Petite pause sexuelle avec ma secrétaire

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Je suis un homme marié, mais comme la plupart des hommes, après un certain temps, je me lasse et je suis obligé de céder à la tentation. C’est ce qui s’est passé il y a peu de temps. J’ai craqué sur ma petite secrétaire, et si vous la voyiez, vous comprendriez pourquoi. C’est une jolie minette, la vingtaine, les cheveux longs et lisses, de grands yeux de biche et un cul à faire juter le mec le plus résistant du monde. Elle s’appelle Candice, elle est arrivée au bureau il y a plusieurs mois maintenant pour sa licence de comptabilité en alternance. Je suis un directeur commercial compétent, mais j’ai besoin de déléguer pour me concentrer sur le cœur de mon métier : la négociation. C’est pour cette raison que je prends souvent une petite secrétaire sous mon aile pour me décharger des tâches redondantes et chronophages. Mon patron a accepté ma demande et voilà que Candice est arrivée dans la société. Je me souviens encore de son entretien d’embauche auquel j’ai assisté avec le RH. Elle portait une tenue super distinguée. Sur elle, rien n’est vulgaire, elle est taillée pour la féminité et la séduction. Moi et mon collègue sommes tombés sous le charme de cette brunette sûre d’elle et pleine de motivation. Je cherchais avant tout une secrétaire compétente, et je voulais une femme avec de l’expérience. Mais Candice a su nous convaincre, car sous son physique de rêve se cache une professionnelle sérieuse, avec le souci du détail. Et puis j’aime laisser une chance aux jeunes qui débutent dans la vie professionnelle. De nos jours, ce n’est pas si facile pour eux de dégoter un premier poste.

Malheureusement, ce bon geste a failli faire vaciller mon mariage. J’ai la bague au doigt depuis une dizaine d’années. Ma femme Sylvie est un joli bout de femme, et la passion était bien là au début. Mais depuis, de l’eau a coulé sous les ponts, et je ressens beaucoup moins de désir pour elle. Je ne sais pas si c’est la crise de la quarantaine, ou si c’est juste le besoin de savoir que je peux encore me faire une petite jeune, mais les faits sont là, et je ne peux les nier. Je me livre d’ailleurs à vous pour soulager un peu ma conscience. Ce n’est pas la première fois que je trompe ma femme, mais j’ai toujours une sale sensation pendant plusieurs semaines après l’acte. Je pense que c’est normal, et les hommes qui ont déjà été infidèles me comprendront, pour les autres, je vous invite à tester, vous ne serez certainement pas déçus. Tromper sa moitié est un acte grave et irréversible, mais c’est si bon de sortir de la routine, de découvrir un nouveau corps, de sentir de nouvelles odeurs. Je ne vais pas m’étendre sur le sujet, chacun est maître de son destin.

Candice a croisé mon chemin, et nous sommes maintenant liés par un secret immoral. Nous avons baisé ensemble, au bureau, sur notre propre lieu de travail. Baiser cette chienne a été la récompense d’un dur labeur. La petite Candice, en arrivant, était à fond dans le boulot. Elle n’arrêtait que pour chercher un café. Dans ces conditions, j’avais beaucoup de mal à tenter une approche. Dès le début, j’ai voulu me la faire. C’était mon objectif quotidien pendant des semaines lorsque je me rendais au bureau. Un jour, nous devions rester tard pour finir un dossier très urgent. Au final, nous avons bossé dessus pendant des jours et des jours. Nous quittions la boite seulement pour aller dormir quelques heures puis nous revenions. Dans ce climat de proximité et d’effort commun, une petite porte s’est ouverte. La jeune secrétaire était beaucoup plus à l’aise qu’au début. Nous commencions à rire ensemble, se faire des blagues, et se confier sur notre vie privée. Je sais très bien que c’est la meilleure des méthodes pour finir dans la friendzone, mais je n’avais rien d’autre pour commencer mon approche. Ensuite, j’ai trouvé l’idée de rapprocher son bureau du mien. Je lui demandais souvent de venir avec sa chaise pour bosser avec moi sur mon écran. Candice est une experte des tableurs, moi je déteste ça. C’était l’été, il faisait chaud, et la jeunette venait au boulot avec des tenues de plus en plus courtes et moulantes.

