses bras elle porte 2 grands sacs (C&A; et Babou).. Elle les pose, nous nous faisons la bise, puis elle les reprends et je la fais entrer dans mon modeste appartement de 40m².
– tu avais peur qu’on te les voles ?
– non…mais en fait je voulais, si ça ne te dérange pas, les essayer et avoir ton avis.
– ah…bien sur…bon alors la porte à gauche, c’est le débarras, tu peux les poser là. A droite tu as la salle de bain et les toilettes. je crois que c’est là qu tu te changeras si tu veux. Sinon, comme tu le vois là c’est le salon qui fait aussi chambre. Il y a deux tables, deux petits lits, dont un qu’il faudrait faire. et la petit petit décrochement c’est la cuisine.
– ce n’est pas très grand…
– non effectivement, mais ce n’est pas très cher non plus. Tu me donnes ton blouson, que je le pende avec le mien au dessus de la baignoire ?
– oui, bien sur.
Elle pose alors ses 2 sac, et retire son blouson rose pale. Je le prend, et vais immédiatement l’accrocher au dessus de la baignoire. Je lui propose des patins un peu grand, puisqu’elle vient de poser ses chaussures.
– Je n’ai pas grand chose à manger…si tu veux on peut se faire un restaurant…
– non ça va aller, je ne mange pas beaucoup le soir.
– bon, tu fais comme tu veux alors…
– je vais te montrer ce que j’ai acheté, d’accord ?
– oui, vas-y, je vais regarder mon courrier pendant ce temps.
Aurélie entre alors dans la salle de bain, en emmenant ses 2 gros sacs, puis elle ferme la porte. J’allume mon ordinateur, et je commence à regarder le courrier qu’à apporter le facteur…rien de bien intéressant ma fois, mais je garde quand un prospectus. Aurélie sort alors de la salle de bain, elle porte un pantalon noir moulant, ainsi qu’un pull noir et blanc rayé. Dans ses peids, elle porte des chaussures à talons aiguilles blanches. Je la regarde, elle se tourne, fait quelques pas.
– Tu veux vraiment mon avis ?
– oui, vraiment…
– tu es très jolie comme çà, mais moi personnellement je n’aime pas les vêtements rayés.
– tous les gouts sont dans la nature…pour une note de 1 à 10, tu mettrais combien ?
– je sais pas…5…6
– d’accord, je reviens.
Je me dirige alors vers la cuisine pour jeter le reste de la publicité dans la poubelle, pendant qu’elle retourne se changer dans la salle de bain. Maintenant que l’ordinateur est allumé je regarde mes mails. Aurélie revient alors. Cette fois, elle est vêtue d’une jupe marron et d’un chemisier beige découvrant ses bras. La jupe assez longue est fendu sur la cuisse gauche.
– Et maintenant ?
– euh…là je n’aime pas trop…les couleurs et l’allure générale
– quelle note ?
– 3
– ah…quand même….
– désolé je n’aime pas je n’aime pas….
Elle retourne à nouveau se changer dans la salle de bain. Rien d’important non plus dans les mails, 2 ou 3 conneries mais rien de bien vital. Je décide d’éteindre l’ordinateur. Aurélie revient. Elle porte une mini jupe blanche avec des bas noir, et une sorte de pull en laine avec de gros boutons
– Là c’est pas mal….je dirais 8 sur 10
– merci….
– bon, je vais faire ton lit…
– attends, je teste un avant dernier truc.
– un avant dernier…. ?
– promis….et je m’occupe du lit après le dernier….
– bon…soit…
Aurélie retourne dans la salle de bain. J’allume la télévision…comme d’habitude, il n’y a pas grand chose. Je vais m’assoir sur le lit qui est fait, et lorsque Aurélie arrive j’ai le souffle coupé…elle porte une robe blanche assez courte, avec des lacets pour attacher de chaque coté, laissant largement apparaitre son corps. De même une sorte de motif semble avoir été troué à l’avant de cette robe, représentant des fleurs et laissant apercevoir quelques détails de sa peau. Le décolleté de sa poitrine est assez impressionnant. Sa robe, trop courte, laisse apercevoir une culotte noire J’émets un sifflement admiratif.
– Alors ça a l’air de te plaire çà ?
– plutôt oui….je mettrais une note de 10 sur 10…
– j’ai encore un autre truc, mais je dis que je testais le dernier et qu’après je m’occupais du lit…je vais me changer une dernière fois.
