Comment suis-je tombée dans ce monde complètement axé sur le sexe où plaisir et vice se côtoie étroitement ? Comment la femme à la sexualité éteinte que j’étais, il y a encore quelques temps avait-elle pu laisser la place à celle que j’étais devenue, je me le demande encore…
Mais permettez-moi de me présenter Florence, 42 ans, mère de deux enfants, devenu grands et ne faisant plus que bref passages, mariée à un homme charmant avec qui je coulais des jours heureux et paisibles, pleins de complicité et d’affection, mais ou la passion des débuts de notre mariage avait fait place à une tendresse infinie. Autant dire que nos rapports avaient bizarrement pratiquement disparus sans que nos sentiments aient changé et que je me surprenais à m’astreindre à rejeter systématiquement tout ce qui touchait de près ou de loin à l’attirance sexuelle et ses plaisirs. Je travaillais dans une petite agence bancaire située dans un centre commercial. Sur le plan physique, je suis une brune aux yeux noir, d’un mètre soixante neuf, pas trop mal, ceci dit sans aucune vanité, même si à l’époque, je ne faisais rien pour me mettre en valeur, plus de maquillage, plus de coiffeur, j’essayais même de cacher ma poitrine (un 95C mythique) sous des vêtements passe-partout. Bref je coulais des jours heureux, tranquilles, sans surprise même si maintenant, et sans les renier, je trouve que cette vie était bien terne et monotone.
Tout a commencé au départ pour promotion de mon chef d’agence. Celui qui le remplaça était assez jeune, la trentaine, célibataire, plutôt pas mal de sa personne et je le cataloguais immédiatement comme étant du genre séducteur. Je ne fus pas la seule, car Stéphanie, une collègue, belle métisse antillaise dont je jugeais sévèrement la tenue (jupe courte, voire même très courte, chemisier ouvert, trop ouvert, débardeurs etc.…) déploya une belle énergie pour attirer la nouveau venu dans ses rets, apparemment en pure perte…Notre apparence était, même si nous nous entendions très bien, à l’opposé, comme le feu et la glace. Elle bien entendu, était le feu tous charmes déployés et moi la glace, très prude dans les propos et la tenue. Elle plaisantait souvent, me disant que si je n’étais pas mariée, j’aurais fini dans un couvent, que j’étais sexy comme un fer à repasser, etc….La seule chose qu’elle m’enviait était justement ce que je cachais : mon tour de poitrine. Elle soupirait souvent que la vie était mal faite, et qu’avec des seins comme les miens elle aurait fait bander tous les hommes. La jolie Stéphanie s’interrogeait même sur les mœurs du Chef voyant ses efforts non payés de retour. Marc, puis qu’il se prénommait ainsi, s’avéra un bon chef d’agence, compétent dynamique avec des initiatives intéressantes, comme celle de suivre commercialement quelques dossiers clients afin de ne pas nous cantonner dans un rôle strict au guichet de la banque ou avec Stéphanie et Michèle (une autre collègue à la vie en perpétuelle agitation du fait de ses cinq enfants – des jumeaux et ensuite des triplés). Un beau jour, ou, justement je n’étais pas au guichet, Marc me demanda :
« Florence, vous pouvez venir que nous étudions le dossier Legrand »
Courtoisement, il me fit prendre place à une table de travail et vint s’asseoir à mes cotés et nous commençâmes à compulser les éléments du dossier. Au bout d’un moment, et je m’en souviens comme si cela venait de se passer il y a quelques minutes, M. H m’ordonna:
« Florence, ôtez vos lunettes »
Je portais effectivement des lunettes, non pas que j’en eu vraiment besoin, elles étaient surtout faites pour la conduite, mais j’avais pris l’habitude de les garder, sans doute pour éviter d’avoir à me maquiller les yeux et puis, cela complétait mon « look » d’institutrice comme me le faisait remarquer Stéphanie.
Je sursautais et prise de cours, j’obtempérais.
« C’est bien ce que je pensais, vous avez de beaux yeux » reprit-il en souriant avant d’ajouter
« Ouvrez votre chemisier »
Je le regardais, stupéfaite…sans voix…
« Vous ne m’avez pas comprise, ouvrez votre chemisier, allez, hâtez-vous ! »
Quelle raison m’ont fait, ce jour-là accepter d’obéir à cette demande étrange, j’avoue que je n’en sait rien, mais toujours est-il que, les yeux baissés je déboutonnais mon chemisier.
« Bien…, maintenant ôtez le, ainsi que votre soutien gorge »
Là encore, comme un automate, je retirais mon chemisier et devant mon hésitation, il somma de plus belle :
« Le soutien gorge ! allez pressez-vous, vous avez peur que tout cela s’écroule »
Totalement subjuguée, je passais mes mains dans mon dos pour dégrafer le sous-vêtement et vite je croisais les bras dans un réflexe de pudeur. Depuis mon mariage, et à part le médecin, personne n’avait vu ma poitrine nue…
Il se leva, alla verrouiller la porte de son bureau, et sans un mot, il me prit par le bras, me fit lever, décroisa mes bras, me dirigea vers un de ses fauteuils, m’y fit asseoir et, me faisant face, ouvrit tranquillement sa braguette, sorti son sexe. Il s’agenouilla sur le fauteuil, de part et d’autre de mes cuisses et plaça son membre entre mes seins. Puis les saisissant à pleines mains il les utilisa, fort bien d’ailleurs, pour se masturber.
J’aurais du me rebeller, le faire cesser… mais non, rien…je sentais sa verge grossir, mes seins durcir, il y avait bien longtemps qu’ils n’avaient pas été autant sollicités et s’en était presque douloureux, enfin presque ! et aussi…très agréable. Malgré moi et commune une sensation oubliée, je sentis une stimulation que je n’avais pas ressentie depuis des années. Brusquement, il délaissa ma poitrine, me pris par la nuque d’une main et de l’autre présenta sa verge à mes lèvres en disant simplement
« Suce »
Toujours aussi inerte, je laissais son sexe envahir ma bouche et après deux ou trois allées et retour il éjacula. Comme il me maintenait toujours, je n’eus pas d’alternative, j’avalais …pour la première fois de ma vie…J’avais toujours refusé cela à mon mari et autrefois lorsque je lui pratiquais une fellation, j’avais soin de le faire exploser en dehors de ma bouche ou si je lui offrais ce réceptacle, de recracher cette substance aussi après. Mais là…non…morte de honte j’ingurgitais ce qu’il m’imposait. Il me libéra la bouche, se ré-ajusta, en disant.
« Je vous remercie c’était très bien »
Le plus rapidement possible je me rhabillais et confuse je quittais presque en courant le bureau pour aller m’enfermer dans les toilettes pour y reprendre mes esprits. Le soir en regagnant le domicile, je fulminais, Ah l’immonde personnage…, l’obsédé…j’allais immédiatement en parler à mon mari…il lui casserait la figure…j’allais écrire au PDG…il serait viré, condamné pour harcèlement. Il allait voir… Il allait…j’allais…j’allais rien du tout…et s’il voulait recommencer…Les jours passèrent et inconsciemment (pas qu’inconsciemment d’ailleurs) je souhaitais être à nouveau être convoquée. Mais non, rien ne se passait, bien qu’il m’avait semblé qu’il me regardait parfois à la dérobée, mais je me faisais sûrement des idées. Un après-midi alors que j’étais au guichet de la banque, il me dit
« Florence, pourriez me faire cette lettre à la fermeture, j’irais ensuite la poster, je désirerais que cela soit envoyé aujourd’hui »
C’est vrai que ce jour là, Stéphanie étant absente, j’étais la seule pour faire fonction de secrétaire ou en tout cas la plus performante sur ordinateur. A l’heure requise, je fermais donc l’accès aux clients et m’installais pour taper cette courte lettre et l’imprimer. Ce fut vite fait et je frappais à la porte de mon chef pour lui faire signer. Il était assis à son bureau un peu sur le coté et tendis la main vers moi pour que je lui donne la lettre. Je contournais donc le bureau pour me trouver en face…De mon patron, pantalon ouvert, le sexe tendu vers moi et qui ordonna
« Florence, pendant que je relis cette lettre, sucez-moi »
Interdite et sans réaction, sans doute rougissante je lui tendis la lettre et…m’agenouillais entre ses jambes. Timidement je saisis sa verge d’une main et commençais à la presser. D’une légère, oh très légère…,pression de sa main sur ma tête, il m’encouragea à lui prodiguer la caresse buccale qu’il souhaitait. J’arrondis donc mes lèvres et l’embouchais. Toujours en le caressant, je le faisant aller et venir dans ma bouche. Surprise, la première fois, je n’avais pas fait attention, mais là, bien qu’en ayant un morceau dans la bouche, j’avais encore de quoi caresser. En fait, il avait une verge, plus imposante que celle de mon mari, plus longue et plus grosse aussi…Cette pensée commença à m’embraser le ventre et je m’appliquais à ma tâche. Comme pour me prévenir de ce qui allait survenir, il me posa simplement la main sur la tête. Je compris…Et il n’eut pas, cette fois, besoin de me maintenir la tête, il jouit par long jet que je déglutis docilement. Quand j’eus avalé la dernière goutte, je me relevai. Il commenta :
« Vous ne sucez pas mal du tout, vous serez bientôt parfaite, je vous remercie à demain ».
Comme j’allais franchir la porte de son bureau il me lança :
« Florence ! la prochaine fois, je vous prendrai… »
Éberluée, ébahie que venait-il de se passer, qu’avait-il dit … Je n’était pas sûre d’avoir bien compris… Je partis comme un robot, mais un robot dont la culotte aurait été mouillée par l’excitation… quelle honte ! Très émoustillée, ce soir là je tentais des approches auprès de mon mari. Hélas pour moi ce soir là le Real de Madrid rencontrait je nais pas qui pour je ne sais pas quelle coupe si bien que je me retrouvais seule au lit et pour la première fois depuis des lustres, je me caressais jusqu’à l’orgasme en pensant à ce gros membre qui avait-il promis allait de nouveau prendre le chemin de mes lèvres et aussi celui de mon ventre. J’en ai rêvé cette nuit là…Le lendemain, dégrisée, je me ressaisis, j’allais aller voir mon chef et lui expliquer que j’aimais mon mari, que j’avais été deux fois surprises, mais que j’étais une femme honnête, fidèle à son conjoint et que j’étais décidée à …à… à accepter tout ce qu’il avait promis. Il mit au point un nouveau système de fermeture de l’agence. Michèle, Stéphanie et moi n’aurions plus de semaine de fermeture, mais nous le ferions journellement un jour sur trois, Frédéric le commercial étant dispensé de ce travail Marc H. se réservant la mise en route de l’alarme une fois tout le monde parti. Je pensais, alors, avec confusion, que j’allais être seule avec lui tous les trois jours…Je fus vite déçue, pendant plusieurs semaine il ne se passa rien, je commençais à le déplorer ainsi qu’à espérer tous les jours. Un samedi, alors que j’avais fermé les portes, éteint l’éclairage de l’accueil et du guichet j’allais me diriger vers les bureaux…je sursautais…Il était derrière moi. Sans que j’ai pu faire un geste (l’aurais-je voulu) il m’enlaça, sa bouche se posa sur la mienne, sa langue força le barrage de mes lèvres, pour s’enrouler autour de la mienne. Fiévreusement, je lui rendis son baiser. Il m’entraîna vers mon propre bureau, m’y appuya, m’embrassa de nouveau, ses mains caressaient ma taille, se baissant, il saisit l’ourlet ma jupe et commença à la relever. Il laissa échapper :
« Ha! J’aurais du m’en douter, tu portes ces saloperies de collant »
Puis me poussa, m’obligeant à m’allonger le dos sur mon bureau, me releva les jambes, d’une main experte il saisit mon collant et mon slip qui finirent sur la moquette. Il m’écarta ensuite les jambes, sorti son sexe qu’il frotta le long de ma fente qui se trempait de plus en plus. Et avec infiniment de douceur me pénétra. Je sentis sa verge brûlante se frayer un passage dans mon vagin qui n’avait pas été visité depuis si longtemps et jamais par un sexe de cette dimension. J’avais honte, je me laissais sauter comme la première secrétaire venue…mais qu’est ce que j’étais bien…Il me dit
« On sent qu’il y a longtemps que tu n’as pas fait l’amour, toi, quel gâchis ! je vais remédier à cela… »
Il me pénétra à fond avec douceur, m’envahissant complètement, puis il se mit lentement à aller et venir. Ses mains relevèrent mon pull et il me caressa les seins, que c’était bon.
« Ouvres les yeux que je vois que tu aimes cela » ordonna-t-il.