Un jour, je voyais bien qu’elle avait très mal au cou, certainement à force d’avoir les yeux rivés sur l’écran d’ordinateur, et je lui proposais un petit massage. Pour mon plus grand plaisir, elle accepta. C’était la deuxième étape de mon plan: avoir un premier contact physique. Je posais mes mains sur ses épaules. Elle portait un mini débardeur noir, et j’avais accès à une grande zone de sa peau. En me penchant en avant, je pouvais voir la naissance de ses gros seins, et même un peu d’aréole qui dépassait du soutien-gorge. J’ai choppé une trique puissante, mais je ne pouvais pas tenter grand chose, il y avait pas mal d’employés dans les couloirs. J’attendais la bonne occasion, et je savais qu’elle allait se présenter. Dans ce genre de plan baise hors mariage, il faut savoir être malin et patient. En attendant, j’étais tout de même en train de masser les épaules de la petite assistante qui me faisait tant fantasmer, et je me concentrais sur mes mains lui frôlant la peau avec désir. Son épiderme était doux et soyeux. J’avais super envie d’y poser mes lèvres. Candice ne pouvait pas trop me voir, et j’en profitais pour me baisser un peu et sentir sa chevelure. Quel parfum exquis, j’excitais encore plus fort avec cette odeur dans mes sinus.

Je pressais ses muscles un peu plus fort, et j’entendais à ce moment Candice qui lâchait un petit cri de plaisir. Elle avait une voix sensuelle, et je m’imaginais déjà comment elle devait couiner en se prenant une bonne queue dans la chatte ou le cul. La seule chose que je craignais si j’arrivais à la baiser un jour, c’est de gicler trop vite. Son cul est tellement appétissant, tellement rond et bombé, que je n’imaginais pas comment faire pour me retenir en elle plus de cinq minutes. Je ne voulais pas passer pour un puceau, et j’ai fait des recherches sur le web. Il paraîtrait qu’en se pressant la base de la verge, on peut retarder l’éjaculation à volonté. Je me suis donc entraîné longuement avec ma femme. Habituellement, je la baisais une demi-heure avant d’envoyer la purée, mais avec ma nouvelle méthode, je lui ramonais le cul pendant des heures. Elle n’en revenait pas, et je sentais qu’elle devenait encore plus amoureuse de moi. J’espérais que cela marche aussi avec ma secrétaire. Si ma femme savait qu’elle me servait de cobaye pour mes expériences d’infidélité… Je suis vraiment un enfoiré sans scrupule, mais bon, il y a pire que ça dans la vie.