– vas-y, j’attends…
J’en profite pour ouvrir mon armure et sortir un pantalon de jogging. Je pose mon jean, et enfile ce pantalon plus confortable. Comme cette fois Aurélie mais plus de temps pour se changer, je m’allonge sur lit en réfléchissant à ce que je vais manger ce soir…
Cette fois, je suis encore plus bluffé…elle porte toujours ses chaussures à talons haut, mais elle porte une robe noire très courte, lui descendant à peine au milieu de ses fesses. Elle lui couvre les épaules, et dispose d’un décolleté assez attirant. Une ceinture noire enroule sa taille, sous laquelle se trouve un petit tablier blanc descendant jusqu’au niveau de sa jupe. Partout, il y a une sorte de dentelles blanche du plus bel effet en contraste avec le noir absolu de la robe. Son décolleté est aussi garni de dentelle blanche. Elle porte de long gants noirs d’une apparence dentelle, montant jusqu’à ses coudes, et laissant apparaitre les extrémités de ses doigts. Ses jambes sont recouvertes de bas résilles noirs, terminés chacun par un nœud papillon blanc, que je n’aperçois que lorsqu’elle se tourne. Sur la tête, elle a un morceau de dentelle blanc supplémentaire dans les cheveux (que je ne peux pas qualifier de chapeau)
– Monsieur est il satisfait ?
Je me relève
– Ah la vache …. ton mari doit pas s’ennuyer souvent..
– Je demande pardon à Monsieur ?
– Pourquoi tu m’appelles Monsieur ?
– Je propose à Monsieur de jouer à un jeu, Monsieur est-il d’accord ? Monsieur sera Monsieur, et moi je serais sa femme de chambre.
– hum….bon d’accord….
– Si Monsieur veut bien m’indiquer ou sont les draps afin que je puisse faire le lit.
Je me lève, et me dirige vers une des chaises, puis je m’assois. Inutile de vous dire que je commence à bander.
– Les draps sont dans l’armoire juste à coté de vous, en haut.
– Je remercie Monsieur
Aurélie se retourne, et…je distingue nettement sa culotte noire. Elle fait coulisser la porte du placard, elle s’étire un peu puis récupère les draps nécessaire qu’elle pose sur mon lit fait. Aurélie prend des postures provocantes tout en faisant son lit, et alors qu’elle est dos à moi en train de border le coté droit à quatre pattes sur le lit, je décide de me lever et de m’approcher d’elle. Il semble qu’elle sente que quelque chose arrive, car elle reste bien campée sur sa position, pliée en deux. J’approche mes mains de ses fesses, retroussant le peu de jupe quelle possède.
– Monsieur aurait-il un problème particulier ?
– non, tout va bien…
Elle déplace alors sa main gauche vers mon entrejambe
– je sens quelque chose de dur ,Monsieur, j’espère que tout va bien ?
– oui oui, tout va bien…
Je commence alors à lui baisser sa culotte tandis que de sa main elle masse le contenu de mon pantalon
– Je pense que Monsieur semble prêt à prendre ma température. Puis-je conseillez à Monsieur de retirer ses affaires afin qu’il introduise plus facilement son thermomètre dans mon anus ?
– Tout à fait, ne bouge pas…
Sa main qui me massait se dirige alors vers sa culotte, et commence à caresser son propre sexe au travers d’elle, pendant que je baise mon pantalon de jogging, puis mon caleçon que je laisse tomber tous les deux à mes pieds. Je les écartes d’un coup de pied vers ma gauche, tout en continuant d’admirer le doigté d’Aurélie. Je repense aussi à cet instant que la dernière fois je n’avais pas vraiment pu profiter de son orifice anal, et je compte bien cette fois rendre mes hommages à son arrière train.
Je me rapproche à nouveau du cul d’Aurélie, et de ma main gauche, je dégage sa culotte vers la gauche afin d’observer le futur réceptacle. Elle se caresse toujours pendant ce temps. Je prends ma bite dans ma main droite, et la guide vers le puits arrière à plaisir. Lentement j’enfonce mon gland dans le trou serré, puis coulisse calmement à l’intérieur. Lorsque ma bite est à moitié enfoncée, je la lâche, et commence à enchainer de lents mouvement de reins, afin de glisser dans son anus serré.
– hum….Monsieur est bien bon…hum…
J’accélère un peu le rythme, puis Aurélie repose sa seconde main sur le lit afin de mieux subir les coups de boutoir. Je continue à la pénétrer, tout en massant ses fesses rebondies.
– hum….ah….si Monsieur me le permet…..je dois le complimenter…
Je retire alors mon sexe de son anus, puis vient le remettre au chaud à l’intérieur de son cul.