J’obéis, le pencha sur moi pour m’embrasser. Sa langue envahissait ma bouche, ses mains me parcouraient, son sexe m’envahissait aussi, je m’offrais… Ses va et viens augmentèrent d’intensité et je sentis que j’allais jouir…Mon Dieu, moi, la femme sage depuis des années, jouir sur le coin d’un bureau… Je tentais de résister à cet orgasme et , comme s’il lisait en moi, il me dit :
« Laisses-toi aller, ça va être bon »
Et il se mit à me pilonner de plus belle, et là …je me rendis, je me laissais aller en une jouissance muette pendant que lui, sous le coup de contractions de mon vagin pris son plaisir sans retenue, m’inondant véritablement.
Galamment il m’aida à me relever et me demanda :
« Tu es toujours aussi peu démonstrative ? » et sans me laisser le temps de répondre, il ajouta :
« Je vais te prendre en main, tu es faite pour l’amour…Dis-moi tu as aimé au moins »
Je ne comprenais plus rien du tout – comment ça faite pour l’amour ? Comment ça me prendre en mains ? Toujours est-il que je m’entendis répondre, que oui, j’avais beaucoup aimé. Après m’être rajustée nous nous séparâmes non sans nous être longuement embrassés. En rentrant à la maison, j’avais honte comme jamais je n’avais eu honte, j’avais trompé mon mari et le pire c’est que j’avais aimé cela…Il fallait que je me ressaisisse. Le lendemain, le dimanche s’écoula lentement, je n’arrivais pas à me décider, rompre, recommencer, recommencer, rompre tout cela se mélangeait dans ma tête et aussi m’échauffais les sens, éperdue, je faillis même tout avouer à Philippe mon mari, mais je me retins. Je passais une mauvaise nuit demain, il faudrait que je tranche. Ce lundi, jour de fermeture de l’agence, mon mari parti travailler et je me mis en devoir de faire un grand ménage. Cela allait m’occuper l’esprit, en chemise de nuit je m’attelais à cette tâche. La sonnette retentit. J’ouvrais. La foudre tombant à mes pieds ne m’aurais pas fait plus d’effet, je demeurais immobile, muette tétanisée IL était là devant moi. Il entra referma la porte derrière lui et …me pris dans ses bras . Sa bouche s’écrasa sur la mienne, je lui offrais mes lèvres, ma langue, je lui rendis farouchement son baiser. Ma chemise de nuit s’envola, j’étais nue contre mon amant. Il me dit
« J’ai pensé à toi tout le dimanche, tu sens ?
Oh oui ! je sentais cette bosse contre mon ventre Oh oui je savais qu’il allait me faire l’amour et que je n’attendais que cela…être à nouveau possédée par ce sexe imposant. Il s’écarta et me tendit un sac qu’il avait amené avec lui.
« Enfiles cela » me dit-il
Interrogative, je pris sac, l’ouvrais, il contenait une paire de bas noir et un porte-jarretelles de même couleur. J’étais outrée me harnacher pour faire l’amour, lui aussi était friand de genre de chose…En fait, je fut outrée une fraction de seconde, la suivante je ceignis le porte-jarretelles et laissait Marc, confortablement assis dans un fauteuil, assister à mon humiliant habillage. Lorsque les nylons furent tendus il ordonna :
« Va t’arranger en peu et chausses-toi »
Incapable d’avoir une réaction, j’obéis sans savoir pourquoi. Un petit trait de crayon, un peu de brillant à lèvre, (je n’avais plus rien d’autre pour me maquiller) je mis ma paire de chaussure la plus haute qui devait bien culminer à deux centimètres…et rejoignis Marc. Toujours assis dans le fauteuil, il me considéra et dit :
« Je souhaite que tu portes des talons aiguilles, j’adore cela, en attendant viens me sucer »
Des talons aiguilles ! et puis quoi encore ! Oui promis juré, demain j’en achèterais…et les plus haut que je pourrais trouver. Je me laissais couler entre ses jambes ouvrit le pantalon, lui ôtais ainsi que son slip qui contenait difficilement son érection et embouchais le pénis tant désiré. Je le fit coulisser entre mes lèvres, le léchais, m’appliquant du mieux que je pouvais. Au bout de quelque instant, il demanda :
« Arrête un peu, ou est la chambre que je te fasse l’amour »
Je le pris par la main et le guidais vers la chambre. Il m’enlaça en demandant :
« Tu veux ? »
« Oui » répondis-je dans un souffle.
Le reste se passa vite et je me retrouvais sur le dos, Marc ma pénétra et s’allongea sur moi…Que c’était bon de se sentir ainsi écrasée sous son amant. Son sexe m’envahit de toute sa longueur, quelle sensation ! Très lentement, il se mit en mouvement avec beaucoup de délicatesse mais en même temps très virilement…j’adorais ! Je sentais mon vagin littéralement fondre, mon ventre me brûlait, une boule s’y format, enfla, enfla, c’est y était, j’allais jouir, je me contractais, et tremblant de partout j’eu un premier orgasme. Restant en moi, il me laissa reprendre mes esprits, puis recommença ses va et viens en disant :
« Remontes tes jambes sur mes épaules, je pourrais te prendre plus profondément et cette fois ci je veux t’entendre jouir, compris… »
J’acquiesçais en m’offrant de mon mieux à ce membre qui effectivement me pourfendait en vérité, si gros, si long, si loin, je commençais même à laisser échapper quelques gémissements qui eurent l’air de le ravir. Lorsqu’il sentit qu’il allait à nouveau me faire atteindre le plaisir, il dit :
« Je sens que tu vas jouir, dis-moi que tu jouis… »
« Oh oui, je vais jouir » murmurai-je
« Plus fort «
« Je jouis… »
« Encore plus fort ! c’est bon ? »
« Oh oui c’est bon…je jouiiis « m’écriai-je en rallant
« Moi aussi, tiens prends… »
Et je sentis son pénis gonfler et exploser et se déverser en moi, que c’était bon…Il se retira et nous prîmes un temps pour récupérer, ce qu’il fit en me complimentant de mon laisser aller à exprimer ma jouissance. Ce laps de temps fut en fait très court, car bientôt, il me prit à nouveau dans ses bras, m’embrassa longuement. Sans retenue je lui offris ma bouche et ma langue, ses mains me parcoururent enfin. Il s’attarda longuement sur mes seins, les léchant, les soupesant, en faisant rouler les extrémités, les suçant, puis il me caressa les flancs, la taille, dos mais aussi les fesses et les cuisses. Mon corps répondait à ces caresses, je recommençais à mouiller et un peu timidement je le caressais également. Son sexe se redressa et il me demanda de le prendre dans ma bouche. Vu ou il avait été auparavant, j’hésitais, il devait être imprégné de sa semence mais également de mes propres sécrétions. Devant mon hésitation, il devint plus directif :
« Allez ne me fait pas attendre, tu vas voir, elle a du goût maintenant, c’est comme quand tu te masturbe et que tu te lèches les doigts après. »
Éperdue, je n’osais lui dire que jamais je ne m’étais léché les doigts après m’être caressée, il faudrait peut être que j’essaie. Pour ne rien avoir à répondre, je fis ce qu’il me demandait et j’embouchais son membre tendu. Je pris bien mon temps pour lui donner le maximum de plaisir, le faisant coulisser entre mes joues serrées, l’embrassant sur toute la longueur, léchant avec délice son gland pendant que je pressais ses testicules, qu’est ce qu’il m’emplissait bien la bouche…Il m’annonça qu’il voulait me rendre la pareille. Il me fit placer à quatre pattes, tête-bêche au dessus de lui en position de 69. Ce fut réellement divin, c’était la première fois que sa bouche se posait sur mon sexe et que sa langue pénétrait mon intimité – Divin ! Tellement divin que sous la conjugaison de ses lèvres qui aspiraient mon petit bouton et de ses doigts j’eus droit encore une fois à un bel orgasme. Mon amant,’ car c’était bien de cela qu’il s’agissait, me repoussa, me fit mettre sur le dos et me pénétra d’une seule poussée que j’accueillis avec un petit cri. Il se mit à me pistonner d’une façon que je qualifierai de sauvage et je passais mes jambes autour de ses reins pour mieux m’offrir.
« Tu aimes quand je te baise ? » demanda-t-il
« Oh oui ! »
« Dis que tu aimes ! »
« J’aime quand tu me fais l’amour Marc ! »
« Dis que tu aimes quand je te baise »
« J’aime que tu me baises ! » Laissais-je échapper avec honte car employer des termes un peu crus ne faisait pas partie, non plus de mes habitudes. Mais là, je me sentais prête à tout, même dire des insanités dans le lit conjugal avec un amant qui me…qui me…qui me baisait …et bien de surcroît. Si bien que je me laissais aller à annoncer ma jouissance.
« Oh je vais jouir…continue… c’est bon… je pars oooooh! »
Il m’acheva des quelques coups de rein puissant et je sentis sa verge grossir puis sa semence m’inonder le vagin, il s’écrasa sur moi en disant :
« C’était super bien, tu vas devenir un bon coup »
Vu l’heure je lui proposais de manger un petit quelque chose. En riant il me demanda :
« Tu veux que je reprenne des forces pour t’en remettre une petite dose »
Comme rougissante je ne répondais rien, il continua en m’enlaçant :
« Tu en veux encore, n’est ce pas ? Dis-moi que tu en as envie, cela ce voit à la façon dont tu me regarde la queue ».
Timidement j’avouais que « Oui j’en avais encore envie » un peu estomaquée de cette façon triviale qu’il avait de s’exprimer mais qui quelque part me troublait un peu.
Il me demanda, par contre, de rester dans la même tenue et c’est en porte-jarretelles que sous ses regards appuyés que je préparais rapidement à manger. Pendant le repas, assis à mes cotés ils ne cessa pas de me caresser, de me complimenter sur mes seins, la douceur de ma peau, la façon de le sucer. Il me dit ensuite que nous allions vivre une aventure d’une sensualité exacerbée si je le souhaitais. Que pouvais-je répondre, surtout avec deux doigts dans le vagin à ce moment précis, à part que c’était fou mais oui…oui…oui…Il me fit promettre de m’arranger un peu pour aller travailler, me disant qu’il adorerait me contempler sachant qu’après je serais à lui. Il me fit promettre également de dire des mots crus, m’expliquant qu’il adorait les femmes bien élevées, qui proféraient des insanités en baisant. Pendant que je débarrassais la table, il vint se coller derrière moi pris mes seins à pleines mains, m’embrassa dans le cou en me disant :
« J’ai très envie de te prendre en levrette, tu veux ? »
Oui je voulais, oui ! Il m’entraîna à nouveau dans la chambre me fit prendre la positon qu’il souhaitait se plaça derrière moi, frotta son sexe contre ma vulve et mon clitoris et positionnant son gland contre mes petite lèvre m’investit bien à fond. Quels moments délicieux il me fit passer solidement emmanchée, il me caressait le dos les hanches, les cuisses, l’entrejambe humm, les fesses, les épaules, la poitrine re-humm. Pour mieux me perforer à sa guise, il me tenait par la taille, ou s’agrippait à mes cheveux qu’il tirait doucement en arrière pour mieux me faire cambrer ou bien encore se me saisissait par les seins qu’il malaxait véritablement me faisant tourner la tête pour un farouche baiser retourné. J’étais « aux anges » ou plutôt « au diable » mes soupirs semblaient le déchaîner, sous ses efforts j’ahanais littéralement. La jouissance allait me submerger, je l’encourageais, allant au devant de ses coups de reins :
« Plus fort…plus fort…encore… »
« Comme ça, tu la sens bien hein ! Dis-moi que tu la sens »
« Oui, je la sens, elle me remplit, j’aime » répondis-je et brusquement je criais, oui, je criais, moi et mes principes, moi et mon rejet de la sexualité, je criais, je criais ma jouissance à mon amant et cela sembla l’exciter au plus haut point. Les doigts enfoncés dans mes hanches il éjacula bruyamment et attendis que son membre perde de l’arrogance avant de se retirer. Nous reprîmes nos esprits et nous nous levâmes pour aller nous rafraîchir à la cuisine. Tout en prenant un verre, il me passa le bras autour de la tailler et mine de rien recommença à me caresser. Il me demanda à quelle heure revenait mon mari. Jugeant que le temps qui nous était imparti était suffisant il dit :
« Bien, ce sera suffisant, tu va me faire une petite gâterie avant que je parte »
Décidément, il était infatigable. Il m’entraîna dans le salon, s’installa confortablement dans un fauteuil et m’apostropha :
« Allez, à genoux, suces ! »
Toujours sans savoir pourquoi mais totalement obéissante je m’agenouillais entre ses jambes et me mit à le sucer avec application. Sous mes caresses et ma langue son pénis se raidit et je redoublais de sensualité dans ma fellation. Au bout d’un moment de ce traitement il demanda :
« Je vais te jouir dans la bouche, tu vas tout avaler Florence ? »
« Oui, je vais tout avaler, jusqu’à la dernière goutte » le rassurai-je, consternée de mes propos.