J’étais maintenant sûr de moi pour commencer à passer aux choses sérieuses avec Candice. Il me fallait juste le bon moment pour me retrouver seul avec elle. Je ne voyais pas d’autre endroit pour passer à l’action que le bureau. Nous ne nous voyions pas en dehors du boulot, donc le choix était assez restreint. Justement, mon boss me demandait de rester tard ce jour-là pour préparer un dossier de réunion. Je lui demandais l’autorisation de filer des heures supplémentaires à mon assistante. Il savait très bien qu’elle était en alternance chez nous, et que le code du travail ne pardonnait aucun écart, mais il accepta sans me faire chier. Après l’autorisation du big boss, je m’empressais de demander à Candice de rester un peu tard avec moi pour m’aider à finaliser le truc. Elle accepta tout de suite comme une bonne secrétaire dévouée à son supérieur. Elle avait un sourire que je n’ai jamais vu sur elle, et j’ai commencé à me faire des films. Il était maintenant vingt heures, et les derniers collègues quittaient le bureau pour rejoindre leur famille. De mon côté, j’avais prévenu ma femme que je devais rentrer tard. Elle avait l’habitude de ce genre de plan et ne me posa pas de soucis particuliers. J’étais enfin seule avec Candice, la belle et jeune brune que tout le service veut se taper depuis des mois. Elle portait une tunique moulante blanche et des talons hauts.
J’ai observé toute la journée le string qui se dessinait sous le tissu. Je ne savais pas trop comment faire pour l’approcher, et je lui proposais à nouveau un petit massage des épaules. Elle accepta comme la dernière fois, et je chopais de nouveau une érection de babouin.
– C’est vraiment agréable, rien de tel après une dure journée à fixer un écran. Par contre je ne suis pas sûre que ça soit très moral.
– De quoi ? Te masser ?
– Oui… Tu es marié, ta femme ne serait pas jalouse ?
– Ne t’inquiète pas, ferme les yeux et laisse toi aller, tu en as besoin.
– Si tu le dis…
Mes mains prenaient toutes ses épaules, elle était si fine. Je mettais ses longs cheveux sur le côté, et je pouvais à nouveau distinguer son opulente poitrine. C’est à ce moment que j’ai sentis ses mains sur les miennes. Elle m’amena elle-même au niveau de sa poitrine et me dit qu’elle était un peu tendue à cet endroit également. Stupéfait d’une telle audace, je commençais à lui malaxer les seins doucement, puis de façon de plus en plus intense. Malicieuse, elle me dit :
– C’est plaisant, mais est-ce bien raisonnable ? Si tu veux on en reste là…
– Je ne peux pas, j’en ai trop envie.
– Et ta femme ?
– Laissons-la où elle est.
Candice ne broncha plus un mot et se laissa complètement faire. J’étais le patron, et c’est moi qui allais guider le mouvement. La porte du bureau était fermée à clé, et je pouvais faire ce que je voulais de cette allumeuse. J’étais toujours derrière elle en train de lui pétrir les seins. Ils étaient massifs à souhait, et je les libérais de leur enveloppe de tissu. Ils étaient si parfaits. Ses tétons pointaient déjà. Elle se laissait toujours faire, et j’en profitais pour lui pincer doucement le bout. En même temps, je posais ma bouche dans le creux de son cou pour l’embrasser et la lécher. Elle portait un parfum envoutant, et je sentais mon cœur battre dans ma queue tellement je bandais fort. Je lui bouffais complètement le cou et la joue. Elle se tourna et je pouvais commencer à lui rouler des pelles tout en lui tirant le bout des nichons. Je sentais qu’elle gémissait déjà et qu’elle devait être bien humide. Sa langue me rentrait dans la bouche et nous nous sucions les lèvres à tour de rôle. C’est alors qu’elle fit pivoter sa chaise à 180 degrés pour se retrouver avec le visage à hauteur de la bosse de mon pantalon. Elle se lécha les babines. Je ne la reconnaissais plus, une vraie catin, mais j’aimais ça, c’est ce que je recherchais chez elle depuis notre première rencontre.

Candice prit ma braguette entre ses petits doigts et commença à la faire glisser. Je ne portais pas de slip, je déteste ça, et mon engin fut vite à l’air libre. Il se déploya fièrement comme un soldat prêt à partir au front. Mon sexe bronzé faisait de l’œil à ma secrétaire qui ne tarda pas à lui prodiguer des bisous tout le long de la hampe. J’étais aux anges. Je sentais enfin la bouche de mon assistante sur ma queue. Elle passait sa langue de la base de mes couilles pour remonter jusqu’au gland qu’elle suçotait comme un bonbon. Sa main parfaite et manucurée me saisit la base de la tige, puis elle guida l’engin dans sa bouche, tout doucement. Elle humidifia le bout avec de la salive avant de l’enfourner au complet. Je pouvais sentir son palais tout chaud me râper le bout du casque. Candice avait l’habitude de sucer une queue, ça se voyait. Je la complimentais sur sa façon de me piper le zob et je l’encourageais à continuer ainsi, en y allant un peu plus fort. Elle obéissait comme une chienne docile et commença à me branler la base rapidement tout en me suçant le reste de la verge. Ses gestes étaient parfaitement coordonnés, une vraie actrice de cul la petite. Sa main disponible ne le resta pas longtemps, car la belle décida de me saisir les burnes pour jouer avec. J’adore sentir des mains à cet endroit et mon dard gonfla encore un peu plus. Il était dur comme un pied-de-biche et il voulait se plaquer contre mon ventre. Mais la brunette le tenait fermement pour continuer de le guider dans son orifice buccal.

