Emilie, tâte chaque objet, en se pinçant les lèvres. Elle est impressionnée par un gode de bonne taille. L’engin est muni de trois boutons. Curieuse, Emilie appuie sur le premier. Le gland de l’engin se met à tourner, tous les yeux se braquent sur le mandrin en silicone. Le deuxième bouton est actionné. Emilie sursaute, l’engin manque de lui échapper des mains, l’engin est secoué de vibrations terribles. Le troisième bouton fait gicler le gode, un liquide visqueux et tiède est expulsé avec force du membre factice.
Emilie ne quitte pas des yeux le gode en action, elle semble tétanisée. Enfin, elle le stoppe. Jordan dit en souriant :
– Je souhaite que tante Emilie, en profite immédiatement, pourquoi perdre du temps inutilement !
Robert regarde sa femme, et en souriant lui demande :
– Tu te sens prête, ma chérie, à recevoir dans les entrailles un tel objet ?
Emilie se pince les lèvres, elle regarde le monstre et dit :
– Mon Dieu, Robert, il est impressionnant, j’ai un peu peur, tu sais !
Pour la rassurer, il répond :
– Nous allons bien l’enduire de lubrifiant, tu vas avoir avec les vibrations de ce truc, des jouissances, que je crois surnaturelles, ma chérie, prépare-toi, il ne faut pas hésiter !
Emilie s’effeuille, en ne quittant pas du regard le gode. Elle est nue, pas rassurée. Mais jusqu’à présent, ce que lui a fait subir son mari, n’était que du bonheur, des pratiques très jouissives, qu’elle ne connaissait pas. De nouvelles pratiques sexuelles inconnues d’elle, l’émoustillent. Ses sens se mettent à bouillir. Elle si délaissée par son mari, il tente de se reprendre, en décidant de la gaver de plaisirs sexuels. Elle s’allonge sur la table basse du salon, et ouvre largement les cuisses. Sa vulve garnir de lèvres fortement gonflées par les rapports violents, qu’elle a subi, impressionne les trois hommes, elle ne cesse de se contracter et se rétracter sans arrêt.
Jordan, le neveu amoureux, ravale sa salive en ne quittant pas des yeux la vulve. Il réalise seulement maintenant, que sa tante à subit des violences extraordinaires, sans rechigner. Il tombe en admiration devant la chatte béante, il se laisse tomber à genoux face à elle et rapidement plaque sa bouche sur la chatte, il aspire et suce les grandes lèvres. Emilie se cabre en gémissant, le bougre ne lui laisse aucun répit, il lui gobe le clito et le suce voracement, sa tante gémit comme une bête blessée, elle appuie fermement sur la tête de son neveu, en se cambrant fermement. Ses râles sont effrayants, elle semble agoniser. Ses yeux sont révulsés, une grimace déforme son visage d’ange, un filet de bave s’échappe à la commissure de ses lèvres. Elle est sur une autre planète.
Une violente jouissance, la fait revenir sur terre. Elle souffle comme un bœuf, elle est en sueur. Elle semble délirer :
– Jordan, Jordan, je meurs, tu me tues, mon Dieu, c’est atroce, je suis une catin qui ne pense qu’à jouir, j’ai honte de moi !
Le neveu se redresse, il observe la chatte rejeter son jus, il est satisfait de son exploit !
Robert le mari jubile, il ne cesse de dire :
– Oh putain comme elle jouit ma chérie, Charles donne lui ta bite à sucer. Je veux qu’elle se gave du sperme, que moi, je lui offre que très rarement !
Charles offre aux lèvres charnues de sa belle- sœur son gland gonflé de désir. Elle le gobe et le suce comme une vorace, sa bouche experte suce et tète le manche jusqu’à ce qu’il explose. Emilie reçoit une puissante décharge de sperme dans la bouche. Robert se masturbe comme un forcené, il grimace en disant :
– Oh ma chérie, ma chérie, tu es magique, avale mon amour, avale !
Emilie déglutie, et avale en plusieurs fois, la semence abondante que lui a offert son beau-frère. Sa chatte ne cesse de rejeter sa cyprine. Son mari saisit le gode monstrueux avant de l’enduit de lubrifiant, il badigeonne la chatte de sa femme copieusement et en profite pour lui enfoncer plusieurs doigts dans la chatte. Il l’approche de la vulve en fusion. Frotte quelques instant le monstre dessus, et pousse doucement. Emilie grimace, l’engin bien que volumineux est assez souple. Le gland factice s’enfonce de quelques centimètres dans le conduit, en le distendant affreusement. Robert appuie sur un bouton, le gland se met en rotation, et comme par miracle, l’engin de silicone avance lentement dans la gaine de chair, sans que Robert l’aide.