L’éjaculation fut importante, mais comme promis j’ingurgitais ce liquide chaud et épais auquel il me semblait que je commençais à prendre goût.
Il me demanda si je suçais mon mari. Je répondis par l’affirmative omettant de dire que c’était qu’il y avait longtemps que cela ne m’était pas arrivé. Il me dit qu’il fallait que je continue et que cela me ferait un excellent entraînement pour mieux le sucer, lui. Puis il se rhabilla et après un très long baiser, il partit.
Aussitôt seule, je lavais mes souillures et me couchais épuisée. C’est au lit que mon mari me trouva – malade. Il ne fut pas étonné, me faisant remarquer mes yeux cernés et mon front brûlant, pour lui, je devais couver quelque chose. Plein de gentillesse et de prévenance, comme à son habitude, il s’occupa de moi. J’en avais les larmes aux yeux et faillit lui avouer mes turpitudes de la journée. Le démon qui était en moi m’en dissuada…et je sus que des après-midi comme celle que je venais de passer…,il y en aurait d’autres…
Après ce lundi agité avec Marc, mon chef d’agence et amant, je me rendis à l’agence bancaire ou je travaillais. Je m’étais un peu mieux habillée et immédiatement Stéphanie me jeta un regard surpris, mais heureusement sans me questionner. Geste discret de Marc, et la matinée se passa. A la pause méridienne, je me précipitais dans la galerie commerciale pour y faire emplette d’un nécessaire pour me maquiller et surtout acheter comme je l’avais promis des chaussures à talons hauts. Devant les rayons, j’hésitais, rien ne me paraissait faire l’affaire. J’allais partir lorsque le vendeur s’approcha :
« Vous n’avez pas trouvé ce que vous vouliez » Moi si, mais ce que voulait mon amant non, et je m’entendis répondre :
« Ma foi non, je cherchais une paire de talon très haut, genre talon aiguille ».
Il me regarda, effectivement ma demande cadrait mal avec la façon dont j’étais vêtue.
« Vous savez, ce n’est pas vraiment la mode cette saison, mais si vous avez un instant je crois qu’il me reste une ou deux paires en réserve »
Il revint avec trois boites. Hauts talons, j’étais servie, je les essayais toutes, il me faudrait de l’entraînement pour me déplacer, mais de toute façon, je ne les achetais pas vraiment pour marcher.
« Vous vous êtes décidée »
« Oui, je vais prendre les vernies noires, avec la bride »
« Vous avez raisons elles sont superbes, c’est celle qui ont les plus haut talons 11 cm, je ne vous les conseille pas pour le jogging… » reprit-il en riant
Je payais et de retour à l’agence je m’arrangeais pour que Marc remarque cet achat. Il eut une moue satisfaite.
Le lendemain, me croisant dans le couloir, il me dit
« Ce soir, je te saute… »
Je vécu le reste de la journée dans cette attente…Le soir sans perdre de temps, je fermais l’agence, frappais à la porte de Marc.
« Entre fit-il, alors impatiente ? allez viens »
Enfin à nouveau j’étais dans ses bras, et je lui rendis longuement son baiser. Ses mains me parcoururent. Il me dit :
« Je vais te trousser et te prendre sur mon bureau »
Il me fit pivoter, m’accouder au bureau et releva ma jupe puis…rien. Je jetais un regard vers lui et ne rencontrais qu’un regard courroucé. D’un geste Brusque, il rabaissa ma jupe en lançant :
« Tu n’as rien compris, je ne veux plus te voir en collant, je ne te baiserais que lorsque tu porteras des bas, et pour te punir, je ne te toucherais pas de la semaine ».
Les larmes me montèrent aux yeux et je lui lançais un regard plein de détresse, et de frustration.
« Si tu veux que je passe te voir lundi, il va falloir faire un effort »
Quel salaud ! Il voulait que je ressemble à une couverture de magazine pour homme Eh bien non ! Pas question…C’était décidé, ce serait … oui bien sûr ! Je l’assurais que je serais comme il le souhaitait (et peut être au delà). Il me dit simplement et crûment que c’était mon intérêt de l’exciter si je voulais qu’il bande.
Fin de semaine morne, dimanche long, enfin ce fut le lundi. Dès mon mari parti, je me levai, rapidement petit déjeuner, vite douche, j’enfilais les bas, les fixais au porte-jarretelles, bien tendus, j’enfilais les escarpins, en attachais la bride autour de ma cheville puis direction la salle de bains, ou je me séchais les cheveux, les coiffais, puis me maquillais comme il y avait bien longtemps que je ne l’avais pas fait. En sortant de la salle de bain, je me regardais dans le miroir du couloir. Pas mal, pas mal du tout, malgré quelques années de trop, l’image renvoyée était satisfaisante. Bien coiffée, bien maquillée pratiquement nue sur de telles chaussures j’aurais plut à beaucoup d’hommes, à commencer par mon mari. Son image se dissipa remplacée par celle de Marc. Allais-je lui plaire à lui ! Retour à la salle de bain, les yeux …un peu plus souligné, la bouche…un peu plus rouge…c’était mieux. Mais que faisait-il…pas encore là…l’attente me crispait le ventre. Je guettais les voitures qui ne s’arrêtaient pas. Ha ça y était, zut, non! Puis brusquement SA voiture, l’estomac noué j’entendis son pas dans l’allée, la sonnerie retentit, retentit dans ma tête, retenti dans mon sexe…panique…Une fraction de seconde d’hésitation de la femme fidèle qui était en moi, vite balayée par celle qui cocufiait allègrement son mari…j’ouvrais…Je vis tout de suite dans ses yeux que j’étais à la hauteur de ce qu’il souhaitait. Il m’enlaça, ses mains me parcoururent, il m’embrassa dans cou, sur les épaules, évitant ma bouche maquillée qu’il réservait sûrement à un autre usage. Il me dit :
« Tu es belle, encore un peu terne pour mon goût, mais pour cette fois ça ira… »
Là, il exagérait…vraiment…Si cela continuait, pour lui plaire, j’allais devoir ressembler à une…à une….Il ajouta :
« Tu me plait, c’est pour m’exciter, que tu t’es préparée ? »
« Oui » soufflais-je
« Tu en à envie de ma queue hein ? »
« Oui »
« Dis-moi que tu en as envie ! »
« J’en ai envie »
« De quoi ?
« De ta queue, j’ai envie de ta queue » finis-je par répondre docilement
« C’est bien, tu es belle, tu me fais bander, mais ce n’est pas le tout, je te veux très salope… »
Je m’aperçus alors que les mots crus qu’il employait, loin de me choquer comme cela aurait du être le cas, commençait à me faire de l’effet. De toute façon, maquillée comme je l’étais, en porte-jarretelles et talon aiguille, à part, effectivement d’une salope, je ne pensais pas ressembler à autre chose. Il allait falloir que j’assume…mais j’avais tellement envie de lui que je me sentais prête à tout. Il me prit par la taille, m’emmena vers le canapé le plus proche, m’y fit agenouiller, jambes écartées et les seins contre le dossier. Il se déshabilla prestement et se posta derrière moi. Je me cambrais pour mieux m’offrir, ses doigts m’ouvrirent et le sexe tant attendu remplit le mien. Lorsqu’il se fut bien introduit à fond, il me saisit par les hanches et se mit en mouvement prenant bien soin de donner la plus grande amplitude à ses mouvements. Il me besognait de toute sa longueur et je sentais ses c.., ses testicules battre ma vulve. Maintenant que son pieu de chair coulissait librement en moi, ses mains s’étaient mises en mouvement. Il me caressait les épaules le dos, les flancs, m’empoignait les seins, me caressant le ventre, allant même jusqu’à titiller mon clitoris. En même temps, il m’embrassait dans le cou, suçait mes oreilles, me faisait retourner pour prendre voracement la bouche que je lui offrais sans retenue. J’étais bien, dans ces moments là, je me sentais comme ensorcelée, je n’étais plus qu’une femelle en chaleur avide de sexe. Il le comprit à mes gémissements et comme je le prévoyais, il recommença à me parler crûment, ce qui en rajouta à mon embrasement.
« Elle est bonne hein petite madame B. la queue du chef ! Elle aime ça madame B. se faire mettre ! Allez répond ! »
Vaincue, je me laissais aller
« Oh oui, elle est bonne ta queue, elle me remplit bien, ouiii, encore, oh comme ça…des grands coups…que c’est bon une grosse queue…, plus fort …je vais jouir… »
Comprenant que j’allais atteindre le plaisir, en se cramponnant à mes seins il me bourra littéralement de grands coups de reins vigoureux. Je fus littéralement assaillie par un puissant orgasme qui me fit râler. Quelle sensation… Marc était vraiment un amant hors pair (et je n’avais encore rien vu…). J’étais encore toute pantelante quand il se retira, le sexe encore rigide, il fit le tour du canapé et présenta sa queue luisante à mes lèvres, m’ordonnant de lui faire une pipe, ce que je m’évertuais à faire de mon mieux. Il tenta même de me faire pénétrer son mandrin dans le début de la gorge, mais les réflexes de nausée ne lui permirent pas de pousser plus loin son exploration. Néanmoins, il me fit encore promettre de m’entraîner. Comme d’habitude…je promis…Pour ne faire pardonner, je m’activais de mon mieux sur cette verge dont je raffolais tant jusqu’à ce qu’il m’annonce dans son langage trivial « qu’il allait balancer la purée » qu’effectivement je reçus sur la langue et sur le visage. Connaissant maintenant les lieux, il me prit par la main pour m’emmener vers la chambre ou, sur le lit il me soumit à une délicieuse séance de câlins (que je lui rendis bien volontiers) avant d’exiger :
« Maintenant, c’est toi qui travaille viens sur moi » et il se mit sur le dos, hampe dressée vers le plafond. Oubliant ma retenue habituelle, je m’agenouillais de part et d’autre plaçant ma vulve à l’aplomb de cette queue sur laquelle j’allais m’empaler. Je la saisis et lentement me laissais glisser jusqu’à ce que ma chatte l’ait toute absorbée. Encouragée par Marc, je commençais à monter et descendre autour de ce cylindre brûlant pendant qu’il me caressait la taille et les seins. Il me fit pencher en avant pour mieux prendre le bout de mes seins entre ses lèvres et me les sucer tout à loisir, qu’il s’y prenait bien…Il me demanda ensuite :
« Caresses -toi les, j’aime voir les femmes se peloter les nichons »
Toujours ses mots crus… J’obéis, prenant mes rondeurs à pleines mains…Il m’en fit ensuite pincer les bouts pour qu’ils soient tout gonflés et sensibles. Il me prit par la taille et m’imposa son rythme jusqu’à ce qu’une vague de plaisir nous submerge et nous laisse haletant lui, le sexe ramolli et moi la chatte inondée par sa semence.
Nous convînmes d’une pause pour nous reposer un peu et manger un petit quelque chose que, comme la semaine passée, je préparais devant lui en petite tenue, à la différence que je commençais à éprouver un sentiment de plaisir pervers à évoluer ainsi devant lui et à le frôler avec un rien de provocation. Bien sûr (c’était fait pour cela) il le remarqua et me traita (en autre) d’allumeuse et de petite salope et en profita pour me lutiner. Le repas fut rapidement expédié, malgré ses mains qui s’attardaient sur moi et sur mon entrejambe et les miennes qui soupesaient ses bourses gonflées et qui le masturbaient tendrement. Au café il me dit :
« Va te refaire une beauté, puisque tu as l’air d’en vouloir de bite je vais te gaver »
Vite j’allais à la salle de bain et me rappelant ce qu’il m’avait dit le matin même, je me maquillais d’une façon très soutenue (trop à mon goût) mais eu l’air de lui convenir puisqu’il souhaita que j’aille travailler ainsi désormais. Commentant de manière obscène le dessin de ma bouche, il m’ordonna de me m’agenouiller et encore un fois de le pomper. Quand il se trouva assez rigide, il me fit relever et dit :
« Allez au lit, en levrette au bord du lit »
J’étais ravie, je désirai ardemment, depuis l’autre jour ou mon plaisir avait été si grand qu’il recommence dans cette position. Ce fut d’un seul coup et presque brutalement que je fus enfilée, pour mon plus grand plaisir, il se déchaîna véritablement, son sexe butant au fond de moi. Prise dans cet engrenage sensuel j’y répondis de mon mieux, m’offrant gémissant comme une femelle en chaleur (qu’étais-je d’autre..) L’encourageant à « y aller plus fort, plus loin » -quelle honte- ce qu’il fit de telle manière que je criais en éprouvant un orgasme surprenant d’intensité et un second immédiatement après lorsque sa queue gonfla et qu’un flot de sperme fusa en moi.