– hum….Monsieur est si bon…hum…
J’approche alors mes deux mains de sa nuque, puis attrape ses cheveux en 2 grosses poignées, et je tire doucement sa tête vers moi. Elle décide alors de soulever ses 2 mains, ce qui la met dans un équilibre instable, apparemment jouissif et douloureux, à entendre ses cris de plaisirs mêlés à ses cris de douleurs. Elle repose ses mains sur le lit, pour se remettre à quatre pattes, et je lui lâche les cheveux
– hum….Que Monsieur m’excuse….ahh….. mais Monsieur aurait-il…. l’amabilité….ahhhhh…de se retirer afin que je puisse….hum… préparer le repas…hum…
À cet instant, j’arrête mes mouvements.
– En plus, je ne voudrais pas que Monsieur n’est plus de vitalité pour le dessert, je préférerais gouter à son sucre d’orge et avaler tout le jus
– d’accord, je me retire….j’attendrais le dessert avec impatience
Effectivement, je me recule, et me remet debout dans la pièce. Aurélie remonte sa culotte, puis elle se dirige vers une chaise, qu’elle prend et qu’elle vient poser dos au lit.
– Si Monsieur veut bien s’installer ici ?
– Oui, tout à fait
Je vais donc m’assoir sur la chaise grise. Aurélie débarrasse alors une des 2 tables, puis la soulève pour venir la placer à ma gauche. Elle s’en va alors dans la cuisine, et y passe quelques instants à ouvrir les différents placards et le frigo, puis revient.
– Voici le menu que je propose à Monsieur, si il est d’accord : en entrée, apéritif et amuse gueule à volonté, en plat de résistance pizza piquante. Puis viendra mon dessert, accompagné de la coupe Aurélie
– et bien…parfait, ça me va, mais je ne comprends pas tous les plats.
– Que Monsieur ne s’inquiète pas, Monsieur appréciera, j’en suis sur. Qu’est ce que Monsieur prendra en apéritif ?
– et bien…euh…mettons une bière, tiens…
– Je reviens
Aurélie s’en va alors dans la cuisine, sort une bière du frigo, semble la décapsuler (il n’y a pas d’angle de vue direct sur la cuisine depuis l’endroit ou je suis) puis elle revient.
– Si Monsieur veut bien écarter les jambes…
– oui, bien sur
Elle s’agenouille alors devant moi, m’offrant une canette de bière comme une offrande
– Merci beaucoup.
J’observe la partie de ses seins que son décolleté laisse apparaitre. Comme je bandais un peu moins, ma bite reprend de la vigueur devant le spectacle. Aurélie se relève alors, puis se retourne, afin que je la vois détacher sa ceinture qui retient son petit tablier. Elle jette le tout derrière moi sur le lit, puis fait glisser ses mains le long de ses hanches. Elle empoigne alors sa robe, quelle relève lentement en se dodelinant légèrement. Elle finit de la passer par dessus sa tête, puis la jette à nouveau derrière elle sur le lit. En plus de sa culotte noire, elle porte un soutien gorge noir, entouré d’une bande blanche. Elle se retourne pour me faire face.
– Je peux proposer plusieurs accompagnements à l’apéritif de Monsieur
– très bien, lesquels ?
– le premier est l’humide
– l’humide ?
Elle s’approche de moi, tout en se caressant la lèvre supérieur du bout de sa langue. Puis sa langue force un passage dans ma bouche, et nous commençons à nous embrasser de façon torride. Au bout de quelques secondes, elle s’arrête
– Le second est le croquant
– le croquant ?
À l’aide de ses mains, elle sort ses 2 mamelles de son soutien-gorge, puis les approche de ma bouche afin que je puisse les lécher et les mordiller, ce que je fais de ce pas. A nouveau elle s’arrête rapidement.
– Le troisième est le chatouilleur
– pour l’instant j’aime bien les 2 premiers, mais voyons le troisième.
Elle baisse sa culotte, la laissant tomber à ses pieds, puis va s’allonger le dos sur la table, laissant son sexe à hauteur de ma bouche. J’approche ma langue de son puits, je commence à le lécher, puis à mordiller, puis je la chatouille.
– hum….monsieur a gouté à tous les apéritifs….hum….Monsieur désire reprendre lesquels ?
– Je reprendrai de tout, en sens inverse.
Inutile de vous décrire la suite, vous imaginez sans problème. Lorsqu’elle finit par m’embrasser, elle ne peut résister à son désir de prendre ma bite dans sa main gauche et de la branler tout en m’embrassant…puis soudain, elle recule
– Que Monsieur m’excuse, mais je dois aller préparer le plat suivant.
