Cette fois, c’est sûr, je me suis fait gauler ! Deux heures que je m’esquinte à ne pas me faire remarquer quand je reluque dans le décolleté plongeant de la femme de mon patron, et la voilà qui me sert mon café en me mettant sa lourde poitrine juste devant le nez. J’espère qu’elle va se sentir flattée plutôt que choquée. Et surtout que lui aussi.
C’est une magnifique rousse, de la quarantaine. Elle a deux magnifiques obus à la place des seins. Avec des tas de tâches de rousseur qui attirent l’œil comme le miel attire les abeilles. Pendant tout le repas, je n’ai pas pu m’empêcher de la mater. Et elle m’excite vraiment.
Oui, c’est sûr, il a compris l’effet qu’elle me faisait, mais il ne le prend pas mal, au contraire. Il m’adresse un sourire complice, tandis qu’elle s’en retourne vers la cuisine. Ah oui, le côté pile est aussi sexy que le côté face. Sans mot dire, mon boss avale son café d’une traite, se lève et se rend vers le bar où il saisit une bouteille d’armagnac. Comme si je n’étais pas assez rond comme ça.
Pendant ce temps, la plantureuse rouquine a repris place à mes côtés. Je sens son genou contre le mien. Elle doit être passablement ivre, elle aussi, vu ce qu’elle a ingurgité. Elle boit son café, je fais de même, quand je sens sa main, cette fois, sur mon genou. Moi, j’ai toujours les yeux rivés vers ces deux beaux seins. Elle le sait, et elle en joue.
Mon patron est de retour. Il nous sert trois verres de digestif, en tend un vers moi et l’autre vers sa femme. « À la vie, et à la réussite de nos projets » s’exclame-t-il de sa voix de stentor. On trinque. C’est cul-sec, pour elle comme pour lui. Je n’ai plus qu’à les imiter.
Cette fois, c’est elle qui prend la parole : « bien, assez parlé travail, si on passait au plaisir ? ». Joignant le geste à la parole, elle retire d’un geste souple et assuré son petit haut décolleté. Je suis estomaqué. Mon patron, pas du tout. Elle est là, en soutif, un radieux sourire aux lèvres.
« Dumont, comment trouvez-vous ma femme ? » demande-t-il. « Elle est magnifique, monsieur. » « Allons, pas de monsieur entre nous, appelle-moi Serge, fiston. » Pendant qu’il parle, sa femme retire son soutien-gorge, dévoilant deux énormes seins, très fermes, très beaux. Je ne sais plus bien où j’habite.
Elle vient s’asseoir sur mes genoux, ses gros nichons à hauteur de ma bouche. Je les suce, tandis qu’elle plaque ma main sous sa jupe. Elle n’a pas de culotte et son sexe est trempé. A son tour, elle pose sa main au niveau de ma braguette. Comme elle s’en doutait, je bande déjà dur.
Mon patron, de l’autre côté de la table, a déjà déballé son matériel. Une longue et large bite, très raide, qu’il branle tout en me regardant peloter sa femme. Je titille son clitoris du bout de mes doigts. Elle est très sensible. Très vite, elle va jouir, là, sur mes genoux, puis il sera temps de passer dans la chambre à coucher.
Je commençais à m’en douter, mais la soirée ne faisait que commencer
La femme de mon boss est allongée maintenant sur le lit entièrement nue. Les cuisses écartées, elle m’invite d’un geste aimable – mais finalement assez autoritaire – à lui faire du bien avec ma langue. Puis elle tourne la tête pour pouvoir prendre en bouche le gros chibre de son mari. Je m’exécute. Je crois que je n’ai guère le choix, et de toute façon j’en ai très envie.
Je me retrouve le nez posé sur sa touffe velue et rousse, à agiter ma langue sur son clito gonflé. Des deux mains, je saisis ses énormes seins. Je ne me suis pas trompé. Malgré son âge et malgré leur volume, ils sont restés très fermes. Ils sont dressés. J’ai l’impression que je pourrais presque me piquer tant ses tétons sont durs.
Corinne, c’est son prénom, est une jouisseuse. Au bout d’une dizaine de minutes à agacer son petit bouton du bout de ma langue, la voilà qui part de nouveau dans un orgasme profond, rauque et violent. Elle appuie de ses mains sur ma tête pour m’empêcher de l’abandonner au meilleur moment.
Quand elle a fini, elle se redresse et m’adresse un sourire tendre, presque maternel. Je suis finalement le seul des trois à ne pas être nu. Mais Corinne me déshabille. Le sexe de mon patron est toujours aussi raide, humide de la bouche de sa compagne. Moi qui ai toujours cru que les hommes des couples triolistes bandaient mal, ou avaient de toutes petites bites incapables de satisfaire leur compagne, me voilà fixé.
C’est à mon tour de m’allonger sur le lit, les jambes tombant vers le sol. Elle se place entre mes cuisses, et lèche ma bite de la naissance de mes couilles jusqu’au bout de mon gland. Puis elle suce, puis relâche son étreinte pour jouer avec mon frein, caresse mes testicules, remonte encore… C’est divin.
Lui s’est placé derrière elle, en levrette. Mais il ne la pénètre pas. Il fait juste coulisser son gros membre entre les fesses potelées de son épouse et la regarde surtout en train de pratiquer son art de la turlutte. Elle sait à la fois comment me donner du plaisir et comment ne pas me faire jouir.
Il lui tend une capote, qu’elle prend entre ses lèvres. D’un geste sûr et expérimenté, elle déroule le préservatif sur ma verge avec sa bouche. Pas de doute, elle sait y faire, et ce couple n’en est sans doute pas à sa première partie trioliste. Et c’est sans me demander mon avis qu’elle se plante sur ma bite pour me chevaucher.
Toujours allongé sur le dos, je prends à pleines mains ses deux gros nibards qui gigotent devant moi. Elle tord du cul, massant de sa chatte ma bite enflée. De temps à autre, elle se baisse jusqu’à moi pour me voler un baiser. Dans son coin, mon boss se branle en voyant sa femme s’agiter sur le membre d’un autre homme. Il a l’air fier d’elle, de son tempérament de coquine et il a bien raison.
Jamais plus dans ma vie une femme ne me baisera aussi bien que la fait Corinne, la rousse volcanique, épouse de mon patron, qui sait toujours ce qu’elle veut, qui fait toujours ce qu’elle veut.
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