Quand nous eûmes reprit nos esprit, il m’enlaça, et me demanda :
« Tu aimes nos lundi Florence? »
« Oh oui ! »
« Tu voudras qu’il y en ait d’autre »
« Oui, si tu me trouve à la hauteur…, tu te rends compte à mon âge… «
« Ne soit pas inquiète de la hauteur, avec moi tu va atteindre des sommets et puis, il n’y a pas d’age pour devenir une vraie cochonne…tu verras, il y aura les lundis et puis d’autres occasions »
Puis craignant un peu le retour de mon mari qui me trouva de fort bonne humeur ce soir là, il quitta…
Mardi, toute frétillante, j’allais à l’agence, comme il ne m’était pas facile de le faire avec mon mari j’emportais mon porte-jarretelles et mes bas et passais le tout dans les toilettes dès mon arrivée. Stéphanie remarqua immédiatement mon changement d’allure (j’étais bien arrangée et j’avais remis un soutient gorge à balconnet qui mettait de nouveau ma poitrine en valeur décidée que j’étais à plaire). En souriant elle me lança :
« Oh oh ! On dirait qu’il y anguille sous roche ! »
Je haussais les épaules pour ne pas avoir à répondre. Journée de travail, petits signes discrets avec marc. Jour de fermeture de Stéphanie, bof, boulot-maison-dodo.
Mercredi, MON jour de fermeture, j’aurais dût faire attention, dans la salle de bain, mon mari me dit :
« Tu es bien jolie pour aller travailler »
Je jouais la carte enjôleuse et en riant lui répondit
« Tu n’es pas content d’avoir une jolie femme ? » et je m’éclipsais
Agence, travail, clients, vers 10 heures, Marc :
« Laurence, dites à Michèle de vous remplacer, j’ai un courrier à vous faire prendre en sténo »
Après avoir frappé j’entrais. Je vis immédiatement son œil allumé.
« Asseyez-vous » dit-il à haute voix et il ajouta plus bas « Relève ta jupe complètement »
Estomaquée, j’obéis.
« Enlèves ta culotte et écarte les jambes »
J’obéis encore, j’étais folle quelqu’un aurait pu entrer…Il dicta la lettre, me demanda ma culotte, et dis :
« C’est ton jour de fermeture ce soir ! C’est bien ! Il faudra donc que tu fermes les portes et que tu ouvres les cuisses, penses-y, tu vas passer une bonne journée surtout cul-nu »
Effectivement je passais une bonne journée, plus elle s’avançait, plus j’avais l’impression de sentir mon vagin se tremper surtout qu’en plus c’était la première fois que je restais fesses nues pendant toute une journée. Tout cela fit qu’à l’heure de la fermeture j’avais le feu…disons…entre autre, aux joues. J’allais à toute vitesse dans le bureau de Marc pour l’informer que les portes étaient fermées.
« Bien, alors.. Deuxième partie du programme maintenant, allez à poil ! »
L’ordre avait claqué ! Le plus sensuellement possible, je retirais mon chemisier, puis fit glisser ma jupe, me penchant un peu en avant je fit saillir ma poitrine et dégrafais le soutien gorge. Je ne me reconnaissais pas… En porte jarretelle sur mon lieu de travail ! Mais je me sentais prête à toutes les folies. Comme il ne bougeait pas assis à son bureau, j’en fis le tour ondulant, et me baissant j’écartais ses jambes, massais sa braguette sous laquelle son membre gonflait, et je commençais à ouvrir son pantalon.
« On croirait que tu en veux de la bite ce soir, dis-moi que tu vas me la sucer »
« Oui, j’en veux…de…de la…bite, je vais te la sucer ta …grosse bite » et l’ayant mise à nu, je l’embouchais fiévreusement après m’être agenouillée.
Il me laissa faire un moment ou je mis toute ma ferveur à essayer de lui procurer le plus de plaisir possible, laissant courir mes lèvres le long de ce membre tendu, léchant voluptueusement le gland turgescent ou ses testicules gonflées, le tout accompagné d’une masturbation sensuelle. Je commençais à me rendre compte que, contre toute attente, j’adorais à présent le prendre ainsi dans ma bouche et le fait de savoir qu’il allait me l’inonder m’échauffais réellement.
« Tu fais des progrès, tu fais ça bien, mais attends un peu tu vas me faire déjanter, relèves-toi »
J’obéis, il me fit pivoter, m’accouder à son bureau, me fit écarter les jambes et m’investit d’un seul coup. Quelle sensation ! Il m’avait littéralement rivé au bureau de son gros mandrin, de sa grosse bite, comme il voulait que je dise…J’étais remplie, et sous cet assaut je laissais échapper un jappement de plaisir qui déclencha chez mon amant une bordée de commentaire salace sur ma disponibilité. Il me lima véritablement et l’image de la secrétaire se faisant prendre dans cette posture par son patron me fit rapidement atteindre l’orgasme qui fut aussi puissant que ceux qu’ils me procuraient. Les contractions de mon vagin à ce moment eurent raison de sa résistance et en ahanant, je le sentis éjaculer longuement en moi. Il se retira, me prit dans ses bras pour m’embrasser passionnément, sa bouche prenant possession de la mienne et de ma langue que je lui offrais sans retenue. Il me poussa contre le rebord de son bureau et m’y fit allonger sur le dos. Et me demanda :
« Écartes les jambes, oui…c’est bien comme cela Florence, maintenant ouvre ta chatte en grand que je puisse l’admirer »
Et comme d’habitude, comme subjuguée j’obéis servilement à la demande qui me faisait prendre cette posture pour le moins impudique. Il s’assit sur son fauteuil et je vis avec ravissement son visage se rapprocher de mon entre-cuisse. Sa bouche se posa sur ma vulve et avec une adresse folle sa langue commença de m’explorer, me faisant gémir. Il m’ordonna de me maintenir ouverte et sa langue débusqua mon clitoris sur lequel il s’acharna en alternant des aspirations et des mouvements de langue virevoltants. Je ma laissais aller tant et si bien que je jouis en criant. Mon manque de retenue eu l’air de lui plaire énormément et il me fit relever pour m’embrasser à nouveau. Sa bouche avait un goût d’un cocktail étrange fait de salive, de mes sécrétions mêlées de son propre sperme qui avait ruisselé de mon vagin…Pas une seconde je ne songeais à interrompre ce baiser particulier. Il me prit la main et la posa sur sa verge qui avait retrouvé toute sa dureté en disant :
« Allez, maintenant tu peux me sucer »
Docilement, je m’agenouillais pour recommencer mes activités buccales. Son membre, lui aussi, avait le goût de ces saveurs mélangées et loin de me dégoûter le souvenir de la pénétration à laquelle il m’avait soumise me fit redoubler d’ardeur. Je fis tant et si bien que ses bourses se relevèrent son sexe gonfla et…son foutre m’envahit la bouche, je déglutis rapidement et le repris en bouche désireuse d’extirper de cette…de ce…de cette queue que j’adorais jusqu’à la dernière goutte. Il trouva que « je suçais de mieux en mieux » et il m’encouragea à m’exercer sur mon mari, ajoutant « que je lui devais bien cela ».
Pendant quelques temps, au moins une fois par semaine il me prenait dans l’agence, me faisant « visiter » chaque pièce et le lundi, chez moi, j’étais sa maîtresse comblée qu’il prenait et reprenait dans toutes sortes de positions osées. J’étais quand même partagée entre plusieurs sentiments Tout d’abord par la honte de tromper ainsi mon mari que j’aimais, qui ne s’apercevait de rien et à qui j’avais, à sa grande surprise, pratiqué quelques fellations « d’exercice » qui l’avaient ravi. Je m’étais aperçu dans ces situations qu’autant j’avalais avec, je dois l’avouer, complaisance le foutre de mon amant, autant je ne pouvais me résoudre à faire la même choses avec mon mari. L’autre sentiment me rongeait véritablement, je me rendais compte que Marc me « tenait » par les sens et qu’il pouvait me faire faire ce qu’il désirait…Il ne s’en priva pas ! Un samedi, à la fermeture de l’agence, et après qu’il m’ait fait l’amour, en me caressant les fesses, il me dit :
« Tu as de belles fesses, elles m’inspirent… lundi, je vais te sodomiser… »
Bien entendu, je n’avais jamais pratiqué cela, mon mari, il y a longtemps me l’avait proposé, mais j’avais toujours catégoriquement refusé et là, et j’avais un peu eu peur de cette demande, mon amant voulais me soumettre à cette pratique. Je me récriais, protestant que c’était sale, que je ne l’avais jamais fait, que j’avais peur d’avoir mal, que c’était déshonorant, etc.…Il me répondit cyniquement :
« Comme tu veux ! Si je ne peux pas sodomiser ma maîtresse, il ne me reste plus qu’à en changer…C’est comme tu veux ma chère Florence, si tu change d’avis téléphones-moi demain matin, sinon, ce n’est pas la peine de m’attendre lundi, ni les autres jours d’ailleurs… »
La mort dans l’âme, je me rhabillais à la hâte et filait sans demander mon reste. Il exagérait vraiment…vouloir m’avilir de cette sorte… non…non vraiment c’était trop, il était trop exigeant, il me fallait rompre… En conduisant j’étais sûre d’une chose…que le lendemain…j’allais…j’allais l’appeler au téléphone pour lui dire que j’avais changé d’avis et qu’il pourrait me…me (les mots me faisaient un peu peur) prendre comme il le souhaitait…A la limite, je me demandais même si en réalité, je ne souhaitais pas qu’il me fasse subir cet outrage dégradant. Soirée morne, mauvaise nuit, entre deux contradictions, être ou ne pas être…sodomisée…? Dimanche matin :
« Florence, je vais au pain, tu n’as besoin de rien d’autre ? » Me demanda mon mari.
« Si, il n’y a plus de café pour demain matin » mentis-je effrontément car il faut dire que l’épicerie ouverte le dimanche était très éloignée de notre pavillon et que boulangerie plus épicerie me laisseraient tout le temps nécessaire à ce coup de téléphone de reddition que j’étais impatiente de donner. En tremblant, je décrochais et numérotais, sonneries, une, deux, trois…
« Allo ! »
« Allo Marc, c’est Florence »
« … »
« C’est moi, Florence… »
« Oui, je t’entends bien, que puis-je faire pour toi ? »
« Je…Je t’appelle…Enfin…Euh !…j’ai changé d’avis pour lundi… »
« Ah bien ! Tu ne veux plus garder tes petites fesses pour toi seule…? »
« Euh … Ou…Je… »
« Tu veux bien me les offrir, me les ouvrir ? »
« Enfin…Oui… Si tu veux… »
« Dis-moi cela clairement que diable ! »
« Je veux bien que…Que tu me sodomise… » parvins-je à murmurer
« Dis-moi, est-ce que tu en as envie ? » Demanda-t-il goguenard
« Oui, j’ai envie que tu me sodomise…Voilà c’est dit ! Tu es satisfait ? » Ajoutais-je d’une voix peu assurée
« Bien, bien ! Ce lundi va être torride ! Oh ! Attend j’ai une idée…Tu t’es un peu fait prier, non ? »
« Oui, je le reconnais » confirmais-je en me demandant ce qu’il pouvait bien avoir en tête
« Il faut que tu te fasses pardonner. Pour cela, je n’irais pas chez toi, mais c’est toi qui viendras chez moi à neuf heures ma chère Florence rien qu’en porte-jarretelles sous un manteau et excessivement maquillée, et là …je m’occuperais de ton petit cul, d’accord ? »
« C’est d’accord ! » Répondis-je sans l’ombre d’une hésitation, je l’entendis raccrocher en riant et je restais comme une idiote le combiné à la main. Qu’avais-je dit, que s’était-il passé, je n’en revenais pas…Moi, si coincé, si prude j’allais me livrer aux turpitudes de mon amant sans tergiverser. Décidément, il me faisait faire tout ce qu’il voulait…J’étais bien consciente de cela, j’avais peur, mais quelle stimulation ! Lundi, oui-à-ce-soir-mon-chéri-passe-une-bonne-journée vite, vite, salle de bain…Douche, coiffure…Bien ! Ah oui, les bas…Noirs à couture…Porte-jarretelles…Escarpins…Voilà, re-bien !…Vite, salle de bain, maquillage…Pas trop vite… très…très, très enfin, l’air d’une…professionnelle (ce n’était sûrement pas le terme qu’il emploierait) re-re-bien ! Regard dans la glace… Pas mal…Du tout…Un vêtement…Frissons…Moi imper noir allait faire l’affaire…En sortant, l’air sous mon imperméable me fit à nouveau frissonner mais était-ce de froid ou de désir ? De toute façon j’allais être réchauffée et assouvie…Enfin c’est ce que j’attendais…Trajet rapide en voiture…Stationnement…Je quittais la voiture, le seul endroit ou j’étais encore en sécurité…Sur le court trajet pour me rendre à son appartement, je fus dévisagée avec intérêt par quelques passants masculins qui, sans vergogne se retournèrent sur mon passage. Voilà à présent que je faisais retourner les hommes ! Que de changement, je devais ne pas être mal du tout …Ascenseur, sixième étage, je déboutonnais mon imper, allez, encore un, jusqu’à la naissance de mes seins gonflés de désir. Sonnette…Porte…Marc était dans l’entrée…Nu…
« Bonjour Florence, tu es ravissante…Ouvres ton imper » ordonna-t-il
Et là, sur ce pallier, lentement, je déboutonnais le vêtement et en écartais les pans. Il bandait déjà…
« Tu es magnifique, entre vite »
A peine la porte fut-elle refermée qu’il m’enlaça. Je me retrouvais plaquée contre le mur et littéralement écrasée contre celui-ci. Marc glissa une main vers mon entrejambe, trempé comme vous pouvez le deviner, puis elle courut sous mon genou qu’il fit lever. Je compris qu’il allait me prendre, là comme cela debout dans l’entrée. La chose fut rendue aisée par la hauteur de mes talons qui nous mettaient presque à la même taille. Vite, je me retrouvais embrochée, clouée au mur. Un bras passé autour de mes reins et me soutenant la jambe de l’autre il me baisait frénétiquement. Que c’était bon ! Je m’offrais en l’encourageant…
La position n’étant que peu confortable, il se retira me laissant le sexe désespérément vide. Mon imper rejoignit mon sac à main sur le sol de l’entrée. Et me prenant par la main, il m’attira dans l’appartement que je n’eus pas le loisir d’admirer longtemps. Il prit une chaise, s’y assis me fit faire face à lui m’attira pour que je m’empale sur lui. Je saisis sa…Bite et la plaçais à l’aplomb de mon vagin et lentement, avec délectation je fléchis les jambes pour me laisser glisser…Et entamer un long va et viens voluptueux. Il m’empoigna (pas d’autre mot) douloureusement les seins pour m’indiquer le rythme qu’il voulait que j’adopte. Ils avaient l’air de lui plaire, gonflés par l’envie, les mamelons dardés par l’excitation. Les prenant à pleines mains, il les porta à sa bouche pour en sucer tout d’abord les extrémités, puis le mordiller ensuite assez rudement me faisant crier, suppliant :
« Arrêtes, tu mords trop fort, aaaaah, oui suces les, comme ça c’est bon, encore ouiiii, mords-les encore…Ouiii …Marc, je vais jouir…Non attend, pas encore…Jouis avec moi…Je sens ta bite, elle est grosse, elle me rend folle…Baise-moi fort…Aaaaaahh je jouiiiiis….. »
Et en même temps que je succombais à cette chevauchée, je sentis son membre grossir plus exploser, se liquéfiant en moi. Je m’affalais sur son épaule épuisée, et nous restâmes ainsi un moment sur cette chaise au milieu de la pièce entrain de rendre nos esprits.