Aurélie s’en va alors, j’en profite enfin pour siroter ma bière. Apparemment elle ouvre le frigo, et met le four en route, avant de revenir.
– Je tiens à signaler à Monsieur qu’il continue de neiger, même si Monsieur a d’autres pensées en ce moment.
Elle retire alors son soutien gorge et sa culotte. Elle se dirige sur la table, et s’allonge, les jambes écartées. Elle commence alors à se caresser le sexe, plus ou moins rapidement selon son humeur
– Je n’ai pas envi que Monsieur devienne mou, je fais des efforts pour qu’il reste dur
– Ma foi, j’ai bien envi de te foutre….
– Que Monsieur m’excuse, mais Monsieur devrait patienter pour le dessert….
– OK, ok
Tout en finissant ma bière, je la regarde se masturber et pousser des petits soupirs de plaisirs.
Soudain, une petite sonnerie se fait entendre. Aurélie se relève rapidement, et se dirige vers la cuisine. Elle semble faire différentes choses, puis elle revient avec une assiette plate, un couteau, une fourchette et un verre qu’elle pose sur la table à coté de moi. De ses mains gantées, elle me caresse les jambes, puis remonte vers mon sexe sans jamais le toucher. Elle continue ses mouvements et décide de me retirer mon pull et ma chemise. Une fois nu comme un vert, elle s’approche de moi pour que son corps entre en contact avec le mien, et elle se déhanche pour me caresser et m’exciter, comme si je ne l’étais pas assez. Je pose ma canette vide, et commence à la caresser. La sonnerie retentit à nouveau. Aurélie s’empare de l’assiette qu’elle avait posé là, puis retourne à la cuisine. Au bout de quelques secondes, elle revient avec la mini-pizza posée dans l’assiette ainsi qu’une bouteille d’eau. Elle pose l’assiette et la bouteille sur la table, s’empare du couteau et de la fourchette et commence à couper la pizza en petits morceaux d’environ 2cm x 2cm. Elle repose ensuite le couteau, puis vient s’assoir sur mon genou droite
– Et voici la pizza piquante.
Avec la fourchette, elle s’empare d’un morceau de pizza qu’elle guide vers ma bouche. J’accepte avec plaisir le morceau que je mange, tandis que de sa main libre elle me masse le ventre. Au fur et à mesure des bouchées, la main se rapproche de mon sexe et l’agite.
– hum……c’est bon….hum….mais je commence à avoir une petite soif.
Aurélie me lâche le sexe, puis pose la fourchette, et remplit le verre d’eau. Elle le guide jusqu’à mes lèvres, et me laisse boire. Elle reprend ensuite la fourchette pour continuer à me faire manger, mais entre chaque fournée elle couvre de baiser chaque partie de mon corps. Lorsqu’enfin la pizza est fini, Aurélie se lève et retourne dans la cuisine.
Elle revient assez rapidement cette fois, avec un pot de crème au caramel.
– Si Monsieur veut bien se mettre debout
Je me lève alors, ne sachant pas trop ce qui va arriver. Aurélie s’agenouille devant moi, puis ouvre le pot de crème…
– Si Monsieur veut bien m’excuser, j’ai oublié une cuillère, Monsieur accepte-t-il que j’utilise la sienne ?
– oui, oui, vas-y…
De sa main droite, elle s’empare de ma bite, qu’elle fait plonger avec plus ou moins de succès dans le pot de crème. Puis elle laisse mon sexe sortir du pot, partiellement recouvert de crème liquide qui dégouline rapidement. Elle le replonge une nouvelle fois, mais cette fois, elle l’enfourne dans sa bouche sitôt qu’elle le sort du pot. elle recommence plusieurs fois la manœuvre.
– humm…..c’est bon….c’est ça le dessert ?….hum…c’est pour ça que tu voulais garder ma bite en érection ?….hum…tu voulais…
– Que Monsieur m’excuse, je prends mon repas…le dessert de Monsieur n’est pas encore prêt…
– hum…dans ce cas….je te conseille de te dépêcher de finir….ton dessert…parce que je sens que je ne tiendrais….plus très longtemps…
– j’avais perçu un gout bizarre sur la fin, que Monsieur retourne s’assoir, je vais préparer son dessert.
Elle pose alors le pot sur la table, puis déplace la table pour la remettre dans sa position originale.