Tous les yeux des voyeurs sont écarquillés, Emilie croit qu’elle va s’ouvrir en deux. Son conduit vaginal, très distendue, peine à recevoir le monstre. Charles saisit un vibro et l’applique contre le clito de sa belle- sœur, et actionne la vibration. Emilie en serrant les dents, pousse un gémissement qu’elle étouffe en se mordant la main. La bite factice s’enfonce progressivement dans son ventre, Emilie souffle comme un dragon. Son clito, très sollicité, enfle de plus en plus.
Le mandrin est dans le corps de la soumise, de plus de vingt centimètres. Robert appuie sur le second bouton, l’engin se met à vibrer fortement. Sa femme se cambre comme un pont un jour de tempête, en grinçant des dents. Le ronronnement bruyant de l’appareil est régulier. Charles joue du vibro sur le clito, en le taquinant. Les gémissements d’Emilie sont terribles, elle ne cesse de répéter :
– Mon Dieu, mon Dieu, Robert, tu me tues, je vais éclater, mon Dieu, il est terrible cet engin !
Il actionne le troisième bouton, plusieurs décharges puissantes remplissent le ventre d’Emilie qui gémit comme une bête malade. Les giclées tièdes facilitent l’avancement de l’engin dans son corps, qui est secoué de tremblements causés par les vibrations du mandrin. Robert commence à faire avec le gode, des allers et retours, qui prennent de la vitesse. Emilie a les yeux exorbités, elle geint, la bouche grande ouverte, un filet de bave s’échappe à la commissure de ses lèvres. Soudain un cri terrible sort de sa gorge, une jouissance inhumaine la fait cabrer comme un cheval fougueux. Elle retombe sur la petite table, de tout son poids. Robert envoie encore plusieurs giclées dans le ventre de sa femme, qui s’agite comme une hystérique.
Avant de retirer le monstre, du corps d’Emilie, elle jouit encore deux fois. Les trois hommes regardent le trou béant, qui rejette un liquide blanchâtre visqueux. Jordan est estomaqué par ce qu’il voit. Il dit :
– Oh la vache, tonton, tu l’as bien arrangé. Oh putain quelle défonce, tante, tes jouissances sont extraordinaires, Tonton, laisse-moi la reprendre par le cul, jouer avec son anus !
Robert répond :
– Oh, oui, oui, encule- la, mais Laisse- là reprendre ses esprits !
Robert semble vouloir rattraper le temps perdu, il veut que sa femme baise jusqu’à l’épuisement, et là, il a du renfort pour défoncer la femme qu’il adore !
Emilie a les yeux hagards, elle git sur la petite table, comme une poupée désarticulée. Sa respiration est rapide, son souffle est court. Sa chatte béante continue de se vider. Son corps est secoué de frémissements incontrôlables, son clito, a la grosseur d’une noix. Au fil des minutes, Emilie refait surface, sa respiration s’apaise, son cœur bat moins vite. Elle dit avec quelques trémolos dans la voix :
– Mon chéri, tu m’as défoncé comme jamais, je ne l’ai été, c’était magnifique, mon Dieu comme je suis ouverte, et j’en ai pour un bout de temps, avant que cela ne redevienne normal !
Son mari en souriant répond :
– Oui, je le reconnais, il va falloir du temps, mais tes jouissances étaient si intenses que cela compense, tu ne crois pas ma chérie ?
Il se penche sur elle et l’embrasse fougueusement, les langues se nouent pour un long baiser. Il desserre son étreint et dit :
– Jordan veut jouer avec ton cul, tu es apte à le recevoir ma chérie !
Emilie ravale sa salive et répond :
– Oui mon chéri, si tu le souhaites, je le souhaite aussi !
Il l’embrasse une seconde fois et répond tendrement :
– Merci ma chérie !
Il l’offre à son neveu, qui bande comme un cerf en rut. Il lui demande de se mettre à quatre pattes, et saisit un plug imposant sur la table, il l’enduit de lubrifiant, et lentement, il enfonce l’engin dans le rectum de sa tante. Il dit en souriant :
– Comme cela, tu seras bien ouverte ma tante chérie !
Bien que dilatée anale ment, Emilie supporte la douleur. Jordan saisit le vibro et le place contre le plug, les vibrations répercutées sur le plug, produisent un effet terrible au fondement de la tante soumise. Sa gaine étroite vibre, la sensation est exceptionnelle. Une fabuleuse jouissance la fait hurler, Jordan retire le plug du cul dilaté, et y enfonce brutalement sa bite. Il se cramponne à elle et lui pilonne rageusement les entrailles comme pour la traverser. Après y avoir déposé sa semence, il se retire, haletant. Tous regardent les dégâts, avec étonnement. Pour son apprentissage lesbien, il faut attendre plusieurs jours, pour qu’Emilie se refasse une santé.
Commenter le récit :