« Eh bien Florence ! tu ne m’avais pas habitué à tant de démonstration tu te rappelle notre conversation, tu vois que tu deviens une vraie cochonne »
Un peu rougissante j’acquiesçais et il reprit :
« Et ce n’est pas fini…Tu as des talents de baiseuses bien cachés, je vais satisfaire toutes mes envies avec toi, je te ferais faire les choses les plus vicieuses, tu veux ? » Je répondis par l’affirmative, inutile d’hésiter, il savait qu’il avait gagné et qu’il pouvait me faire ce qu’il voulait, ma présence ici ce matin en était la preuve.
« En attendant, viens, je fais visiter… »
Salon, divan profond, canapé accueillant sur lesquels il devait être bon de se faire prendre (oui, oui, c’est bien moi qui eu cette pensée), cuisine sympa, bureau, salle de bain bien aménagée, puis enfin la chambre…grande…grand lit, miroirs…une autre télé grand écran, lumière diffuses, mais aussi quelques spots éteints…bref un endroit fait pour ÇA et qui avait du en voir de belles et ou vraisemblablement, moi aussi j’allais en voir de belles…Il me fit allonger sur le coté, puis se leva mettre une cassette et revint se placer derrière moi. Sur l’écran, une blonde plantureuse se faisait…assaillir (le mot est faible) par cinq ou six gaillards fortement membrés.
Derrière moi, Marc me caressait le dos, la taille, la hanche, le haut de la cuisse pour revenir soit devant par ma vulve, mon ventre et mes seins, soit par derrière entre mes fesses, mes reins et le long de ma colonne vertébrale. Il m’embrassait le cou, la nuque, me suçait le lobe de l’oreille et en même temps me murmurait des obscénités à l’oreille. Les hommes avaient investit tous les orifices de la blonde simultanément et semblaient déchaînés. Quand même, quels excès ! Même si mon amant m’avait fait quitter mon carcan d’oie blanche et se préparait à franchir le dernier rempart de ma virginité arrière, je trouvais que se faire filmer entrain de se faire saillir par plusieurs partenaires était d’une perversité outrancière et déshonorante pour celle qui s’y livrait. Quand même quelque part, je m’interrogeais sur les sensations qu’elle pouvait éprouver et j’eus l’impression que Marc avait lu dans mes pensées car il demanda
« Tu as vu la fille, elle assure hein ! Sept pour elle toute seule, tu te rends compte, tu n’aimerais pas être à sa place ? J’ai l’impression que cela excite la petite Florence B, pas vrai… »
Je protestais, arguant que j’avais un amant qui me satisfaisait entièrement…Il n’insista pas…Par contre, il me fit mettre en levrette, face à l’écran et me pris longuement me procurant plusieurs orgasmes ou je dus admettre « que j’adorais me faire sauter comme une salope », « que j’étais une chienne avide de queue » et autre gracieuseté que je répétais servilement tant j’étais excitée et il faut bien le dire qui n’était que la stricte vérité.
Après m’être un rafraîchie (mon entre jambe en avait besoin), nous prîmes un repas rapide, lui nu et moi en petite tenue. Cette collation, comme à l’accoutumée fut entrecoupée de caresses, si bien qu’à la fin du repas Marc était en érection. Il me dit :
« Bon, nous allons pouvoir passer aux choses sérieuses, tu te rappelle pourquoi tu es ici n’est ce pas, mais remaquilles-toi, je n’encule que les salopes… »
Ça bien entendu, je n’avais pas oublié…j’en frissonnais à l’avance…et ce que j’avais vu faire faire à la blonde ne m’avait pas rassurée, bien au contraire…mais de toute façon, j’étais résignée et aussi, je dois l’avouer, très troublée par l’envie de me faire prendre de cette façon…Je revins de la salle de bain maquillée comme …comme une pute (ça y est le mot était lâché). Je ne fus pas la seule à y penser car Marc dit en souriant ironiquement:
« Tu fais pute, c’est bien Florence, je t’adore comme cela, je vais te récompenser viens par ici, que je me fasse ton petit cul… »
Il m’entraîna par la taille dans la chambre me fit mettre à quatre pattes face à la glace « pour que je me voie prendre du petit » et commença à me masser la raie, puis me lécher, me titillant l’anneau de sa langue ce qui j’en conviens était fort agréable. Puis, après sa langue, il glissa une phalange enduite d’un gel lubrifiant dans l’ouverture de mes reins. Une deuxième suivit la première bientôt rejointe par un troisième…A ce moment, avec délicatesse, il fit remarquer que j’avais « un doigt dans le cul et que je ne m’en plaignais pas ». C’était vrai, une sensation un peu étrange dans ce sens, mais pas désagréable surtout quand il fit aller et venir son doigt le long de mon rectum.
« Je vais t’en mettre un deuxième » prévint-il
Il ressortit son doigt, et de deux doigts joints il me pénétra dilatant mon conduit et l’assouplissant pour parvenir à ses fins.
Je laissais échapper un soupir d’aise et il en profita…Il allait me sodomiser…Enfin…
Il se positionna derrière moi, écarta mes fesses, ouvrit ma rondelle, je sentis son gland contre l’ouverture, il poussa…Je résistais à cette poussée, le gland brûlant m’ouvrit, faisant céder mon sphincter, je poussais un cri de légère douleur, le gland était passé le reste allait suivre. Oh mon dieu ! Je sentais la progression de cette tige brûlante forant mon étroit conduit. Je ne savais pas si je souffrais ou non…La douleur était diffuse, comme masquée par la sensation d’être remplie… Étrange… L’intromission se poursuivit lentement jusqu’à ce qu’il s’arrête et que je sente ses couilles buter sur mon périnée. J’étais enculée à fond… .et je trouvais cette sensation agréable… Quelle honte…
Il marqua un temps d’arrêt pour que je m’habitue au diamètre puis lentement il se retira jusqu’au gland…pour mieux m’investir en une seule fois et encore plus profondément. Il se mit à me caresser le dos, les épaules, les seins bien entendu, il me fit écarter les jambes en grand pour « que ma chatte puisse ruisseler » me titilla un temps mon bouton si sensible et annonça qu’il allait à présent « me défoncer le cul ». Je le suppliai de le faire…Il me saisit par les hanches et se mit en devoir de me limer d’importance cet endroit encore vierge il y avait quelques minutes encore.
Je dois reconnaître qu’il devait bien si prendre, car depuis quelques instant, je ne ressentais plus aucune douleur, mais au contraire…Une sensation inconnue de plaisir obscur commença de m’envahir pour aller lentement crescendo. Son rythme s’accéléra, l’amplitude de ses coups de queue augmenta dans mon boyau désormais distendu. Il me conseilla « de me branler le bouton pour jouir encore plus ». J’obéis, une fois encore, et pris appuis sur un coude pour mieux laisser ma main libre entre mes jambes pour m’accorder un petit plus manuel. En face de moi, j’avais l’image d’une femme dépravée, offrant sans scrupule son anus à un amant qui le prenait avec délectation. Fou, c’était fou…complètement fou, différemment du devant, mais j’étais sûre, contre toute attente, d’atteindre l’orgasme…J’émis une plainte rauque sur laquelle il n’y avait aucune ambiguïté…Il comprit fort bien…
« Alors, ma salope, on y prend goût à se faire enculer ? Hein ! Allez, réponds ! »
Et moi, vaincue désormais de répondre entre deux halètements :
« Oui, c’est bon…ouiii….ouiii…Je t’en prie….Oh oui !… Je pars…. »
Et…, je me mis à jouir…Et je sentis son sexe gonfler distendant mon étroit fourreau…puis l’inonder de son sperme brûlant. Etendue sur le ventre pour me remettre, je restais indolente quelque temps pendant que Marc à côté de moi caressait mes reins et mes fesses en feu. Quel avilissement…Mais quel plaisir également, je n’aurais jamais cru cela possible…Pourvu que…Pourvu, oui qu…. pourvu qu’il veuille recommencer, c’était certain, je ne l’empêcherais plus …Il décrypta bien ce qui se passait en moi, car il m’interrogea :
« Dis-moi, quelles sont tes impressions ?…Les miennes sont que cela ne t’a pas déplu, bien au contraire, je me trompe ? »
Que pouvais-je concéder d’autre ? …Rien !