– Si Monsieur voulait bien aller dans la salle de bain le temps que je prépare le dessert ? afin qu’il profite mieux de la surprise ?
– d’accord
Pendant que je pars, elle retire la chaise. J’attends ensuite plusieurs minutes, entendant divers bruits. Soudain une voix m’appelle.
– Que Monsieur s’approche, le dessert est servi.
Je sors de la salle de bain et rentre dans la chambre. Aurélie est allongée sur le lit qu’elle a défait. Elle n’est pas complétement nue. Son sexe est recouvert d’une énorme quantité de chantilly qui ne laisse rien voir. Une trainée de miel remonte de son sexe jusqu’à son cou. Ses seins sont couverts avec plus ou moins de succès de pâte à tartiner au chocolat, et ses tétons sont masqués par une autre couche de chantilly. Sur son ventre, il y a plusieurs motifs abstrait réalisé avec du miel, mais son nombril abrite une grosse part de confiture. Son visage est partiellement recouvert de miel, et ses lèvres ont eu droit à une couche de chantilly.
– Pour Monsieur uniquement, la coupe spéciale Aurélie…Si je puis me permettre, je conseillerais à Monsieur de commencer par le bas, puis de remonter pour terminer…cela laissera Monsieur assez propre…cependant, je me permets de conseiller à Monsieur de commencer par le haut, puis de descendre, car je m’occuperais ensuite de nettoyer Monsieur, en espérant qu’il me laissera une agréable Banana Split…
– et bien…..
Je m’approche du lit, et vient au dessus d’Aurélie. Je décide de m’agenouiller au niveau de son ventre, puis je m’allonge un peu. Je commence alors à lui lécher le visage, afin de le nettoyer, en en profitant pour l’embrasser. Une fois le visage « propre », je commence à m’intéresser à la partie inférieur. Je cale ma bite entre ses seins, et sentant mon intention, Aurélie comprime ses seins à l’aide de ses mains pour solidifier le passage. Je fais quelques aller retour dans cette masse de chocolat, permettant à Aurélie de sucer parfois un peu de chocolat sur les bords de ma bite. Puis j’arrête mon mouvement. Avant de nettoyer les seins, je commence par nettoyer les mains d’Aurélie, en suçant en léchant pour les rendre bien propre. Je m’attaque ensuite aux seins et aux tétons, en profitant de l’occasion pour les mordiller. Je redescends ensuite, en suivant la coulée de miel, et en faisant un détour vers le ventre. Après m’être régalé sur tout le corps, je me dirige vers le puits à plaisir.
Mes testicules et ma bite déjà imprégné de chocolats, se couvrent d’une couche de chantilly lorsque j’approche mon sexe de celui d’Aurélie. Je me lance alors alors de la dernière partie du dessert, dévoilant peu à peu la partie intime d’Aurélie. Elle pousse quelques soupirs lorsque ma langue joue avec ses lèvres, et lorsque que je les mordille, mais je finis par absorber toute la chantilly avant de continuer de jouer avec son sexe. Puis je me relève
– Le dessert était délicieux…
– Je remercie Monsieur du compliment. Monsieur est-il prêt pour la pièce finale ?
– Je crois que si tu ne fais pas quelque chose ça partira quand même…
Aurélie se relève, s’empare de la bombe de chantilly, et en asperge un peu mon sexe. Elle commence à me lécher les testicules, puis le sexe, afin de me débarrasser de toutes les traces de chocolat, de miel et de chantilly. Lorsque mes couilles sont totalement nettoyées, elle s’en empare de sa main droite, puis commence à nettoyer le gland et la bite. Lorsqu’elle a finie, elle décide de me pomper le dard, mais il faut peu de temps avant que je ne lui décharge trois grosses giclées dans sa bouche, avant qu’elle n’est le temps de ressortir ma bite. Elle la laisse sortir en l’agitant, tout en avalant ce qu’elle a en elle
– hum….Monsieur aurait pu me prévenir…
– désolé, ça faisait trop longtemps que je me retenais, je n’ai pas plus résister plus longtemps..
– bon, ça ira pour cette fois….je vais finir de nettoyer, en laissant Monsieur se reposer
– mais …attends
– non, laisse il n’y a pas grand chose à faire.
Je vais quand même l’aider à ranger un peu, et en allant à la cuisine j’observe que la neige continue à tomber.
– Si ça continue, je crois que demain je pourrais pas trop aller travailler, sauf si ils enlèvent rapidement la neige.
– On verra ça demain…dis….si tu vas pas travailler demain matin, on pourra jouer à un petit jeu ?
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