Sa petite langue jouait sur la peau de mon gland pendant que ses joues imprimaient sans cesse une succion puissante. J’avais un véritable aspirateur collé à la bite, personne ne m’avait pompé avec autant de qualité depuis bien longtemps. Je ne pouvais pas me contenter d’une fellation, j’avais trop envie de la péter, et je voyais bien qu’elle aussi voulait recevoir mon  engin dans la chatte. Mais avant je voulais lui dévorer la raie. Son cul m’hypnotisait depuis si longtemps, je voulais enfin voir ce qui se cachait sous ses tenues moulantes. Je lui ordonnai de me lâcher la queue et de se mettre en levrette. Son fessier rebondi était là, devant moi, prêt à se faire renifler. Je m’empressai de lui baisser son pantalon. Son string était minuscule, et il coupait son cul en deux d’une manière quasi-symétrique. Il était comme je l’avais imaginé : juste parfait. Ni trop gros, ni trop petit. De la bombe. Je tombai à genoux comme un forcené et je pris ses fesses exquises à pleines mains. Je plongeai ma tête dans sa raie et reniflai un grand coup. Mon dieu, quelle fameuse odeur de cul. Ça sentait le fion et la mouille en même temps, mélangé avec un peu de transpiration et de gel douche. Je lui humai longuement le cul, comme un chien en rut. J’étais un animal, une vraie bête qui flairait le fion de sa proie avant de lui monter dessus. J’écartais la ficelle de son string et je découvris enfin son petit trou. Il était légèrement strié. Sa couleur était la même que la peau qui l’entourait, ou peut-être légèrement plus sombre. Je plongeai ma langue dedans, il avait un goût prononcé de noisette chaude. Je me délectais de ce met de choix pendant un laps de temps indéfinissable, tout en lui caressant la vulve. Son sexe aussi sentait la mouille, et pour cause : il était lubrifié comme une vraie rivière. Je savais maintenant que Candice me désirait autant que moi je la désirais. Après cette longue séance de dégustation anale, je me levai et lui fichai directement mon sexe dans la plissure. Elle esquissa un petit cri et me pria de la labourer bien fort. Elle tournait sa tête sur le côté pour me regarder avec ses yeux de biche. Son regard me rendait fou et je la défonçais encore plus fort. Ma queue remplissait complètement sa grotte d’amour, je sentais bien mon gland cogner le fond à chaque passage. Sa mouille épaisse entourait toute ma verge, et de l’écume se formait à la base de mes couilles, ce qui remplissait la pièce de clapotis humides. J’adore tous ces sons que peut produire une baise hard. Je lui donnais également de grosses claques sur le cul. Elle avait l’air d’aimer donc j’y allais encore plus fort. Je sentais que je ne tiendrai pas longtemps dans une chatte si accueillante, malgré mes longues heures d’entraînement. Je faisais tout mon possible pour me retenir, mais c’était dur, voire impossible.

Son sexe était bien meilleur que celui de ma femme, je ne pouvais pas le nier. J’essayais de penser à des choses repoussantes, mais la petite Candice continuait de remuer son cul sur ma queue, ne me laissant aucun répit pour reprendre mes esprits. Je savais très bien que j’allais à nouveau la baiser, et qu’il était temps pour moi de jouir un grand coup. Je demandais à ma secrétaire si elle acceptait de recevoir mon jus sur le visage. Je savais que c’était une petite salope en manque, et je ne fus pas étonné lorsqu’elle accepta courageusement. Elle se plaça à califourchon entre mes jambes et pris mon sexe fermement pour le traire bien fort. Je voyais sa petite gueule de pute devant moi. Elle sortait la langue de sa bouche et me faisait des yeux de pétasses. Elle se donnait elle-même des gifles avec mon sexe, et c’est à cet instant que je sentis un orgasme du tonnerre me saisir les couilles et tout le reste du corps. Ma queue se transformait en tuyau de pompier et j’arrosais la figure de ma subordonnée avec quelques bonnes lampées de sperme. Son visage innocent et radieux était maintenant recouvert de grosses traces blanches et visqueuses. Je lui en avais mis dans l’œil et je m’excusais platement. Mais Candice continuait de me traire le sexe, comme une fermière cherchant la dernière goutte de lait. J’avais mal au sexe et lui demandais de s’arrêter. Elle eut du mal à le faire mais elle relâcha enfin ma tige, pour mon plus grand bonheur. Elle me remercia pour cette baise rapide mais intense, et je fis de même. C’était il y a trois semaines maintenant, et depuis, Candice est devenue ma maîtresse attitrée.


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