« Oui, j’ai aimé… »
« Ce n’est pas un peu court comme confidence ? »
Je comprenais fort bien ce qu’il attendait de moi…et une fois de plus avec un peu d’embarras je me lançais :
« Oui, j’ai aimé que…Que tu m’encule…C’était bon, je te promets que je ne ferais plus d’histoire désormais…Tu pourras recommencer… »
« Mais j’y compte bien…Tu as un petit cul très accueillant…Et je vais en profiter autant que du reste, je pense que tu n’y vois plus d’inconvénients ? »
Oh ! que non…Là et ailleurs il pourrait me prendre à sa guise…consciente de devenir sa chose j’étais certaine qu’il n’allait pas s’en priver
Après que Marc, mon chef d’agence et amant m’ait imposé, sans que je le regrette d’ailleurs (bien au contraire), la sodomie, il utilisa assez souvent cette voie…en plus des autres…J’y avais droit presque à chaque rencontre et je dois l’avouer à ma grande satisfaction tous les lundis, jour de fermeture de l’agence, et même parfois dans celle-ci, les jours ou c’était mon tour d’en assurer la fermeture. Il me sodomisa même une fois au beau milieu de l’agence, toutes lumières éteintes. Si quelqu’un avait eu la mauvaise (ou la bonne) idée de s’approcher de la vitre à ce moment là, il aurait eu la même vision que me renvoyait la glace : celle d’une employée, uniquement vêtue de ses bas en train de recevoir un hommage postérieur conséquent…De tout cela, j’avais honte bien sûr…honte qu’il me demande parfois de ne pas porter de culotte au bureau (ce à quoi je m’accoutumais), honte qu’il me demande de m’habiller plus sexy et de me maquiller plus que la normale (ce que j’avais accepté), honte qu’il me demande de venir chez lui nue sous un manteau (finalement, je m’y étais faite), honte qu’il me prenne et me reprenne dans toutes les pièces (y compris les WC) de mon pavillon ou de son appartement et ce, par toutes les issues (que je lui offrais avec jubilation), honte encore des mots crus qu’il employait à desseins (et qui m’électrisaient étonnamment) ou qu’il me forçait (pas trop d’ailleurs) à proférer. Mais j’avais surtout honte de deux choses : la première était de tromper mon mari, toujours aussi gentil et qui ne s’apercevait de rien, malgré mon changement de style et à qui j’avais même offert mes reins le soir de sa fête et l’autre d’avoir un amant plus jeune que moi et qui m’asservissait, je le sentais bien…. Mais toute cette honte était contre-balancée par un plaisir trouble mêlé d’une excitation infinie qui me faisait perdre toute retenue, et qui me menait tout droit vers un monde de luxure que je n’essayais même pas de fuir. J’avais l’impression d’être tombée sous sa coupe et j’arrivais même à oublier les quelques années qui nous séparaient…surtout lorsqu’il me disait qu’un de ses fantasmes les plus cher était de dévergonder une femme mure, un peu coincé pour en faire une…une salope…et je crois qu’il était en train de bien y réussir….Il devenait aussi un peu plus exigeant, sur mes tenues par exemple, il me demanda de porter des jupes plus courtes ou plus fendues, des décolletées plus larges, des chemisiers plus ouverts, parfois même de ne pas porter de soutien gorge, ce qui avec ma poitrine ne passait bien évidemment pas inaperçue…Plusieurs fois également il avait eu des propos que j’avais jugé singuliers. Lorsque je me rendais chez lui, il avait l’habitude pendant (avant et après également) nos ébats de mettre des films pornographiques. Une fois, après m’avoir fait superbement jouir, nous visionnions une de ses casettes et il me dit :
« J’aimerais bien te filmer entrain de baiser »
Comme je lui faisais remarquer qu’il me paraissait difficile de filmer et de faire l’amour en même temps, il répondit sans ambiguïtés :
« Tu n’as pas compris, j’aimerais te filmer entrain de baiser avec quelqu’un d’autre… »
Surprise, je pris le parti d’en rire et il n’insista qu’en modifiant sa proposition ainsi :
« Et si quelqu’un d’autre nous filmait tous les deux, tu pourrais te voir pendant que tu me suces ou te contempler entrain de jouir quand tu te fais enfiler par-devant ou par derrière, qu’en penses-tu »
Sans refuser radicalement je lui dis que j’y penserai…Avoir à faire cela devant un tiers…cela ne me paraissait pas évident…Une autre fois, voyant deux femmes ensembles, il me demanda si j’avais déjà fait l’amour avec une autre femme… assurément non ! Même si lorsque j’étais étudiante, certaine de mes copines étaient bi et m’avaient fait des propositions. Là, par contre, il avait un peu insisté en me disant « qu’il aimerait bien me voir gouiner ». Là encore, je n’avais pas opposé un refus formel…après tout, pourquoi pas…Bref, il prenait un plaisir pervers à me pousser dans mes derniers retranchements, j’en étais consciente ainsi que du fait, qu’enfin de compte, un jour ou l’autre, je finirais par céder à ces sollicitations dépravées.
Un jour, il me dit :
« Écoutes, j’en ai assez, je ne t’ai pas assez à moi, je te voudrais une nuit entière avec moi…que nous fassions l’amour, que nous nous endormions dans les bras l’un de l’autre, qu’au milieu de la nuit, je te réveille pour recommencer et qu’au matin je te saute encore, j’en ai trop envie… «
Je l’assurai que moi aussi je raffolerai beaucoup de cela, mais que passer la nuit en dehors de chez moi était impossible. Il me dit alors :
« J’ai réfléchi, voilà ce nous pourrions faire : Fait croire à ton mari que tu fais un stage de deux jours à Paris mardi et mercredi prochain. Le premier nous travaillons, nous passons la soirée et la nuit ensemble, puis, je t’accorde une journée le lendemain pour que nous restions ensemble, qu’en penses-tu, tu es partante ? »
Oh que oui j’étais partante ! Je m’imaginais déjà toute la nuit dans ses bras…Hummm !
Annoncer cela à mon mari, ne fut pas trop difficile, surtout qu’il ne posa pas trop de questions embarrassantes sur le programme de ce stage imaginaire ni sur les horaires. Le jour venu après avoir embrassé mon mari qui plaisanta en me demandant « d’être sage », (s’il avait su)…, je pris non, le chemin de la gare, mais celui du domicile de Marc ou je laissa ma voiture en stationnement et me rendis à l’agence par les transports en commun. La journée fut interminable et le regard les clients sur mon buste n’avait rien arrangé…Enfin le soir ! Je fermais vite l’agence, et me jetais dans les bras de Marc qui m’embrassa voracement.
« Enfin tu es à moi… »
« Oui toute à toi » promis-je
Nous ne perdîmes pas de temps pour rentrer à son domicile, au passage je récupérais mes affaires dans ma voiture et vite, je fus nue dans son appartement. Il se déshabilla à son tour et nous jouîmes dans un merveilleux soixante-neuf qui nous laissa la bouche pleine de nos sécrétions que nous échangeâmes dans de longs baisers passionnés.
Il me dit ensuite :
« Va te faire belle, nous sortons, j’ai réservé au restaurant et ce soir, c’est moi qui t’habille »
« Au restaurant ? Tu n’as pas peur que je sois reconnue par quelqu’un ? Et puis, tu m’habilles ? Il me semble de d’habitude tu fais le contraire non ? » le provoquais-je
« Ne soit pas inquiète, je suis sûr que tu n’y connais personne, et pour reste pas d’inquiétude non plus, tous tes orifices vont servir ce soir… »
Chic…chic, chic, chic ! J’allais me faire outrageusement sauter…et sans réfléchir, j’ajoutais :
« Je suis ta chose… »
Douche, coiffure, maquillage soutenu de soirée…je soignais particulièrement le contour de ma bouche espérant lui donner une fois encore l’envie d’enfourner sa pine entre mes lèvres et de m’inonder le gosier. J’allais dans sa chambre voir la tenue qu’il m’avait choisie, qui serait à coup sûr sexy… pourvu qu’elle ne le soit pas trop tout de même…M’attendais sur le lit : un porte-jarretelles noir, des bas fumés, un string minimum noir transparent, décidément le noir était la couleur de ce soir, car il y avait également une jupe de même couleur qui me sembla assez courte (je l’aurais parié) et un très beau chemisier, noir toujours, de dentelles très ajourées. Je passais les sous-vêtements, tiens, pas de soutien gorge, cela ne faisait rien j’allais mettre le mien. Immédiatement je regrettais le choix que j’avais fait. Si sous des vêtements « normaux » mon soutien gorge à balconnets me faisait pigeonner les seins agressivement, l’effet sous la dentelle était assez étonnant, sans compter qu’il me les dévoilait jusqu’aux aréoles…Pour la jupe, je ne m’étais pas trompée, c’était une jupe portefeuille qui s’arrêtait à environ dix centimètres au-dessus du genou et qui, une fois assise, devait bien découvrir la cuisse jusqu’à la limite du bas et peut être plus haut… j’en frissonnais…En me regardant, je ne me trouvais pas mal… oui, pas mal, sexy, oui…salope, sûrement…vulgaire, non ! J’allais rejoindre Marc au salon, qui se leva à mon approche les yeux brillants.
« Tu es superbe, oui vraiment…magnifique, nous allons passer une soirée d’enfer » dit-il en me tendant une veste trois-quarts en (imitation) fourrure blanche et gris clairs qui m’enveloppa.
Un peu plus longue que ma jupe, elle découvrait le bas de ma cuisse, je pouvais passer pour nue sous cette veste, sans compter que le contraste de la fourrure avec mes cheveux et mes bas faisait bien ressortir cet aspect des choses..
Ascenseur, voiture, trajet, restaurant qui m’était inconnu, ouf ! Nous entrâmes, table réservée, ambiance intime, beaucoup de jolies femmes ou du moins assez sexy. Tiens, pas d’enfants, assez peu de personnes seules. Je regardais autour de moi…personne de connu…je respirais…Pendant l’apéritif Marc me dit :
« Tu es vraiment splendide, mais dis-moi, je ne t’avais pas prévu de soutien gorge pour ce soir ? »
« J’ai pensé que tu avais oublié…alors j’ai mis celui que je portais aujourd’hui… » répondis-je un peu mal assurée, prise d’une inquiétude subite…
« Là n’est pas la question, je ne souhaitais pas que tu en mettes du tout »
« Avec la dentelle ce n’est guère possible, on verrait tout »
« Justement, c’est bien ce que je voulais, que tu fasses voir tes gros lolos, à moi d’abord, ainsi qu’à tout le monde…Va l’enlever maintenant, que tout le monde en profite »
Douche glacée, comme j’hésitais, il reprit :
« C’est bien toi qui as dit que tu étais ma chose ? Alors donc obéis, ne te fais pas prier, tu va avoir les nibards à l’air ça va m’exciter…et toi aussi… »
Un peu perdue, je me levais comme un automate et me dirigeais vers les toilettes ou je m’enfermais pour « alléger » ma tenue. L’allé avec la salle à traverser sous les regards que je provoquais, cela avait été à peu près mais le retour…avec ma poitrine nue sous la dentelle et le balancement de mes seins…c’était une autre histoire, de plus il aurait été ridicule que je croise les bras…Enfin ma table, je tentais de m’y asseoir discrètement…raté…mes seins oscillèrent de plus belle attirant les regards de Marc, des serveurs, ravis et de quelques personnes aux tables proches. Sous ces regards, je sentis mes seins se durcir et les mamelons s’ériger, il fallait que je me calme. Un serveur pris la commande. Marc s’adressa à moi :
« Tu mouilles ? Je suis sûr que oui ! Ce n’est pas fini, comme tu t’es fait prier, tu à un gage …A chaque plat du dégrafe un bouton… »
Je fis vite le calcul, à la fin du repas mon chemisier serait ouvert sous les seins…Me devinant Marc reprit :
« Je vois que tu as fait tes comptes…Tu vas voir, laisse toi faire, tu seras encore plus excitée ma chère Florence de les dénuder devant tout le monde, et pour te récompenser, je t’enculerais jusqu’à ce que tu hurle de plaisir…Allez, premier bouton… «
Docilement, soumise par avance j’obéis…(un était déjà ouvert, il y en eut deux)
Serveurs, entrée, délicieuse…serveur, changement de couverts, regard en biais…Aie, aie, aie, le plat principal avançait, regard amusé de Marc…serveurs, service…Sans mot dire, le cœur battant le défis le troisième bouton, libérant intégralement le sillon entre mes rondeurs…Regard admiratif de Marc…qui me dit :
« Tu es parfaite, tu es très belle, j’ai très envie de te les lécher…pour le dessert, veux-tu me faire plaisir ? »
« Oui, je veux bien… » répondis-je d’une petite voix, et bêtement, j’ajoutais, le regrettant aussitôt :
« Je suis là pour cela »
« Excellent ! Alors quand tu auras fini ton plat, retire ton string ! »
J’eus vraiment du mal à avaler ma salive tellement je ne m’attendais pas à une telle demande. Je crus même avoir mal compris et je reformulais le propos.
« Tu veux que j’aille ôter mon string maintenant ? »
« Non, non ne fais pas semblant d’avoir mal compris, tu as très bien saisi, Florence, je veux que tu retire ton string ici et maintenant… ».
Je lui jetais un regard éperdu, et ne rencontrais en échange dans ses yeux qu’une lueur teintée d’ironie lubrique. Cela n’allait pas être évident. Mentalement, je fis le parcours…je compris, maintenant, le pourquoi de la jupe portefeuille…j’étais convaincue qu’il avait pensé à tout…le salaud…. Le plus subrepticement possible, j’écartais les pans de ma jupe…zut ! Ce n’était pas suffisant, il me fallait aussi la retrousser un peu…Je passais rapidement ma main droite vers mon aine gauche, réussis à accrocher le cordon du string…Tirant dessus et me soulevant légèrement d’un coté, je réussis à dégager une fesse. Coup d’œil circulaire…Ouf ! Personne ne semblait n’avoir rien remarqué. Opération inverse pour l’autre coté. Moment délicat…j’avais la jupe un peu retroussée, les pans écarté…et le string en haut des cuisses. Du coin de l’œil, je vis le garçon venir débarrasser, je rabattis prestement ma jupe.
Comprenant bien ou j’en étais Marc me susurra cyniquement :
« Il va nous amener, le dessert, il ne faut pas que tes activités te fassent oublier ton chemisier…Commences donc par cela ! »
Quel vicieux !…Mais je dois reconnaître que je commençais à adorer cela…considérant toutes ses exigences comme un prélude à tout ce qu’il comptait me faire…Hummmm !
Je défis un quatrième bouton…Le chemisier était désormais déboutonné jusque sous ma poitrine, et mes seins hyper gonflés étaient dégagés quasiment jusqu’aux pointes. Amenant les assiettes, le serveur ne se priva pas pour les guigner ouvertement…Avant qu’il n’amène le dessert, j’eus juste le temps de me soulever pour faire glisser mon string vers mes genoux, en prenant soin de ne pas accrocher une jarretelle, puis vers mes chevilles, je le ramassais. Bien inévitablement, les mouvements brusques que j’avais fait firent osciller mes seins sous le regard amusé et égrillard de Marc qui me demanda, désignant mon poing fermé :
« Donne ! »
J’obéis, il pris, sans trop de précaution, le flaira et…le posa sur la table en disant :
« À l’odeur, je me rends compte que tu es à point… »
Le garçon apporta le dessert et ses yeux écarquillés et narquois allèrent de mon string noir posé en évidence sur la nappe blanche à mon buste découvert…et prit bien son temps pour le lorgner…et, il ne fut pas le seul car Marc, me disant qu’il avait bien intercepté le manège du serveur, me précisa qu’il avait hâte que je le branle entre mes seins…Moi aussi…et je fit part à Marc de mon désir de rentrer le plus vite possible et de mon désir tout court…
Il se produisit alors une chose, qui m’étonna…Le serveur revint et s’adressant à Marc lui dit en désignant un e table proche :
« Le Monsieur, là, souhaiterait vous offrir le champagne »
« Oui, c’est fort aimable, dites-lui que nous acceptons » répondit-il à mon grand étonnement
« En cas, désirez-vous le prendre à table ou dans un salon » proposa-t-il en me regardant d’un air bizarre.
« Dans un salon, se sera parfait ! »
« Si vous voulez bien me suive »
Nous nous levâmes, et me prenant par la taille Marc me dit devant mon air interrogateur et déçu :
« Ne te tracasse pas, nous buvons une coupe et nous partons… »
Salon : fauteuils confortables, sofa, éclairage tamisé, petite table où trônait un saut à champagne et sa bouteille, en résumé intime. Nous prîmes place sur le sofa, l’inconnu arriva, nous nous levâmes. Présentations : Pierre-enchanté-Marc-moi-de-même-je-vous-présente-Florence-ravi…Pierre : pas mal de sa personne mais bon…j’avais hâte de boire cette coupe et me retrouver soumise aux désirs de mon amant…S’asseyant au bout du sofa, Pierre déboucha la bouteille, servit et proposa :
« Si nous portions un toast ? Je propose que nous buvions à la beauté de Florence «
Confuse ! Je me sentis rougir
« Bonne idée « répliqua Marc
« Alors, a votre beauté Florence » repris Pierre avec un regard à la fois enveloppant et (plutôt) libertin. J’aurais parié que je lui faisais de l’effet…S’adressant à Marc, mais convoitant ouvertement l’échancrure impudique de mon chemisier, il poursuivit :
« Vous avez bien fait de lui faire retirer son soutien gorge, Florence à des seins magnifiques… »
Estomaquée, je dus rester bouche bée, et encore plus d’entendre la réponse de Marc, qui au lieu de le remettre en place lui dit
« Effectivement, ils sont très beaux…et très lourd, je vous en prie, voyez vous-même »
Et joignant le geste à la parole, il avait glissé une main sous mon sein droit. Pierre avant même que je puisse articuler un mot, s’était empressé de faire la même chose au gauche et je me retrouvais assise entre les deux hommes qui soupesait chacun un de mes seins.
Pierre complimenta…
« Ah oui ! très bien, ils sont décidément remarquables »
« C’est très vrai, et de plus ils sont très doux et très sensible, testez vous-même » continua Marc en écartant carrément un pan de mon chemisier pour mieux me caresser mon sein maintenant dénudé. Évidemment, l’autre ne se fit pas prier…Il repoussa la fine dentelle pour s’emparer de mon sein gauche…Que vous dire sur l’état dans lequel je me trouvais…dans ce salon un miroir me réfléchissait l’image d’une femme entrain de se faire peloter les seins par deux hommes entreprenant, ça y était…mon ventre était en fusion…surtout que Pierre, à l’égal de Marc savaient y faire…Mes seins étaient palpés, soupesés, caressés, pendant que l’un de deux hommes en pressait un, l’autre agaçait du pousse le mamelon durci du second, puis ils changeaient d’activité et pendant que l’un était pétris par une main impérieuse, la pointe de l’autre était étirée par des doigts qui la faisait rouler entre pouce et index puis pincée subtilement. Je commençais à perdre un peu pied…forcément…lorsque j’entendis comme dans un rêve Marc dire :
« Au dessert, je lui ai également demandé de retirer son string, vous pouvez vérifier par vous-même, d’ailleurs, elle n’attend que cela, par vrai Florence ? »
Je m’entendis répondre un « oui » étranglé…
« Ah ! c’était cela…Il m’avait bien semblé…Vous auriez dû ensuite la faire asseoir directement sur ses fesses nues…tout le monde en aurait profité… » commenta Pierre et il posa sa main sur le haut de mon genou pour entamer une caressante progression. Lorsqu’elle atteignit la mi-cuisse que la jupe découvrait Marc m’enlaça et me demanda :
« Florence chérie, facilite-lui la tâche…Ouvres-toi …Allez ! En grand !… »
Soumise, j’écartais lentement les jambes permettant à la main de remonter à l’intérieur de ma cuisse. Il caressa quelques instant la peau nue au-dessus de mes bas et je sentis ses doigts entrer en contact avec ma toison intime…un doigt insistant glissa le long de ma fente trempée et sans la moindre hésitation glissa merveilleusement dans mon vagin. Pendant ce temps Marc, tout en malaxant mes nichons devenus incroyablement durs, m’embrassait goulûment, tendis que pendant ce temps Pierre avait introduit deux doigts dans la chatte, et me pelotant les cuisses de son autre main. Je me laissais aller offrant à l’un mes seins, mes lèvres qu’il écrasait, ma langue qu’il suçait, ma bouche qu’il emplissait de sa langue et à l’autre mes cuisses ouvertes et mon sexe avide…j’étais à eux…
Marc l’avait bien comprit et dit à Pierre :
« Vas-y prend-la ! »
Il ne se le fit pas dire deux fois, il se leva, ouvrit son pantalon. J’eus le temps d’apercevoir une belle tige un peu moins longue que celle de Marc (pas sûr…) mais plus large. Il s’agenouilla m’écarta les jambes, s’avança entre elles, sa verge se positionna à l’entrée de mon doux étui et…m’embrocha…à fond…Que se fut bon ! En même temps qu’il me pistonnait, il m’embrassa, lui aussi avec avidité, je fermais les yeux… Je senti Marc bouger à coté de moi et quand je ré-ouvrit les yeux, ce fut pour me trouver face à face avec …sa queue tendue, pointée vers ma bouche. Oh mon dieu ! Je comprenais fort bien ce qu’il souhaitait…Comment me défiler maintenant…d’ailleurs, je n’en avais aucune envie…Je m’en saisis et l’embouchais profondément. Quelle horreur ! Non seulement, je trompais outrageusement mon mari, mais ce soir, perdant tout repères, je m’offrais sans pudeur (je vous prie de me croire) à un inconnu et en même temps, il fallais que je pratique une fellation à mon amant…quelle déchéance, mais quelle excitation…M’occuper de deux hommes en même temps, je n’aurais jamais cru que cela puisse m’arriver, je sentis mes dernière remparts de mesure d’effondrer, je me déchaînais…l’orgasme fut prodigieux…je crus que mon cœur allait lâcher…Ils eurent l’air satisfait car la preuve de leur plaisir me rempli le chatte et la bouche lorsqu’ils se libérèrent en râlant. J’étais pantelante, je m’assis, ils m’offrirent à boire, nous triquâmes en nous embrassant et Marc prit la parole :
« Pierre va venir boire un verre à la maison, je suis absolument certain qu’il a très envie de te voir nue, je sens que nous allons bien nous amuser avec toi, refaits-toi une beauté que nous partions… »
Alors là non ! Prise (si l’on peut dire) au dépourvu passe encore, mais être le jouet de ses deux dépravés…Il n’en était pas question? J’allais refuser…C’est cela j’allais…dire… Oui. Oui, oui…oui, tout ce qu’ils voulaient j’avais tellement joui avec leur deux pines que, comme à l’accoutumée, j’allais me laisser faire…avec bonheur…
Le plus rapidement possible, je me recoiffais et me remaquillais (j’en avais bien besoin). Ils m’interdirent de refermer mon chemisier (qu’ils avaient, de plus, déboutonné davantage pour mieux s’activer sur mes globes) et c’est donc dépoitraillée que je traversais la salle du restaurant…sous les regards intéressés des autres clients…que trop honteuse, je tentais d’éviter…Il faudrait quand même que je pense à demander à Pierre quel était ce genre d’établissement…car du coin de l’œil, il me sembla que quelques tenues s’étaient allégées (comme moi tout à l’heure) et que quelques mains semblaient s’égarer…pour le moins…
Nous regagnâmes la voiture de Marc ou je pris place à l’arrière…en compagnie de Pierre, qui empressé me fit asseoir selon ses désirs, c’est à dire après avoir relevé complètement ma jupe. Ses mains, pendant le trajet, fourragèrent méticuleusement dans mon entre-jambe tant et si bien que Pierre m’arracha un orgasme avant que nous arrivions…Comme Marc l’avait pronostiqué, moi aussi je me dis que la soirée allait être chaude…et je songeais en moi même que je n’allais pas le regretter (comme j’avais raison…).
Dans l’ascenseur, quatre mains commencèrent à me déshabiller et c’est presque dévêtue que je rentrais dans l’appartement de Marc. Tout en m’étreignant, ils achevèrent leur travail, ne me laissant que mon porte-jarretelles et mes bas.
« Pendant que je vais chercher à boire, fais une pipe à Pierre » ordonna Marc
« Bonne idée » répliqua ce dernier en se mettant nu en un tour de main. Il était pas mal bâti également et sa verge n’avait que peu de chose à envier à celle de Marc, du moins au point de vue longueur, car comme je l’avais bien vu et sentit précédemment elle s’avérait plus large et allait bien me remplir la bouche. Il s’assit confortablement et comme une invite muette, écarta les cuisses sur une semi-érection me laissant l’initiative. Faisant balancer sensuellement mes seins, je m’approchais, m’agenouillais et pris son membre entre mes mains pour lui redonner de la vigueur, ce qui ne prit vraiment que peu de temps : Il était prêt…Lentement j’abaissais mon visage et commençais à lui lécher voluptueusement le gland, puis le fixant droit dans les yeux, très très lentement je le fit pénétrer dans ma bouche gourmande pour entamer une succion la plus exquise possible. Derrière moi j’entendis Marc, nu également :
« Appliques-toi hein ! fais cela bien »
Pierre le rassura – j’étais irréprochable. Je sentis Marc se mettre derrière moi, me faire écarter les jambes, me faire cambrer un peu et ouvrir ma fente, il allait me prendre…Il me l’annonça :
« Je vais te mettre, tu n’as rien contre…j’ai l’impression que tu aimes ça deux hommes pour s’occuper de toi, tu vois que c’est agréable de faire deux choses en même temps…continue pompe le bien, oui à fond…j’adore te voir sucer une queue…tu verras, je te ferais sucer tous mes amis… »
Huuumpf ! ne parvins-je qu’à émettre, bâillonnée que j’étais par le mandrin de Pierre, quelle exagération tout de suite, TOUS ses amis…et pourquoi pas… oui pourquoi pas …En attendant et pour mon plus grand plaisir, il m’avait investi et chacun de ses coups de reins me projetait au devant de la bite de Pierre qui s’enfonçait loin dans ma bouche. C’était vraiment une situation nouvelle et d’une sensualité torride pour moi, rendez-vous compte, deux hommes…l’un dans ma bouche et l’autre dans mon sexe…sans compter que leurs mains ne restaient pas inactives…posant sa main à plat sur mes reins, Marc me glissa même un pouce dans l’anus. Ils me besognèrent ainsi un moment jusqu’à ce que Pierre demande :
« C’est tout ce que tu lui mets un pouce ? »
« Non, non, pas du tout, ça prépare un peu le terrain, c’est ma queue, que je vais lui mettre, elle adore cela… ».
Et, ce disant, il se retira de ma chatte, il récolta un peu de mouille, l’étala sur l’entrée de mes reins et y abuta son pieu et débuta l’inexorable pénétration. Il avait décidé de ne rien m’épargner, voilà à présent qu’il allait me sodomiser devant cet inconnu…Etre prise de ce coté, m’excitait toujours (culpabilité et plaisir mélangé sans doute) mais là, devant un inconnu, c’était encore pire et je compris que j’avais également des tendances (marquées) à l’exhibitionnisme. Voilà ! Maintenant j’étais sod…enculée (n’ayons pas peur des mots) solidement et je pompais avidement un autre partenaire. Marc me tenait fermement par les hanches pour mieux me limer le rectum et Pierre m’appuyait sur la tête pour m’enfoncer sa bite le plus loin possible ou passant ses mains sous moi rythmait ma fellation en me triturant les seins…je perdais pied…Il me fallut me concentrer car Pierre annonça son plaisir en gémissant :
« Je vais balancer la sauce, avale tout, salope… »
Je reçus le premier jet directement dans la gorge et les deux autres m’emplirent la bouche de cette sève chaude et épaisse. Marc qui avait interrompu ses va et viens les repris puissamment pendant que Pierre finissait d’essuyer sa verge sur mes joues et mes lèvres. Le plaisir me prit brutalement et je criais…encourageant Marc :
« Vas-y!! Encore!!! Encore!!! Jouis, toi aussi!! Vide, toi en moi!!! »
Sa verge gonfla, gonflée puis, je sentis dans ses sucs brûlants se répandre mon boyau culier accompagnant mes derniers spasmes de jouissance. Quel bonheur j’avais eu…!
Quand sa verge se rétracta un peu, il se retira précautionneusement, laissant un grand vide entre mes reins. Les deux hommes me firent relever, puis nous trinquâmes tout en continuant de nous caresser et de nous embrasser.
« Dis-moi, Pierre, tu n’es pas trop pressé de partir » demanda Marc et devant la réponse négative de ce dernier, il enchaîna :
« Bien ! Si nous profitions encore un peu de Florence ? Tu es partant »
« Bien entendu si elle n’est pas trop fatiguée…je ne voudrais pas abuser » répondit-il ironique
« Penses-tu, elle a de la ressource…et puis, elle adore que l’on abuse d’elle, pas vrai ? «
Même si mes jambes étaient un peu en coton, et que la fatigue commençait à se faire sentir, je concède bien volontiers que la perspective qu’ils abusent de moi aiguillonna mon désir…Marc décida que nous irions dans la chambre. Je m’allongeais sur le dos, avec mes amants de part et d’autre qui m’entreprirent rapidement de leur bouches, leurs langues, leurs mains, leurs doigts…Je répondis à ses avances en m’offrant littéralement, et; moi aussi je les embrassais, les léchais, les caressais. Ce fut un moment exquis…sauf quand Marc faillit s’étrangler avec un poil de mon pubis collé dans la gorge…Ce qui fit faire cette remarque à Pierre :
« Fais-la épiler complètement, tu n’auras plus ces problèmes »
Marc trouva l’idée excellente, le contraire m’eut étonnée, et me contraignit à accepter de le faire. Il faut dire que je ne repoussais mollement cette demande surtout qu’à cet instant Pierre avait introduit trois doigts dans ma chatte et me branlait résolument. Ils se mirent ensuite à genoux de part et d’autre de mon visage et m’ayant placé un coussin sous la tête me exigèrent que je leur fasse une pipe. Je m’emparais de ses mandrins, un dans chaque main pour les sucer alternativement pendant qu’ils malmenaient les bouts de mes nichons gonflés. Voyant les ondulations involontaires de mon bassin, il jugèrent que j’étais « à point »…Marc s’allongea sur le dos et de demanda de venir le chevaucher. Je m’installais dans la position souhaitée et me laissais glisser sur son dard. Lorsque je me fus bien mise en place, il m’attira pour m’embrasser, ma poitrine s’écrasa sur son torse, et je lui offrit ma bouche pendant que ses mains glissaient sur mon dos et que ses bras ses refermaient autour de ma taille me faisant cambrer impudiquement. Pendant qu’une main (appartenant à Pierre) se posait sur mon derrière, Marc me dit :
« Tu sais Pierre m’a dit qu’il avait très envie de t’enculer ». (Tiens ! je ne pensais pas l’avoir entendu dire cela…) et il reprit :
« Il en a tellement envie, qu’il va te le faire maintenant »
Je ne compris ce qui allait ce passer qu’en sentant Pierre monter sur lit et s’installer derrière moi. Prise de panique, j’essayais de m’échapper…Peine perdue, les bras de mon amant me retenaient solidement plaquée contre lui….Ayant peur d’être déchirée, je les suppliais de m’épargner, ce qui n’eut pour effet que de les faire ricaner.
« Ne fait pas ta mijaurée, tu es comme les autres…tu va aimer, c’est certain…cochonne comme tu es… »
Que vouliez-vous que je fasse contre deux hommes qui me tenaient solidement et qui s’apprêtaient fermement à m’investir des deux cotés en même temps…consentante ou non…Résignée, une fois encore je décidais de ma laisser faire et j’offris ma capitulation…
« Je veux bien, mais faites très doucement, je vous en prie… »
« Ha tu vois que tu deviens raisonnable ! Donnes ton cul se sera meilleur… »
Mortifiée, je tendis mes fesses vers Pierre qui commença à les écarter, puis à écarter les bords de ma rondelle de son pouce et son index.
« Pierre, veux-tu que je lui écarte les miches ? Tu vas bien te laisser faire, hein Florence «
Pierre acquiesça et me prenant une fesse dans chaque main Marc m’écarta …les miches…mettant en évidence mon petit trou, qui entraîna de la part de Pierre des commentaires sur le fait qu’il n’était pas encore refermé et que le sperme de Marc encore présent allait servir de lubrifiant. Je sentis le gland brûlant buter sur ma rondelle et pousser pour se frayer un passage…je redoutais…Et puis,…sous la poussée qui ne faiblissait pas je sentis mes chairs s’ouvrir et mon sphincter céder tout doucement…ensuite…lorsque la tête fut passée, le reste suivi…longuement, lentement, amplement… Hallucinant, véritablement inouï fut cette sensation nouvelle prise par devant et par derrière j’étais remplie, comblée, envahie, farcie…Mon dieu, ainsi doublement enfilée l’image sulfureuse que j’avais visionnée dans film X chez Marc, s’appliquait à moi…Pendant que MES amants me laissaient m’habituer un peu à cette double dilatation, j’eu conscience que les dernières barrières de ma modération étaient pulvérisée…et que j’allais m’offrir comme une chienne à tous leur caprices…Oh oui !..Oui ! Ouiiii !… Ils eurent également cette conviction…et commencèrent à bouger…lentement…l’un après l’autre…accompagnant leurs mouvements de caresses et de commentaires graveleux…qui m’excitaient de nouveau. Lorsque j’étais profondément emmanchée par l’un, l’autre se retirait jusqu’au gland…et refaisait le chemin en sens inverse, bien à fond…Humm ! Puis c’était le tour du second qui me soumettait au même traitement exquis. Etreinte par leurs mains puissantes, embrassée par leurs bouches suaves, écrasée par leurs bassins volontaires en sueur je m’abandonnais à l’étrange sensation de ces deux queues glissant et comprimant la fine paroi qui séparait mes deux conduits envahis. Mon orgasme allait être prodigieux, je le savais…alors, je me lâchais et, allant au devant de leurs coups de bélier qui résonnaient au plus profond de moi. J’étais trempée et je me faisais labourer par ces queues impérieuses…consciente de ma dégradation, je les exhortais à me baiser encore et encore …
« C’est bon ! Baisez moi encore…Ouiiii… plus fort, plus loin…comme cela ! Oh oui … Défoncez-moi !Pierre baise mon cul ! Ah, oui… c’est trop bon… je vais… je vais… ahhhh !!! »
Un orgasme d’une puissance inouïe me ravagea littéralement et encouragés qu’ils étaient Marc et Pierre ne ménagèrent pas mes orifices…Oh non !…et ils les remplirent de leur sperme brûlant en ahanant.
Dans une semi inconscience, je les entendis commenter ce qu’ils venaient de me faire subir, mes talents « de baiseuse », d’autres séances qu’ils se promettaient aussi chaudes, et même Marc confier à Pierre qu’il allait me transformer en une « folle du cul »…moi, la femme (hier encore) si prude et coincée. Je n’étais, à l’évidence, pas au bout de ma dépravation, ni de ma chute peut être risquée, mais si excitante dans le vice…Pierre me m’embrassa une dernière fois en me câlinant la croupe et je l’entendis partir. Marc revint, dégrafa mon porte-jarretelles, roula mes bas, en me félicitant sur mon comportement de la soirée et me remerciant sur le plaisir que je lui avais procuré, aussi bien, ajouta-il physique que cérébral…je sombrais dans un sommeil profond d’où je fut tirée que tard dans la matinée par une odeur de café et…une main qui me caressait les fesses…
Après un reconstituant petit déjeuner, je remarquais que Marc bandait progressivement. Suivant mon regard il me dit :
« Elle te fais envie ? »
« … »
« Répond, elle te fait envie, tu la veux ? »
« Bien évidemment que je la veux, elle me fait tellement de bien »
« Suces-la… »
Oh oui, j’allas la sucer…la lécher, m’en régaler…Je l’embouchais avidement…
Entre mes lèvres la tige prit toute sa raideur et voyant que j’ondulais Marc me dit :
« Tu as l’air en condition ma petite Florence, viens sur moi »
Il se mit sur le dos et je me mis à le chevaucher longuement (et pour nous exciter tous les deux parfois en me caressant les seins, qu’ il m’ordonna de lécher) jusqu’à ce que nous prîmes « notre pied » tous les deux.
Douche…(j’en avais bien besoin, tout mon entre jambes et mon entre fesses étaient souillée des mes ébats) je me coiffais ensuite et me maquillait comme il aimait (genre salope…) et sortit en quête de mes vêtements…sans résultat… Narquois, il me demanda :
« Tu cherche quelque chose.? »
« Oui, mes habits… »
« Aujourd’hui, tu t’en passe …je ne te tolère que le porte-jarretelles… »
« Si tu veux…mais mes bas sont filés… »
A ma grande surprise, il se dirigea vers un tiroir d’où il en ressortit en paire neuve…Quel homme prévoyant…et aussi quel obsédé…mais ça, j’adorais et dons, j’allais passer toute la journée dans cette tenue…je m’y étais habituée…et je dois confesser que j’aimais maintenant l’allumer dans par des poses suggestives et provocantes…Il me demanda pendant le repas, ce que j’avais pensé de notre soirée. Bien évidemment je ne dis que la vérité, toute la vérité et rien que la vérité en lui affirmant que jamais je n’avais autant jouis, qu’il m’avait réduit à l’état de femelle insatiable et docile et que j’avais adoré…Il me demanda ensuite si j’aimerai qu’il y ait d’autres séance de ce type ou avec Pierre et/ou d’autres où je subirais d’ardents plaisirs, où je serais comblée (dans tous les sens du terme) ou je comblerais les participants Les phrases « subir des plaisirs », « être comblée » me stimulèrent terriblement et en l’embrassant je lui donnait mon accord sans réserve Il en profita pour me dire que Pierre n’était pas un inconnu de rencontre, mais qu’il avait voulu tester mes réactions avec un amis… Je lui en voulu un peu (oh ! très peu…) de m’avoir menti, de m’avoir manipulé de la sorte, mais mon plaisir avait été si intense que je lui pardonnais immédiatement…Il en profita et comme pousse café, à quatre pattes, il me sodomisa longuement, très longuement…très très longuement…sortant complètement sa queue de mon cul pour mieux me l’y enfoncer à nouveau parfois même sans égard… Il me fit éprouver trois orgasmes épuisants avant d’éjaculer longuement dans mon anus béant…Puis, il m’imposa de « lui sucer la pine » et devant mes réticences il ajouta, ironique, « que si elle n’était pas immaculé, c’étais bien de ma faute, après tout ! ». J’obéis, de toute façon, il se rendait bien compte que petit à petit je cédais à tous ses caprices…donc surmontant ma (très relative) répugnance je fis la toilette demandée…avec…délectation…et me préparais pour reprendre le chemin du foyer conjugal (si malmené)…Avant de nous séparer il me rappela ma promesse (en ce qui me concerne j’avais oublié…) de me faire épiler intégralement…Je…promis, bien entendu…
Je rentrais donc chez moi, avec (un peu) d’inquiétude, ou mon mari, gentiment, devant mes traits tirés par les fatigues de mon stage me conseilla de me coucher de bonne heure, ce que je fis…en pensant encore, avec (beaucoup) de convoitise, à ces deux colonnes de chairs qui m’avaient pourfendues…et je m’endormis pas si facilement que cela, n’osant pas imaginer, mais enfiévrée de pensées perverses, ce que j’allais devoir subir comme Marc l’avais promis.
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